Imaginons un point immobile, qui se déplace sur un plan, ou dans l'espace, et décrit des formes géométriques fermées. Suivons-le dans ses déplacements; il est animé dans le temps et dans l'espace.
Imaginons un cercle décrit par ce point. Positionnons notre conscience à l'intérieur de ce cercle, puis remplissons-le de couleur rouge; ensuite déplaçons notre conscience à l'extérieur de ce cercle et remplissons-le de bleu.
Maintenant concentrons-nous sur la limite de ce cercle, sa périphérie que nous colorons en vert.
Déplaçons notre conscience de l'intérieur rouge vers l'extérieur bleu, puis de l'extérieur vers l'intérieur, en marquant un arrêt sur la périphérie verte.
Passons maintenant d'un espace à 2 dimensions (point se déplaçant, cercle) à un espace à 3 dimensions; ainsi nous déplaçons notre conscience de l'intérieur d'une sphère remplie de rouge vers l'extérieur de celle-ci en bleu, en passant par sa surface en vert.
Nous procédons ensuite de la même façon avec des formes à 2 dimensions (triangle, rectangle, carré), puis à 3 dimensions (pyramide, parallélépipède, cube).
Nous modifions ensuite les couleurs de l'intérieur, de la surface et de l'extérieur.
Nous pouvons faire varier la dimension du point qui trace au départ les formes géométriques.
Nous pouvons faire varier les formes en passant de l'intérieur à l'extérieur : sortir par un cercle et rentrer par un triangle, sortir d'une sphère et rentrer dans une pyramide.
Nous pouvons aussi imaginer que l'on passe directement de l'extérieur à l'intérieur sans passer par la surface, tout en changeant de forme et de couleur.
Nous modifions ensuite notre point de vue en voyant l'intérieur depuis l'extérieur, ou la surface depuis l'intérieur, et inversement.
Ainsi, déplacer sa conscience permet de s'ouvrir à d'autres possibilités.
Imaginons un cercle décrit par ce point. Positionnons notre conscience à l'intérieur de ce cercle, puis remplissons-le de couleur rouge; ensuite déplaçons notre conscience à l'extérieur de ce cercle et remplissons-le de bleu.
Maintenant concentrons-nous sur la limite de ce cercle, sa périphérie que nous colorons en vert.
Déplaçons notre conscience de l'intérieur rouge vers l'extérieur bleu, puis de l'extérieur vers l'intérieur, en marquant un arrêt sur la périphérie verte.
Passons maintenant d'un espace à 2 dimensions (point se déplaçant, cercle) à un espace à 3 dimensions; ainsi nous déplaçons notre conscience de l'intérieur d'une sphère remplie de rouge vers l'extérieur de celle-ci en bleu, en passant par sa surface en vert.
Nous procédons ensuite de la même façon avec des formes à 2 dimensions (triangle, rectangle, carré), puis à 3 dimensions (pyramide, parallélépipède, cube).
Nous modifions ensuite les couleurs de l'intérieur, de la surface et de l'extérieur.
Nous pouvons faire varier la dimension du point qui trace au départ les formes géométriques.
Nous pouvons faire varier les formes en passant de l'intérieur à l'extérieur : sortir par un cercle et rentrer par un triangle, sortir d'une sphère et rentrer dans une pyramide.
Nous pouvons aussi imaginer que l'on passe directement de l'extérieur à l'intérieur sans passer par la surface, tout en changeant de forme et de couleur.
Nous modifions ensuite notre point de vue en voyant l'intérieur depuis l'extérieur, ou la surface depuis l'intérieur, et inversement.
Ainsi, déplacer sa conscience permet de s'ouvrir à d'autres possibilités.