Artistes en général, mais surtout musiciens
Trouvez de nouveaux sons, plongez-vous dans le bain
Il ne reste plus que vous pour montrer le chemin
Qui mène au paradis des éternels copains
Où que vous traîniez
Et admettez que les eaux
Autour de vous ont grandi
Et acceptez que bientôt
Vous serez trempés jusqu'aux os.
Si votre temps à vous
Vaut le coup d'être sauvé
Alors vous feriez mieux de commencer à nager
Ou vous allez couler comme une pierre
Car les temps, ils sont en train de changer
Venez pères et mères
Dans tout le pays
Et ne critiquez pas
Ce que vous ne pouvez pas comprendre
Vos fils et vos filles
Sont au-delà de votre contrôle
Votre vieux chemin
Vieillit rapidement
Sortez s'il vous plaît du nouveau chemin
Si vous ne pouvez aider
Car les temps, ils sont en train de changer.
Imagine – de John Lennon Imagine there's no heaven,
It's easy if you try,
No hell below us,
Above us only sky,
Imagine all the people,
Living for today...
Imagine there's no countries,
It isn't hard to do,
Nothing to kill or die for,
No religion too,
Imagine all the people,
Living life in peace...
You may say I'm a dreamer,
But I'm not the only one,
I hope some day you'll join us,
And the world will live as one.
Imagine no possessions,
I wonder if you can,
No need for greed or hunger,
A brotherhood of man,
Imagine all the people,
Sharing all the world...
You may say I'm a dreamer,
But I'm not the only one,
I hope some day you'll join us,
And the world will live as one.
Imagine qu'il n'y a aucun pays,
C'est facile si tu essayes,
Aucun enfer en dessous de nous,
Au dessus de nous seulement le ciel,
Imagine tous les gens,
Vivant pour aujourd'hui...
Imagine qu'il n'y a aucun pays,
Ce n'est pas si difficile que cela,
Aucune cause pour laquelle tuer ou mourir,
Aucune religion non plus,
Imagine tous les gens,
Vivant la vie en paix...
Tu peux dire que je suis un rêveur,
Mais je ne suis pas le seul,
J'espère qu'un jour tu nous rejoindras,
Et que le monde vivra uni.
Imagine aucunes possessions,
Je me demande si tu le peux,
Aucun besoin d'avidité ou de faim,
Une fraternité humaine,
Imagine tous les gens,
Partageant le monde...
Tu peux dire que je suis un rêveur,
Mais je ne suis pas le seul,
J'espère qu'un jour tu nous rejoindras,
Et que le monde vivra uni.
Oubliée dans la nuit des temps,
Au fond de son île au trésor
Et qui attend le conquérant,
Qui te délivrera du sort
Où t'on jeté les impuissants.
Tu es la beauté qu'on agresse
Quand elle se montre au grand jour
En abandonnant ses richesses aux déshérités de l'amour,
Sans jamais attendre en retour le semblant d'une caresse.
Tu es la beauté insoumise, rebelle comme un cri d'enfant
Qui brandit sa rage de vivre face à la masse des morts vivants,
Sous la violence de leurs bêtises.
Tu es la beauté flamboyante qui rougit le ciel au matin
Comme le sang sur la chemise du bourreau ou de l'assassin.
Tu es la beauté que j'adore
Car elle m'a appris à aimer
Et à comprendre la laideur,
Qui est le miroir
Où je peux contempler,
Ma vérité !
Si j'ai la volonté d'être le plus complet possible sur ce sujet, c'est que la musique est l'une de vos principales portes de conscience avec la prière et le yoga, et à ce titre ne fait donc pas exception quant aux attaques des lucifériens sur votre monde pour traquer toute espèce de lumière spirituelle capable de vous aider à progresser et donc de vous délivrer de leur influence et, finalement, de leur présence. Le son est composé de vibrations ; la lumière aussi. Au commencement était le Verbe et le Verbe était Dieu. Dieu est Amour ; l'amour est lumineux spirituellement. Dieu est donc lumière, son et amour, les trois ne faisant qu'un lorsqu'ils sont unifiés par Sa présence.
C'est pourquoi un bon musicien, quelle que soit son ethnie, est capable de faire sentir à son auditoire le souffle de Dieu et c'est également pourquoi la musique est l'art qui attire irrésistiblement le plus de gens : son aspect lumineux agit sur eux comme la lumière physique agit sur les insectes ou les poissons. Le véritable pouvoir de la musique commence là où s'arrête le pouvoir des livres et des pensées intellectuelles. La musique transcende la matière et l'intellect.
Platon déclara à une époque où la musique n'en était encore pourtant qu'à ses balbutiements dans son pays : " La musique peut donner des ailes à vos pensées et éclairer votre âme d'une lumière éternelle. "Qu'en aurait-il dit après avoir entendu ?" "La chevauchée des Walkyries" ou "Tannhäuser", de Wagner! L'acoustique étudiée des pyramides orientales comme des cathédrales occidentales montrent que les êtres humains connaissent depuis longtemps ce rôle spiritualisant sur la psyché humaine que peut avoir le son artistiquement agencé. Quand le rythme est parfaitement synchronisé avec la mélodie et que ces deux éléments servent de support à des paroles inspirées et chantées par une belle voix, on atteint le summum de ce qu'une expression artistique peut faire ressentir à l'âme humaine comme impression de beauté divine et il n'est pas rare, dans ces cas de figures, que l'auditeur soit ému jusqu'aux larmes ou qu'un frisson kundalinien lui remonte le long de la moelle épinière. Les chakras réagissent très bien à la musique, l'envers de la médaille étant que cette dernière peut donc manipuler les chakras ; si elle est concoctée par des apprentis lucifériens, cela donne des courants musicaux engendrant la dégénérescence, pour les musiciens aussi bien que pour leurs auditeurs ; c'est ainsi que fut créé le trio potentiellement infernal " drogue-sexe-rock'n roll " qui décrédibilisa totalement la jeunesse vis-à vis de la génération aînée et qui fit capoter la tentative de cette jeunesse pour prouver à leurs parents qu'ils avaient raison de faire cette révolution fraternelle et mondialiste.
