Recevoir, recevoir; notre capacité à accueillir les bienfaits de la vie est mise à rude épreuve. N'est-ce point paradoxal de constater que nous éprouvons actuellement des difficultés à recueillir l'abondance sous toutes ses formes. Car nous en sommes là, amies, amis, la roue tourne et le flux des énergies se renverse pour nous combler de cadeaux divers. Tous les domaines de nos vies sont concernés par cette impressionnante vague d'abondance. Je reconnais qu'après des années passées à grappiller des bienfaits pour nos âmes, la situation actuelle est renversante. Il est bien temps d'ouvrir nos coeurs pour y laisser circuler cette abondante moisson.
Il est bien vrai qu'avec l'amour en bandoulière, le flux d'abondance trouve un espace propice pour s'exprimer entièrement. Au fond, si nous devions caractériser la situation, nous dirions qu'il n'y a plus rien à faire. La seule action, qui est en fait une non action, consiste à placer notre conscience dans le coeur, à prendre le temps de découvrir les énergies d'abondance et de laisser couler leur flux. Bonjour la simplicité et pourtant je le répète, cette approche, cet état d'être paraît simpliste aux yeux de beaucoup. Nombreux sont celles et ceux qui éprouvent encore le besoin de faire évoluer le collectif humain par l'action. Je dirais bien qu'ils se fourrent les doigts dans l'oeil car désormais, les actions tournées vers l'extérieur n'ont aucune chance d'aboutir si elles ne sont pas animées par des fondations intérieures solides. C'est bien de l'intérieur vers l'extérieur que le mouvement créatif et transformateur s'effectue et se concrétise et non dans le sens inverse. Celles et ceux qui tentent encore de révolutionner la planète sans transformer leur planète intérieure et sans comprendre les enseignements que ce travail intérieur distille n'auront bientôt plus de répondant. En effet, il est plus que jamais nécessaire d'accompagner nos intentions, nos gestes, nos actions, nos paroles, de la noble sève qui coule en nous, celle que nous avons enfin repérée et libérée par le simple fait de s'installer dans nos coeurs. Au risque de me répéter, j'insiste encore sur la simplicité, véritable attitude centrale de cette période. Je reformule une fois de plus son credo : « Tout est en nous. Plus rien ne justifie de chercher ou d'attendre quoi que ce soit de l'extérieur. La quintessence de nos qualités et la moisson de nos prestations d'acteurs se récoltent en se plaçant dans notre paradis personnel, le coeur du coeur. En y déposant notre conscience, nous stimulons l'émergence de tous nos potentiels. En y actualisant les noces intérieures, nous sortons du rêve.
Voilà en effet, une synthèse assez saisissante de la spiritualité d'aujourd'hui. Encore faut-il le faire, le vivre.
Oui, la première chose est de ressentir jusqu'au fond des atomes que tout est en nous. Beaucoup d'êtres le pensent et le disent déjà, peu le ressentent jusque dans leurs tripes. Dès que cette évidence est totalement intégrée, l'essentiel est accompli car, si je puis m'exprimer ainsi, le coeur du coeur fait le reste. J'avoue que, par les temps qui courent, nous pourrions nous contenter de cela. Que les êtres qui en sont convaincus affirment leur détermination à le ressentir des pieds à la tête. Dès que cette évidence est intégrée, la vie déroule un tapis rouge sous nos pas. Les évènements et les rencontres s'enchaînent dans une parfaite fluidité. Quoi qu'il en soit, les synchronicités se multiplient en ce moment clé de la transformation planétaire. Les pièces du puzzle de notre union ontologique se meuvent d'elles-mêmes et se rapprochent spontanément les unes des autres. Ce phénomène est global et quelques variations individuelles persistent bien sûr selon le degré de clarification de conscience déjà effectué par chaque être. Voilà pourquoi je garantis que de belles années orientées vers la communion entre les êtres se profilent à nos horizons. Et je dirais bien qu'avant de disparaître, l'horizon se multiplie dans le sens où nous pouvons en voir plusieurs en même temps. C'est une autre façon de dire qu'à certains moments, nous percevons les évènements de plusieurs vies simultanées. Ce sont bel et bien nos vies multiples qui s'offrent à nos regards et même parfois les vies de nos semblables.
L'horizon, puis les horizons disparaîtront donc ?
Observons que nos perceptions évoluent. En percevant plusieurs vies en même temps, elles accomplissent ce qui, il y a quelque temps encore était impossible, voire impensable pour certains. Pourquoi cette évolution des évidences s'arrêterait et se fixerait sur ce nouveau mode. Nos perceptions vont encore évoluer et la disparition visuelle de la Terre comme nous la voyons tous les jours fait partie des transformations de nos sens. Oui, bien que nous soyons invités à assurer le service minimum en se plaçant dans nos coeurs, nos références vont être bousculées. Nous allons devoir nous adapter en permanence pour, si nous le choisissons, se retrouver en état de cesser de percevoir, d'être à la fois le regard, l'image perçue et les sensations liées à cet acte. Ainsi, progressivement, nous nous débarrasserons du besoin de voir, toucher, renifler, entendre quoi que ce soit. En effet, nous serons d'abord systématiquement celui qui voit, le sujet ou l'objet qui est vu et les sensations qui en résultent. Nous serons celui qui touche, nous serons ce qui est touché et les sensations associées à cet acte... Ensuite, puisque nous sommes également ce que nous voyons, nous n'aurons plus besoin de voir. Nous déduirons qu'il n'est plus nécessaire de projeter nos regards vers l'extérieur car les sujets et les objets à voir dépendant de notre regard. En tournant ce dernier vers l'intérieur nous aurons le nez sur ces sujets, ces objets, à la différence près qu'ils n'apparaîtront plus sous leur forme habituelle. Ils seront dématérialisés en quelque sorte. Il en va de même pour notre amie la Terre.
