Faire preuve d'une compétence spécialisée ne signifie pas posséder des capacités spirituelles, car l'intelligence ne remplace pas le véritable caractère. Rares sont ceux qui vivent à la hauteur de leur foi réelle. En ce sens, la peur irraisonnée est une fraude intellectuelle magistrale pratiquée sur l'âme mortelle en évolution.
Les capacités inhérentes ne peuvent être dépassées ; une pinte ne peut jamais contenir un litre. De même, le concept spirituel ne peut être mécaniquement intégré au moule de la mémoire matérielle. Ainsi, rares sont les mortels qui osent tirer quelque chose de la somme des crédits de personnalité établis par les ministères combinés de la nature et de la grâce. Et pourtant, la majorité des âmes pauvres sont véritablement riches, mais elles refusent d'y croire.
Les difficultés peuvent défier la médiocrité et vaincre les craintifs, mais elles ne font que stimuler les véritables enfants du Très-Haut. Jouir de privilèges sans abus, jouir d'une liberté sans licence, posséder le pouvoir et refuser résolument de l'utiliser à des fins personnelles – telles sont les marques d'une haute civilisation.
Les accidents aveugles et imprévus ne se produisent pas dans le cosmos. Rien n’est laissé au hasard, et les êtres célestes n'aident pas non plus l'être inférieur qui refuse d'agir selon sa lumière de vérité. L'effort ne produit pas toujours la joie, mais il n'y a pas de bonheur sans effort intelligent.
L'action produit la force ; la modération produit le charme. La droiture fait vibrer les cordes de la vérité, et la mélodie vibre à travers le cosmos, jusqu'à la reconnaissance de l'Infini.
Les faibles prennent des résolutions, mais les forts agissent. La vie n'est qu'une journée de travail : accomplissez-la bien : Car si l'acte nous appartient bel et bien, ses conséquences appartiennent à Dieu.
La plus grande affliction du cosmos est de n'avoir jamais été affligé. En effet, les mortels n'apprennent la sagesse qu'en traversant les tribulations. C'est dans l'isolement solitaire des profondeurs expérientielles que l'on discerne le mieux les étoiles, et non depuis les sommets illuminés et extatiques des montagnes.
Aiguisez l'appétit de vérité de vos associés ; ne donnez des conseils que lorsqu'ils vous les demandent. L'affectation est l'effort ridicule de l'ignorant pour paraître sage, tout comme elle est la tentative de l'âme stérile pour paraître riche.
On ne peut percevoir la vérité spirituelle sans en faire l'expérience, et bien des vérités ne sont réellement ressenties que dans l'adversité. Ainsi, l'ambition est dangereuse tant qu'elle n'est pas pleinement socialisée. On n'a véritablement acquis aucune vertu tant que ses actes ne nous en rendent pas dignes.
L'impatience est un poison spirituel ; la colère est comme une pierre lancée dans un nid de frelons. C’est pourquoi il faut abandonner l'anxiété, car les déceptions les plus difficiles à supporter sont celles qui ne viennent jamais.
Seul un poète peut discerner la poésie dans la prose banale de l'existence routinière. La haute mission de tout art est, par ses illusions, de préfigurer une réalité universelle supérieure, et de cristalliser les émotions du temps dans la pensée de l'éternité.
L'âme en évolution n'est pas divinisée par ses actes, mais par ses efforts. La mort n'a rien ajouté à la possession intellectuelle ni au don spirituel, mais elle a ajouté à l'expérience la conscience de la survie.
Le destin de l'éternité est déterminé à chaque instant par les accomplissements de la vie quotidienne. Ainsi les actes d'aujourd'hui sont le destin de demain. Car en vérité, la grandeur ne réside pas tant dans la possession de la force que dans son utilisation sage et divine.
La connaissance ne s'acquiert que par le partage ; elle est préservée par la sagesse et socialisée par l'amour. Or, le progrès exige le développement de l'individualité, tandis que la médiocrité cherche à se perpétuer dans la standardisation.