Le mouvement punk, l'héroïne et le sida vinrent fortement interférer avec cette révolution pacifique des moeurs et des mentalités qui tâchait de se mettre en place et les idéaux pourtant élevés de cette génération psychédélisée retomba comme un soufflé avorté, conformément aux plans des barbouzes de la CIA, du KGB et du FBI d'Hoover. Mais pendant cette période des années 70-80 et grâce à des centaines de chansons inspirées, tout a été dit sur l'amour, la vie et Dieu, le tout étant gravé pour toujours sur des supports médiatiques qu'il vous est donné de consulter à loisir. Tout n'a donc pas été perdu et le message est passé, même pour les générations futures; si encore peu de gens l'ont réalisé pleinement, c'est que les radios négligent la pédagogie pour le profit immédiat et les musiques-fast food.
Une chose que les diaboliques ne peuvent cependant pas entièrement contrôler, c'est qu'une forte proportion de compositeurs découvrent assez vite leur Dieu intérieur et deviennent de grands penseurs humanistes, ce qui s'explique par le fait qu'un musicien captant les sons dans son oreille interne capte également les pensées et les sentiments qui s'y rattachent. Les sons ont en effet une sorte d'âme et il appartient au musicien de la capter puis de la révéler matériellement aux non-musiciens. La musique se retrouve dans tous les champs de conscience, bas ou élevés. C'est le compositeur qui, par sa propre fréquence, va capter la musique correspondant à son propre niveau de conscience ; plus sa démarche personnelle sera mystique et désintéressée, plus sa musique sera mystérieuse et spirituelle, donc riche en beauté et en harmonie. De J.S. Bach à Scriabine en passant par Mozart, Tchaïkovski et Wagner, les variations sur ce thème ne manquent pas ; de même, si un musicien s'adonne au sexe dans ce qu'il a de plus vil, aux drogues dures, à la violence et à la débauche morale, la musique qu'il produira illustrera l'état d'esprit où il se meut et trouvera comme admirateurs les êtres étant eux-mêmes dans cet état d'esprit.
Il s'établit alors entre la vedette décadente et son public une compétition à qui sera le plus décadent et le plus laid, jeu idiot puisque personne n'y gagne, bien au contraire ! Ou l'on sert le bon goût, ou l'on sert le mauvais. Ou l'on utilise la musique qui guérit, ou l'on utilise celle qui dérègle, selon quel maître on veut servir sachant qu'on ne peut bien servir qu'un maître à la fois...
En ce qui concerne les cérémonies vaudous, il apparaît clairement, d'après le comportement des participants et leurs grimaces, que les esprits attirés ne pouvaient appartenir qu'au bas astral, ceux qui s'amusent à se jouer des humains. Quelle différence dans les visages, si on les compare avec ceux, paisibles et recueillis, voire extatiques, d'auditeurs de musique sacrée classique ou indienne dont les chakras supérieurs ont été réharmonisés par ce flot harmonieux. Le contraste est saisissant et parle de lui-même : les deux environnements musicaux ne mènent pas les auditeurs au même pays ni aux mêmes expériences spirituelles. Chaque race de couleur a, par la volonté de vos créateurs, une conception originale d'ordre instinctif des rythmes et des mélodies, complémentaire avec les conceptions des autres ethnies colorées. En schématisant, les Indigos sont plus doués pour les rythmes et les rituels de transe mystique, les Blancs mettent l'accent sur la mélodie et la polyphonie, les Jaunes se servent des sons pour favoriser un état méditatif, les oranges et les verts pour danser et s'amuser. Les rouges n'arrivèrent jamais à élaborer une musique distrayante. Leurs chants sont pauvres harmoniquement et leurs rythmes rudimentaires. La musique guerrière était la plus élaborée, si l'on peut dire. Cependant, ils ont des qualités de courage et d'endurance supérieures aux autres qui leur servent autant qu'à d'autres la musique. Il peut y avoir des buts diamétralement opposées quant à l'expression musicale rituelle : ainsi les Tibétains, résultats ethniques d'une lointaine rencontre entre une tribu Jaune et une Rouge, n'utilisent la musique que dans le but de chasser les démons afin qu'ils les laissent méditer en paix, dans le silence revenu. Ce qui explique la dysharmonie habituelle de leur musique avec leurs trompes, leurs trompettes et leurs cymbales assourdissantes, jouées sur des rythmes irréguliers où il est impossible d'esquisser le moindre pas de danse. Les Tibétains ayant d'autres techniques que la musique pour les conduire à leur temple secret ou au Nirvana, la musique n'a jamais eu l'occasion de se développer. Au contraire des Tibétains, les Africains utilisent les sons et les rythmes pour attirer les esprits. Aussi utilisent-ils des chants polyphoniques répétitifs et incantatoires sur une section rythmique rappelant la pulsion vitale du coeur humain, le battement primordial de sa mère. Il leur est dès lors facile d'entrer en transe hypnotique et d'ouvrir leurs chakras aux esprits, avec tous les risques de possession que cela comporte.
La musique militaire, elle aussi, obéit à des critères précis pour mettre en transe les soldats et les faire marcher au-delà de leurs capacités normales. Il est probable que sans la Marseillaise et autres musiques militaires qu'il faisait continuellement jouer par son orchestre qui l'accompagnait sur tous les champs de bataille, Napoléon Bonaparte n'aurait pas remporté autant de victoires et fait marcher son Armée autant de kilomètres à pied en vingt ans.
A l'heure actuelle, le show business, infiltré par de multiples agents du bas astral, toujours intéressés par n'importe quelle possibilité de faire de l'argent, promeut, à coups d'onéreuses mais pourtant très rentables campagnes publicitaires, des pédophiles, des nymphomanes et des narcisses compulsifs, produisant sur scène une musique aux basses assourdissante, aux rythmes agressifs et littéralement infernaux, aux sons artificiels et métalliques, possédant la faculté de déstructurer la conscience de ses auditeurs-victimes, plutôt que la spiritualiser, comme le voudrait pourtant le rôle originel de la musique et pour couronner le tout, des chansons dont les paroles sont des appels au meurtre ou au suicide, ce qui pour leur responsabilité karmique, revient au même. Si vous regardez quel genre d'archétype humain engendre cette musique, tout vous deviendra clair: leur apparence évoque le bas astral dans toute sa laideur et ils étalent leurs vices quasiment au grand jour, comme une provocation supplémentaire et une démonstration de leur emprise sur leurs "fans"; cela va de la pédophilie simple au poignardage sauvage en passant par tous les comportements déviants, anti-spirituels et socialement choquants. Mais ces agents de l'art infernal ne sont qu'une minorité parmi tous les artistes. S'ils sont en général mieux connus, c'est parce que le show-biz dépense des millions de dollars à la promotion de leur égo et de leurs musiques primaires. Il y a trois groupes distincts de musiques, correspondant aux trois niveaux de réalités de votre personnalité: la musique physique (chakra 1, 2, 3), la musique mentale (chakra 3, 4, 5) et la musique spirituelle (chakra 5, 6, 7).