Il est bien vrai qu'avec l'amour en bandoulière, le flux d'abondance trouve un espace propice pour s'exprimer entièrement. Au fond, si nous devions caractériser la situation, nous dirions qu'il n'y a plus rien à faire. La seule action, qui est en fait une non action, consiste à placer notre conscience dans le coeur, à prendre le temps de découvrir les énergies d'abondance et de laisser couler leur flux. Bonjour la simplicité et pourtant je le répète, cette approche, cet état d'être paraît simpliste aux yeux de beaucoup. Nombreux sont celles et ceux qui éprouvent encore le besoin de faire évoluer le collectif humain par l'action. Je dirais bien qu'ils se fourrent les doigts dans l'oeil car désormais, les actions tournées vers l'extérieur n'ont aucune chance d'aboutir si elles ne sont pas animées par des fondations intérieures solides. C'est bien de l'intérieur vers l'extérieur que le mouvement créatif et transformateur s'effectue et se concrétise et non dans le sens inverse. Celles et ceux qui tentent encore de révolutionner la planète sans transformer leur planète intérieure et sans comprendre les enseignements que ce travail intérieur distille n'auront bientôt plus de répondant. En effet, il est plus que jamais nécessaire d'accompagner nos intentions, nos gestes, nos actions, nos paroles, de la noble sève qui coule en nous, celle que nous avons enfin repérée et libérée par le simple fait de s'installer dans nos coeurs. Au risque de me répéter, j'insiste encore sur la simplicité, véritable attitude centrale de cette période. Je reformule une fois de plus son credo : « Tout est en nous. Plus rien ne justifie de chercher ou d'attendre quoi que ce soit de l'extérieur. La quintessence de nos qualités et la moisson de nos prestations d'acteurs se récoltent en se plaçant dans notre paradis personnel, le coeur du coeur. En y déposant notre conscience, nous stimulons l'émergence de tous nos potentiels. En y actualisant les noces intérieures, nous sortons du rêve.
Voilà en effet, une synthèse assez saisissante de la spiritualité d'aujourd'hui. Encore faut-il le faire, le vivre.
Oui, la première chose est de ressentir jusqu'au fond des atomes que tout est en nous. Beaucoup d'êtres le pensent et le disent déjà, peu le ressentent jusque dans leurs tripes. Dès que cette évidence est totalement intégrée, l'essentiel est accompli car, si je puis m'exprimer ainsi, le coeur du coeur fait le reste. J'avoue que, par les temps qui courent, nous pourrions nous contenter de cela. Que les êtres qui en sont convaincus affirment leur détermination à le ressentir des pieds à la tête. Dès que cette évidence est intégrée, la vie déroule un tapis rouge sous nos pas. Les évènements et les rencontres s'enchaînent dans une parfaite fluidité. Quoi qu'il en soit, les synchronicités se multiplient en ce moment clé de la transformation planétaire. Les pièces du puzzle de notre union ontologique se meuvent d'elles-mêmes et se rapprochent spontanément les unes des autres. Ce phénomène est global et quelques variations individuelles persistent bien sûr selon le degré de clarification de conscience déjà effectué par chaque être. Voilà pourquoi je garantis que de belles années orientées vers la communion entre les êtres se profilent à nos horizons. Et je dirais bien qu'avant de disparaître, l'horizon se multiplie dans le sens où nous pouvons en voir plusieurs en même temps. C'est une autre façon de dire qu'à certains moments, nous percevons les évènements de plusieurs vies simultanées. Ce sont bel et bien nos vies multiples qui s'offrent à nos regards et même parfois les vies de nos semblables.
L'horizon, puis les horizons disparaîtront donc ?
Observons que nos perceptions évoluent. En percevant plusieurs vies en même temps, elles accomplissent ce qui, il y a quelque temps encore était impossible, voire impensable pour certains. Pourquoi cette évolution des évidences s'arrêterait et se fixerait sur ce nouveau mode. Nos perceptions vont encore évoluer et la disparition visuelle de la Terre comme nous la voyons tous les jours fait partie des transformations de nos sens. Oui, bien que nous soyons invités à assurer le service minimum en se plaçant dans nos coeurs, nos références vont être bousculées. Nous allons devoir nous adapter en permanence pour, si nous le choisissons, se retrouver en état de cesser de percevoir, d'être à la fois le regard, l'image perçue et les sensations liées à cet acte. Ainsi, progressivement, nous nous débarrasserons du besoin de voir, toucher, renifler, entendre quoi que ce soit. En effet, nous serons d'abord systématiquement celui qui voit, le sujet ou l'objet qui est vu et les sensations qui en résultent. Nous serons celui qui touche, nous serons ce qui est touché et les sensations associées à cet acte... Ensuite, puisque nous sommes également ce que nous voyons, nous n'aurons plus besoin de voir. Nous déduirons qu'il n'est plus nécessaire de projeter nos regards vers l'extérieur car les sujets et les objets à voir dépendant de notre regard. En tournant ce dernier vers l'intérieur nous aurons le nez sur ces sujets, ces objets, à la différence près qu'ils n'apparaîtront plus sous leur forme habituelle. Ils seront dématérialisés en quelque sorte. Il en va de même pour notre amie la Terre.