Enfin, gardons à l’esprit que la défense argumentative de toute proposition est inversement proportionnelle à la vérité qu'elle contient.
Les capacités inhérentes ne peuvent être dépassées ; une pinte ne peut jamais contenir un litre. De même, le concept spirituel ne peut être mécaniquement intégré au moule de la mémoire matérielle. Ainsi, rares sont les mortels qui osent tirer quelque chose de la somme des crédits de personnalité établis par les ministères combinés de la nature et de la grâce. Et pourtant, la majorité des âmes pauvres sont véritablement riches, mais elles refusent d'y croire.
Les difficultés peuvent défier la médiocrité et vaincre les craintifs, mais elles ne font que stimuler les véritables enfants du Très-Haut. Jouir de privilèges sans abus, jouir d'une liberté sans licence, posséder le pouvoir et refuser résolument de l'utiliser à des fins personnelles – telles sont les marques d'une haute civilisation.
Les accidents aveugles et imprévus ne se produisent pas dans le cosmos. Rien n’est laissé au hasard, et les êtres célestes n'aident pas non plus l'être inférieur qui refuse d'agir selon sa lumière de vérité. L'effort ne produit pas toujours la joie, mais il n'y a pas de bonheur sans effort intelligent.
L'action produit la force ; la modération produit le charme. La droiture fait vibrer les cordes de la vérité, et la mélodie vibre à travers le cosmos, jusqu'à la reconnaissance de l'Infini.
Les faibles prennent des résolutions, mais les forts agissent. La vie n'est qu'une journée de travail : accomplissez-la bien : Car si l'acte nous appartient bel et bien, ses conséquences appartiennent à Dieu.
La plus grande affliction du cosmos est de n'avoir jamais été affligé. En effet, les mortels n'apprennent la sagesse qu'en traversant les tribulations. C'est dans l'isolement solitaire des profondeurs expérientielles que l'on discerne le mieux les étoiles, et non depuis les sommets illuminés et extatiques des montagnes.
Aiguisez l'appétit de vérité de vos associés ; ne donnez des conseils que lorsqu'ils vous les demandent. L'affectation est l'effort ridicule de l'ignorant pour paraître sage, tout comme elle est la tentative de l'âme stérile pour paraître riche.
On ne peut percevoir la vérité spirituelle sans en faire l'expérience, et bien des vérités ne sont réellement ressenties que dans l'adversité. Ainsi, l'ambition est dangereuse tant qu'elle n'est pas pleinement socialisée. On n'a véritablement acquis aucune vertu tant que ses actes ne nous en rendent pas dignes.
L'impatience est un poison spirituel ; la colère est comme une pierre lancée dans un nid de frelons. C’est pourquoi il faut abandonner l'anxiété, car les déceptions les plus difficiles à supporter sont celles qui ne viennent jamais.
Seul un poète peut discerner la poésie dans la prose banale de l'existence routinière. La haute mission de tout art est, par ses illusions, de préfigurer une réalité universelle supérieure, et de cristalliser les émotions du temps dans la pensée de l'éternité.
L'âme en évolution n'est pas divinisée par ses actes, mais par ses efforts. La mort n'a rien ajouté à la possession intellectuelle ni au don spirituel, mais elle a ajouté à l'expérience la conscience de la survie.
Le destin de l'éternité est déterminé à chaque instant par les accomplissements de la vie quotidienne. Ainsi les actes d'aujourd'hui sont le destin de demain. Car en vérité, la grandeur ne réside pas tant dans la possession de la force que dans son utilisation sage et divine.
La connaissance ne s'acquiert que par le partage ; elle est préservée par la sagesse et socialisée par l'amour. Or, le progrès exige le développement de l'individualité, tandis que la médiocrité cherche à se perpétuer dans la standardisation.
Enfin, gardons à l’esprit que la défense argumentative de toute proposition est inversement proportionnelle à la vérité qu'elle contient.