Cette musique concerne donc surtout les jeunes qui aiment à perdre leur raison et s'épuiser dans ces déluges sonores et lumineux. Plus ils désapprouvent ce qui se passe dans leur environnement, plus ils rechercheront ces spectacles décervelants où ils peuvent enfin s'évader pour un temps. Pour augmenter encore cette volonté d'aller ailleurs, ils prennent toutes sortes de drogues distribuées obligeamment par la mafia, puisqu'elles sont officiellement interdites, dont certaines, hélas, sont dangereuses, voire mortelles car frelatées ou synthétisées par d'ignorants apprentis sorciers, tchétchènes ou libanais. Ce sujet ayant déjà été abondamment traité, je reviens au sujet présent : que le lecteur ne perde pas de vue que cette analyse musicale critique ne concerne pas les questions de goût que chacun a le droit d'avoir sans être obligé de rendre des comptes à quiconque. Je parle ici exclusivement de l'impact spirituel positif ou négatif sur la psyché humaine, sujet de la polémique actuelle tournant autour des activités des marchands du temple de la Musique, et raison d'être de ce livre qui est de vous révéler les détails de la vaste conspiration contre les enfants de Dieu qui est présente partout, y compris au royaume de la Musique. La musique ayant un rôle important dans la formation culturelle et mentale d'un individu, il faut que certaines choses peu agréables mais nécessaires soient dites ici pour votre information. Par exemple :
Cette musique se caractérise en outre par une simplicité extrême des modulations, en général toujours les trois ou quatre mêmes, plus un "pont" au milieu. La batterie et la basse, appelée "section rythmique", jouent au maximum de leurs possibilités sonores amplifiées des rythmes lourds et répétitifs, la plupart des riffs et des mélodies étant assurés par des guitares distortionnées jouées par des hermaphrodites contorsionnés qui semblent prendre des chocs électriques à chaque placage d'accord...
Seuls les assoiffés de bière et de sensations fortes s'y retrouvent, mais certainement pas le mélomane averti. Les fameux "Hells angels" avec qui je n'ai aucune parenté, sont à la fois les plus grands fans de ce genre de musique et se retrouvent souvent chargés d'assurer à la fois le service d'ordre et aussi paradoxalement la distribution de drogues diverses, dont ils ont gagné, de haute et sanglante lutte, le contrôle sur ce terrain. Qui se ressemble s'assemble.
Les meilleurs de cette catégorie sont les Pink Floyd, Tangerin dream, Jean-Michel Jarre, Terry Riley, Tod Rungren, Genesis, Klaus Schulze, Le Mahavishnu Orchestra, certaines ballades magiques des Beatles et du Grateful dead, inspirées par les muses angéliques...
L'exécution simultanée par plusieurs percussions de formules rythmiques différentes bien qu'exprimées à l'intérieur d'un cycle fixe, donne lieu a des élaborations rythmiques d'une grande complexité qui n'a d'égal que la complexité des fugues de Bach dans le domaine mélodique.
Le beat européen et le temps décalé à l'intérieur d'un cycle fixe donna la musique "swing", chère à Louis Armstrong. Lui et ses confrères, dont vous n'avez, pour en connaître tous les noms, qu'à consulter la discographie si la musicologie du jazz vous intéresse, inventèrent de nouvelles expressions avec leurs instruments respectifs, comme les "dirty tones", les sons poussés, les glissendo chers au tromboniste Kid Ory, et les mélodies percussives bien dans la tradition africaine. Ce nouveau langage musical ne tarda pas à conquérir la planète et contribua à libérer le peuple dit "noir" du mépris général qu'il suscitait jusqu'alors.
Si le jazz a si rapidement pu gagner tant de renommée, c'est qu'il correspond, dans son expression musicale, au troisième chakra, où l'ego du soliste et sa capacité à exposer sa virtuosité instrumentale va être l'élément le plus important du jazz. Peu à peu, les blancs se mirent à vouloir copier cette musique et formèrent bientôt leurs propres orchestres et leurs propres interprétations des syncopes. Plus rigides que leurs frères Indigos pour balancer et leur corps et la musique, ils créèrent les grands orchestres, à mi-chemin entre l'orchestre de chambre européen et les improvisations tribales avec structure d'appel et de réponses de thèmes propre à la musique africaine. Le "Porgy and Bess" de George Gershwin est l'oeuvre actuellement la plus aboutie en ce qui concerne la fusion des traditions musicales blanches et indigo. ce dernier a su donner au jazz une touche sentimentale et quasi-spirituelle qui lui manque parfois, spécialement si l'on aborde la période débouchant sur le "free jazz".
Django Reinhardt et Stephan Grapelli introduisirent une touche espagnole et tzigane au jazz avec autant de bonheur, achevant de faire du jazz un langage d'une souplesse illimitée. Une des chaînes évolutionnaires du jazz déboucha à la fin des années 70 sur le jazz-rock, où l'extrême virtuosité des interprètes férus de musique indienne et orientale, mélangés aux nouveaux sons des synthétiseurs, donna une musique très énergétique et décapante. Leurs principaux interprètes s'appellent Ray Charles, Miles Davis, Herbie Hancock, Ian Garbarek, Keith Jarrett, Jacques Loussier qui adapta Bach aux lois jazzées. Il est certain que cette époque où le haschisch et la marijuana étaient omniprésents autour des musiciens de toutes couleurs et de tous pays, influèrent fortement sur le tournant mélodique et rythmique que la musique jazz et rock prirent à partir des années 70. Ce qui fait que cette musique titille également le quatrième chakra. La dernière génération de ces maîtres instrumentistes se compose de Chick Corea, Alice Coltrane, Ian Hammer, Paco de Lucia, Aldi Meola, Jean-Luc Ponty, John Mc Laughlin, Stevie Wonder, Didier Lockwood, Patrick Moraz, Christian Vander...
Tous ces brillants musiciens circulent entre la musique spirituelle et la musique mentale. La richesse harmonique des orchestrations et la complexité des rythmes en font une musique complète et idéale pour recharger les chakras intermédiaires (3, 4, 5).
Ce système de quart de ton est cependant tellement naturel que les Occidentaux ont tourné la difficulté causée par leur système tempéré: par l'usage du vibrato, ce mouvement plus ou moins prononcé du poignet et des doigts qui jouent sur les cordes, ou le mouvement de la glotte pour les partitions vocales, ou de l'air pour les instruments utilisant le souffle, les musiciens classiques peuvent utiliser le pouvoir spiritualisant du quart de ton d'expression, même dans le cadre rigide du système tempéré à demi-ton. Dans le domaine de la musique spirituelle, celle qui s'occupe des chakras 5, 6, 7, je ne ferai pas mystère de mon choix plus longtemps et je mettrai en numéro un :
À la fin de votre XVIIIe siècle, les Indigos arrivèrent aux Amériques par centaines de mille. Lorsque tous ces talents combinés vinrent s'unir (à travers des unions sexuelles, souvent forcées entre Blancs et Indigos esclaves) avec le don de la mélodie romantique que la race dite "blanche" possède grâce à l'héritage adamique, le tout chapeauté par la nouvelle connaissance de l'existence d'un Dieu et de son Fils Paradisiaque, cela donna la musique gospel et negro-spiritual ; ce fut possible dès que les descendants d'esclaves africains du Dahomey, du Togo, de la Sierra Leone et du Niger, tous adeptes de la musique vaudou, furent évangélisés par les bonnes âmes chrétiennes qu'ils servaient avec plus ou moins de bonheur).
Les textes des gospels sont consacrés à Jésus et les autres à la vieille Bible. Chaque dimanche, il est possible de constater que c'est dans les églises fréquentées par ces descendants des Indigos que les ouailles peuvent le mieux sentir la vibration divine de leur Créateur, grâce aux talents musicaux et à l'art de se mettre en transe mystique que possèdent leurs pasteurs en particulier et ce précieux peuple en général, si mal aimé et sous-évalué, encore maintenant.
Un peau noire n'est ni plus ni moins éloigné du singe qu'un peau blanche, jaune ou verte. Qu'on se le dise une fois pour toutes. Par contre, il y a des imbéciles et des génies dans toutes les ethnies colorées. Les racistes blancs en sont la meilleure preuve. C'est grâce à la puissance évocatrice des textes évoquant l'asservissement du peuple juif par les Égyptiens et leur détermination à se libérer de leur joug, chantés à leur manière, que les noirs trouvèrent la force morale d'affronter, pendant toute la décennie des années soixante, les ségrégationnistes sudistes américains, du Mississipi et d'Alabama notamment, qui refusaient catégoriquement de leur octroyer leurs droits civiques et avec qui une lutte âpre devint nécessaire, avec les noirs d'un côté, armés de leurs seuls chants (la plupart de leurs leaders étaient aussi de merveilleux chanteurs) et les blancs racistes et ku-klux-klanesques qui leur tiraient dessus avec la bénédiction des forces de police locales, de l'autre. La principale vertu de ces chants sacrés était (et est toujours) de gommer toute peur de l'esprit de celui qui entend ces chants et ces paroles. La peur vaincue, rien ne peut résister aux tenants et défenseurs d'une cause juste. Ainsi, même les noirs du Mississipi purent un jour obtenir leur égalité de citoyen américain. Mieux, la qualité de l'harmonie de leurs choeurs spirituels, en particulier et du rythme de leur musique en général, contribua grandement à la lente mais sûre reconnaissance que, contrairement à ce que les marchands d'esclaves pensaient, les Indigos ne sont pas des "sauvages inférieurs" mais des humains à part entière, munis de la même sensibilité et de la même potentielle intelligence que quiconque d'une autre des couleurs de la grande tribu de l'arc en ciel humain.
J'ai eu l'occasion d'entendre certains des enregistrements subtils, c'est-à-dire conservés par son ange gardien, des improvisations que Jean Sébastien faisait à l'orgue de sa paroisse le dimanche, et l'Esprit de Jésus baignait la conscience des auditeurs présents, électrisés par cette jouissance de leurs sens que provoquaient les effluves de musique paradisiaque sortant des tuyaux, pourtant rudimentaires, de l'orgue de l'église de Leipzig. Bach était un fervent adorateur de Jésus et un contact intime et télépathique s'établit bientôt entre lui et votre Dieu local, ce qui donna des perles de musique instrumentale comme : “ Jésus, que ma joie demeure. ” La musique de Bach n'est donc pas seulement une musique à écouter; elle possède en elle-même les talents curatifs inhérents à la nature de Michael-Jésus et peut, de ce fait, être utilisée pour guérir toute une série de maladies dont le diabète, car elle a entre autres la vertu sonore de stimuler l'insuline. Dans la neuvième symphonie de Beethoven, plusieurs thèmes, notamment lorsque les Choeurs élèvent leurs merveilleuses mélodies, furent directement inspirées des anges. L'oreille intérieure de Ludwig était si développée que sa surdité ne fut dans sa carrière qu'un léger handicap. Il continuait de recevoir la musique à travers son sixième chakra !
Certaines vibrations sonores et lumineuses ont la vertu de remettre droit ce qui est tordu. C'est dans cette direction naturelle, efficace, non chimique et à terme très économique, que devraient s'orienter vos recherches médicales et les fonds qui la font fonctionner. De même, il est possible de guérir un mal de tête ou d'endormir un insomniaque chronique en jouant du gong chinois d'une certaine façon, grâce à ses vibrations que le concepteur original a sciemment mis au point il y a des milliers d'années. C'était un adamique...
Encore un signe que la musique influence bénéfiquement l'intelligence de ceux qui la pratiquent souvent; et les musiciens indiens travaillent leur art comme un yoga, c'est à dire plus de la moitié de leur temps de veille. Au contraire de la musique occidentale toujours à la recherche de nouveaux timbres et de nouvelles orchestrations complexes, la musique indienne est fidèlement et religieusement transmise à travers les générations depuis plus d'un millénaire sans qu'elle prenne une ride. La musique indienne, avec ses rythmes aux structures très compliquées, ne peut atteindre la perfection et son effet spiritualisant que par l'agilité personnelle que le musicien n'a pu acquérir que par une intense volonté. Au contraire de la musique occidentale, la musique indienne n'a pas besoin de partition. De ce fait, les instruments indiens se jouent intégralement à l'oreille et disposent de peu de barrés. Le sitar indien en a, mais l'essentiel de la mélodie sera jouée avec des cordes tirées à l'oreille par les doigts, contrairement à la guitare ou le piano, dont les instrumentistes sont condamnés à jouer les mélodies au demi-ton seulement. Le shanaï, sorte de hautbois indien, n'a pas de trous comme ses cousins occidentaux. Les notes sont jouées exclusivement par pression des lèvres du joueur et demandent une virtuosité exceptionnelle. Les enregistrements de Bismillah Khan, de Bénares, en sont la démonstration magistrale. La musique indienne n'a que des règles basiques et nécessaires pour que plusieurs musiciens puissent jouer ensemble de façon codifiée. Le raga reste sur la même tonique du début à la fin, ce qui règle le problème des modulations et explique pourquoi la musique indienne n'a pas besoin d'être écrite. Elle peut de ce fait garder tout son potentiel d'improvisation savante et enthousiasmante lorsque le musicien arrive en direct à entrer en transe avec son instrument. Plus grand a été son travail personnel, plus grand est son talent, la plus spiritualisante sera sa musique. Ravi Shankar est parmi les meilleurs de cette catégorie de génies. Le nombre de notes à l'intérieur d'un octave n'est pas le seul élément déterminant la spiritualité d'une musique. Le nombre des modes musicaux influe également sur l'ensemble (un mode est déterminé par la sélection des notes jouées à l'intérieur d'un octave). Les Indiens ont poussé le raffinement jusqu'à trouver quel mode convenait le mieux aux différentes étapes de la journée (matin, midi, soir, nuit), mais aussi aux saisons ainsi qu'à chaque sentiment ou état d'âme, comme la joie, la nostalgie, la tristesse, la méditation, le mariage, etc..
Dès que Ravi Shankar commença sa tournée américaine et européenne, grâce aux Beatles, des millions d'occidentaux tombèrent sous le charme de cette musique et révéla au monde la qualité de la culture du peuple indien ; l'engouement consécutif à cette découverte tardive se traduisit par le nombre de visiteurs que ce pays reçut par la suite et qui se chiffre par millions, tous fascinés par cette civilisation hors du commun par sa luxuriance et son raffinement côtoyant des visions épouvantables de saleté et de pauvreté. Cet instrument magique et superbe qu'est le sitar indien est arrivé "mystérieusement" il y a plus de deux mille ans. La science exigée pour le réglage des cordes et du chevalet (pour que les harmoniques vibrent conformément aux voeux du premier concepteur) est si complexe et savante qu'aujourd'hui encore, seuls les Indiens initiés par leur père, lui-même initié par le sien et ainsi de suite, sont capables d'en construire un et en le faisant sonner comme il se doit. Hors du commun dans les domaines créatifs également, puisqu'un sitariste doit quasiment mutiler deux de ses doigts pour pouvoir jouer dans les règles de l'art de son instrument. Les cordes de sitar sont en effet comparables aux cordes métalliques et très fines utilisés pour le piano; le musicien doit parfois tirer la corde servant à faire les mélodies si loin que la pression fait rentrer cette corde dans les chairs de l'index et du majeur. Le sitariste saignera alors en jouant pendant des années, devant donc dépasser la douleur et apprenant à la vaincre par l'unique force de sa volonté, jusqu'à ce que l'os lui-même et sa peau fabrique un cal suffisamment solide pour faire un sillon naturel dans lequel la corde va pouvoir se nicher et supporter la tension que la partition subjective du raga impose aux doigts de l'instrumentiste. Ce n'est qu'à partir du moment où la douleur est enfin surmontée définitivement que le jeune musicien va pouvoir se concentrer pleinement à l'esprit du raga et commencer à jouer en public. Tous les autres instruments indiens ont des particularités conceptuelles qui les rendent difficiles à jouer d'un premier abord. Il est donc impossible d'exprimer parfaitement un raga indien sans avoir pendant des années appris à se dépasser entièrement, aussi bien émotionnellement que musculairement. De plus, il faut entraîner sa tête à compter pendant des heures sans jamais se tromper des cycles rythmiques nettement plus complexes que les sempiternels rythmes binaires et simplistes de votre musique rock, les cycles pouvant aller de trois à quarante-huit battements en passant des cycles de seize temps un quart. À la moindre erreur rythmique de l'un ou de l'autre des musiciens, le raga s'effondrerait sans espoir d'être rattrapé. Il doit d'un bout à l'autre être sous contrôle, même si, peu à peu, le rythme saccélère jusquà la fin. Cela vient du fait que le musicien indien entraîne son organisme à recevoir l'énergie cosmique qui va passer à travers sa tête, ses doigts, son coeur, son instrument et, en bout de course, à travers son auditoire. Bien sûr, les mélomanes européens, habitués aux variation complexes des partitions de leurs musiciens, peuvent être décontenancés par le système monotonal d'une basse fixe, qui est l'expression musicale typiquement indienne. Mais il faut comprendre que cette musique n'a qu'un but: transporter l'auditeur et le musicien dans la région d'eux-mêmes où se trouve Dieu. De ce fait, la musique indienne est excellente pour faire monter la Kundalini énergétique et harmoniser les chakras. C'est pourquoi elle figure dans la section "musique spirituelle". Ces musiques se servent toutes de la voix humaine et de sa souplesse infinie de modulation harmonique et mélodique. La voix est en fait l'instrument de musique de référence le plus perfectionné et le plus fiable qui soit, lorsqu'elle est pilotée par quelqu'un ayant l'oreille musicale. En Inde, le raga chanté est la première chose que les enfants apprennent. Après, l'instrument servira à reproduire cette façon de chanter le raga, donnant ce style très particulier.
Sans transgression de la norme, il n'y a pas de progrès possible. Mais avant de chercher à transgresser efficacement, on doit au moins s'être familiarisé avec la règle, avec la norme dont on veut s'écarter.
Frank ZappaChant grégorien : basé sur les rythmes de la respiration, il donne une impression d'espace. C'est excellent pour travailler, se concentrer, méditer et il atténue le stress.
Musique baroque : les mouvements lents de Bach, Haendel ou bien de Corelli donnent une sensation de stabilité, d'ordre, de sécurité et créent un environnement stimulant pour les travaux intellectuels.
Musique classique : la transparence et la clarté de compositeurs tels Haydn ou Mozart améliorent la concentration, la mémoire et la perception spatiale.
Musique romantique : c'est la musique la plus chargée émotionnellement (cf. Chopin, Liszt, Wagner) car elle recouvre toute la gamme des sentiments, de la plus grande tristesse à l'exaltation mystique.
Jazz, Blues : les multiples formes « classique » du jazz peuvent évoquer, comme la musique romantique, toutes les émotions humaines, mais elles ont un impact plus tonifiant sur l'organisme.
Musique sacrée : quelles soient orientales, occidentales, traditionnelles ou modernes, toutes les musiques sacrées ont la particularité de distendre le temps et l'espace et de faire passer le cerveau en "onde alpha". C'est pourquoi elles sont propices non seulement à l'éveil spirituel mais aussi à la relaxation et à la réduction des douleurs.
Trouvez de nouveaux sons, plongez-vous dans le bain
Il ne reste plus que vous pour montrer le chemin
Qui mène au paradis des éternels copains
The times they are changing – de Bob Dylan
Rassemblez-vousOù que vous traîniez
Et admettez que les eaux
Autour de vous ont grandi
Et acceptez que bientôt
Vous serez trempés jusqu'aux os.
Si votre temps à vous
Vaut le coup d'être sauvé
Alors vous feriez mieux de commencer à nager
Ou vous allez couler comme une pierre
Car les temps, ils sont en train de changer
Venez pères et mères
Dans tout le pays
Et ne critiquez pas
Ce que vous ne pouvez pas comprendre
Vos fils et vos filles
Sont au-delà de votre contrôle
Votre vieux chemin
Vieillit rapidement
Sortez s'il vous plaît du nouveau chemin
Si vous ne pouvez aider
Car les temps, ils sont en train de changer.
Imagine – de John Lennon Imagine there's no heaven,
It's easy if you try,
No hell below us,
Above us only sky,
Imagine all the people,
Living for today...
Imagine there's no countries,
It isn't hard to do,
Nothing to kill or die for,
No religion too,
Imagine all the people,
Living life in peace...
You may say I'm a dreamer,
But I'm not the only one,
I hope some day you'll join us,
And the world will live as one.
Imagine no possessions,
I wonder if you can,
No need for greed or hunger,
A brotherhood of man,
Imagine all the people,
Sharing all the world...
You may say I'm a dreamer,
But I'm not the only one,
I hope some day you'll join us,
And the world will live as one.
Imagine qu'il n'y a aucun pays,
C'est facile si tu essayes,
Aucun enfer en dessous de nous,
Au dessus de nous seulement le ciel,
Imagine tous les gens,
Vivant pour aujourd'hui...
Imagine qu'il n'y a aucun pays,
Ce n'est pas si difficile que cela,
Aucune cause pour laquelle tuer ou mourir,
Aucune religion non plus,
Imagine tous les gens,
Vivant la vie en paix...
Tu peux dire que je suis un rêveur,
Mais je ne suis pas le seul,
J'espère qu'un jour tu nous rejoindras,
Et que le monde vivra uni.
Imagine aucunes possessions,
Je me demande si tu le peux,
Aucun besoin d'avidité ou de faim,
Une fraternité humaine,
Imagine tous les gens,
Partageant le monde...
Tu peux dire que je suis un rêveur,
Mais je ne suis pas le seul,
J'espère qu'un jour tu nous rejoindras,
Et que le monde vivra uni.
L comme Beauté – de Jacques Higelin
Tu es la beauté qui s'ignoreOubliée dans la nuit des temps,
Au fond de son île au trésor
Et qui attend le conquérant,
Qui te délivrera du sort
Où t'on jeté les impuissants.
Tu es la beauté qu'on agresse
Quand elle se montre au grand jour
En abandonnant ses richesses aux déshérités de l'amour,
Sans jamais attendre en retour le semblant d'une caresse.
Tu es la beauté insoumise, rebelle comme un cri d'enfant
Qui brandit sa rage de vivre face à la masse des morts vivants,
Sous la violence de leurs bêtises.
Tu es la beauté flamboyante qui rougit le ciel au matin
Comme le sang sur la chemise du bourreau ou de l'assassin.
Tu es la beauté que j'adore
Car elle m'a appris à aimer
Et à comprendre la laideur,
Qui est le miroir
Où je peux contempler,
Ma vérité !
La Musique
La musique étant le mode d'expression où les anges et les mortels de l'espace évolués sont les plus proches et ce mode d'expression étant un des agents qui éventuellement peut vous aider à spiritualiser votre pensée, je vais vous rappeler en détail un certain nombre de faits concernant cette expression artistique majeure.Si j'ai la volonté d'être le plus complet possible sur ce sujet, c'est que la musique est l'une de vos principales portes de conscience avec la prière et le yoga, et à ce titre ne fait donc pas exception quant aux attaques des lucifériens sur votre monde pour traquer toute espèce de lumière spirituelle capable de vous aider à progresser et donc de vous délivrer de leur influence et, finalement, de leur présence. Le son est composé de vibrations ; la lumière aussi. Au commencement était le Verbe et le Verbe était Dieu. Dieu est Amour ; l'amour est lumineux spirituellement. Dieu est donc lumière, son et amour, les trois ne faisant qu'un lorsqu'ils sont unifiés par Sa présence.
C'est pourquoi un bon musicien, quelle que soit son ethnie, est capable de faire sentir à son auditoire le souffle de Dieu et c'est également pourquoi la musique est l'art qui attire irrésistiblement le plus de gens : son aspect lumineux agit sur eux comme la lumière physique agit sur les insectes ou les poissons. Le véritable pouvoir de la musique commence là où s'arrête le pouvoir des livres et des pensées intellectuelles. La musique transcende la matière et l'intellect.
Platon déclara à une époque où la musique n'en était encore pourtant qu'à ses balbutiements dans son pays : " La musique peut donner des ailes à vos pensées et éclairer votre âme d'une lumière éternelle. "Qu'en aurait-il dit après avoir entendu ?" "La chevauchée des Walkyries" ou "Tannhäuser", de Wagner! L'acoustique étudiée des pyramides orientales comme des cathédrales occidentales montrent que les êtres humains connaissent depuis longtemps ce rôle spiritualisant sur la psyché humaine que peut avoir le son artistiquement agencé. Quand le rythme est parfaitement synchronisé avec la mélodie et que ces deux éléments servent de support à des paroles inspirées et chantées par une belle voix, on atteint le summum de ce qu'une expression artistique peut faire ressentir à l'âme humaine comme impression de beauté divine et il n'est pas rare, dans ces cas de figures, que l'auditeur soit ému jusqu'aux larmes ou qu'un frisson kundalinien lui remonte le long de la moelle épinière. Les chakras réagissent très bien à la musique, l'envers de la médaille étant que cette dernière peut donc manipuler les chakras ; si elle est concoctée par des apprentis lucifériens, cela donne des courants musicaux engendrant la dégénérescence, pour les musiciens aussi bien que pour leurs auditeurs ; c'est ainsi que fut créé le trio potentiellement infernal " drogue-sexe-rock'n roll " qui décrédibilisa totalement la jeunesse vis-à vis de la génération aînée et qui fit capoter la tentative de cette jeunesse pour prouver à leurs parents qu'ils avaient raison de faire cette révolution fraternelle et mondialiste.
Le mouvement punk, l'héroïne et le sida vinrent fortement interférer avec cette révolution pacifique des moeurs et des mentalités qui tâchait de se mettre en place et les idéaux pourtant élevés de cette génération psychédélisée retomba comme un soufflé avorté, conformément aux plans des barbouzes de la CIA, du KGB et du FBI d'Hoover. Mais pendant cette période des années 70-80 et grâce à des centaines de chansons inspirées, tout a été dit sur l'amour, la vie et Dieu, le tout étant gravé pour toujours sur des supports médiatiques qu'il vous est donné de consulter à loisir. Tout n'a donc pas été perdu et le message est passé, même pour les générations futures; si encore peu de gens l'ont réalisé pleinement, c'est que les radios négligent la pédagogie pour le profit immédiat et les musiques-fast food.
Une chose que les diaboliques ne peuvent cependant pas entièrement contrôler, c'est qu'une forte proportion de compositeurs découvrent assez vite leur Dieu intérieur et deviennent de grands penseurs humanistes, ce qui s'explique par le fait qu'un musicien captant les sons dans son oreille interne capte également les pensées et les sentiments qui s'y rattachent. Les sons ont en effet une sorte d'âme et il appartient au musicien de la capter puis de la révéler matériellement aux non-musiciens. La musique se retrouve dans tous les champs de conscience, bas ou élevés. C'est le compositeur qui, par sa propre fréquence, va capter la musique correspondant à son propre niveau de conscience ; plus sa démarche personnelle sera mystique et désintéressée, plus sa musique sera mystérieuse et spirituelle, donc riche en beauté et en harmonie. De J.S. Bach à Scriabine en passant par Mozart, Tchaïkovski et Wagner, les variations sur ce thème ne manquent pas ; de même, si un musicien s'adonne au sexe dans ce qu'il a de plus vil, aux drogues dures, à la violence et à la débauche morale, la musique qu'il produira illustrera l'état d'esprit où il se meut et trouvera comme admirateurs les êtres étant eux-mêmes dans cet état d'esprit.
Il s'établit alors entre la vedette décadente et son public une compétition à qui sera le plus décadent et le plus laid, jeu idiot puisque personne n'y gagne, bien au contraire ! Ou l'on sert le bon goût, ou l'on sert le mauvais. Ou l'on utilise la musique qui guérit, ou l'on utilise celle qui dérègle, selon quel maître on veut servir sachant qu'on ne peut bien servir qu'un maître à la fois...
En ce qui concerne les cérémonies vaudous, il apparaît clairement, d'après le comportement des participants et leurs grimaces, que les esprits attirés ne pouvaient appartenir qu'au bas astral, ceux qui s'amusent à se jouer des humains. Quelle différence dans les visages, si on les compare avec ceux, paisibles et recueillis, voire extatiques, d'auditeurs de musique sacrée classique ou indienne dont les chakras supérieurs ont été réharmonisés par ce flot harmonieux. Le contraste est saisissant et parle de lui-même : les deux environnements musicaux ne mènent pas les auditeurs au même pays ni aux mêmes expériences spirituelles. Chaque race de couleur a, par la volonté de vos créateurs, une conception originale d'ordre instinctif des rythmes et des mélodies, complémentaire avec les conceptions des autres ethnies colorées. En schématisant, les Indigos sont plus doués pour les rythmes et les rituels de transe mystique, les Blancs mettent l'accent sur la mélodie et la polyphonie, les Jaunes se servent des sons pour favoriser un état méditatif, les oranges et les verts pour danser et s'amuser. Les rouges n'arrivèrent jamais à élaborer une musique distrayante. Leurs chants sont pauvres harmoniquement et leurs rythmes rudimentaires. La musique guerrière était la plus élaborée, si l'on peut dire. Cependant, ils ont des qualités de courage et d'endurance supérieures aux autres qui leur servent autant qu'à d'autres la musique. Il peut y avoir des buts diamétralement opposées quant à l'expression musicale rituelle : ainsi les Tibétains, résultats ethniques d'une lointaine rencontre entre une tribu Jaune et une Rouge, n'utilisent la musique que dans le but de chasser les démons afin qu'ils les laissent méditer en paix, dans le silence revenu. Ce qui explique la dysharmonie habituelle de leur musique avec leurs trompes, leurs trompettes et leurs cymbales assourdissantes, jouées sur des rythmes irréguliers où il est impossible d'esquisser le moindre pas de danse. Les Tibétains ayant d'autres techniques que la musique pour les conduire à leur temple secret ou au Nirvana, la musique n'a jamais eu l'occasion de se développer. Au contraire des Tibétains, les Africains utilisent les sons et les rythmes pour attirer les esprits. Aussi utilisent-ils des chants polyphoniques répétitifs et incantatoires sur une section rythmique rappelant la pulsion vitale du coeur humain, le battement primordial de sa mère. Il leur est dès lors facile d'entrer en transe hypnotique et d'ouvrir leurs chakras aux esprits, avec tous les risques de possession que cela comporte.
La musique militaire, elle aussi, obéit à des critères précis pour mettre en transe les soldats et les faire marcher au-delà de leurs capacités normales. Il est probable que sans la Marseillaise et autres musiques militaires qu'il faisait continuellement jouer par son orchestre qui l'accompagnait sur tous les champs de bataille, Napoléon Bonaparte n'aurait pas remporté autant de victoires et fait marcher son Armée autant de kilomètres à pied en vingt ans.
A l'heure actuelle, le show business, infiltré par de multiples agents du bas astral, toujours intéressés par n'importe quelle possibilité de faire de l'argent, promeut, à coups d'onéreuses mais pourtant très rentables campagnes publicitaires, des pédophiles, des nymphomanes et des narcisses compulsifs, produisant sur scène une musique aux basses assourdissante, aux rythmes agressifs et littéralement infernaux, aux sons artificiels et métalliques, possédant la faculté de déstructurer la conscience de ses auditeurs-victimes, plutôt que la spiritualiser, comme le voudrait pourtant le rôle originel de la musique et pour couronner le tout, des chansons dont les paroles sont des appels au meurtre ou au suicide, ce qui pour leur responsabilité karmique, revient au même. Si vous regardez quel genre d'archétype humain engendre cette musique, tout vous deviendra clair: leur apparence évoque le bas astral dans toute sa laideur et ils étalent leurs vices quasiment au grand jour, comme une provocation supplémentaire et une démonstration de leur emprise sur leurs "fans"; cela va de la pédophilie simple au poignardage sauvage en passant par tous les comportements déviants, anti-spirituels et socialement choquants. Mais ces agents de l'art infernal ne sont qu'une minorité parmi tous les artistes. S'ils sont en général mieux connus, c'est parce que le show-biz dépense des millions de dollars à la promotion de leur égo et de leurs musiques primaires. Il y a trois groupes distincts de musiques, correspondant aux trois niveaux de réalités de votre personnalité: la musique physique (chakra 1, 2, 3), la musique mentale (chakra 3, 4, 5) et la musique spirituelle (chakra 5, 6, 7).
I La musique du corps
Cette catégorie concerne essentiellement les chakras dits "inférieurs" à savoir le premier, deuxième et troisième niveau de conscience. Elle n'a pas de vertu psychédélique, ne suscite pas de sentiments d'amour, elle ne traduit pas non plus la beauté du monde subtil invisible, par contre, elle sert à danser de façon binaire et échevelée.Cette musique concerne donc surtout les jeunes qui aiment à perdre leur raison et s'épuiser dans ces déluges sonores et lumineux. Plus ils désapprouvent ce qui se passe dans leur environnement, plus ils rechercheront ces spectacles décervelants où ils peuvent enfin s'évader pour un temps. Pour augmenter encore cette volonté d'aller ailleurs, ils prennent toutes sortes de drogues distribuées obligeamment par la mafia, puisqu'elles sont officiellement interdites, dont certaines, hélas, sont dangereuses, voire mortelles car frelatées ou synthétisées par d'ignorants apprentis sorciers, tchétchènes ou libanais. Ce sujet ayant déjà été abondamment traité, je reviens au sujet présent : que le lecteur ne perde pas de vue que cette analyse musicale critique ne concerne pas les questions de goût que chacun a le droit d'avoir sans être obligé de rendre des comptes à quiconque. Je parle ici exclusivement de l'impact spirituel positif ou négatif sur la psyché humaine, sujet de la polémique actuelle tournant autour des activités des marchands du temple de la Musique, et raison d'être de ce livre qui est de vous révéler les détails de la vaste conspiration contre les enfants de Dieu qui est présente partout, y compris au royaume de la Musique. La musique ayant un rôle important dans la formation culturelle et mentale d'un individu, il faut que certaines choses peu agréables mais nécessaires soient dites ici pour votre information. Par exemple :
1°)- Le rock des années 70 à vos jours
Nous atteignons ici le domaine des musiques dangereuses car souvent nocives pour l'auditeur, autant pour leurs oreilles que pour leurs chakras, donc leurs caractères. Physiologiquement, car ces musiciens se donnent souvent en spectacle où la sonorisation crache beaucoup trop de décibels, facteur de maladies graves de l'ouïe et du cerveau pour le corps physique, et de dérèglements des chakras pour le corps subtil, et donc de la conscience. Psychologiquement, parce que la majorité des textes de chansons interprétées par des chanteurs bêlant, bafouillant ou hurlant, selon les tempéraments, sont des paroles tournant autour du sexe libertin, de la rébellion gratuite et de l'affirmation de l'ego.Cette musique se caractérise en outre par une simplicité extrême des modulations, en général toujours les trois ou quatre mêmes, plus un "pont" au milieu. La batterie et la basse, appelée "section rythmique", jouent au maximum de leurs possibilités sonores amplifiées des rythmes lourds et répétitifs, la plupart des riffs et des mélodies étant assurés par des guitares distortionnées jouées par des hermaphrodites contorsionnés qui semblent prendre des chocs électriques à chaque placage d'accord...
Seuls les assoiffés de bière et de sensations fortes s'y retrouvent, mais certainement pas le mélomane averti. Les fameux "Hells angels" avec qui je n'ai aucune parenté, sont à la fois les plus grands fans de ce genre de musique et se retrouvent souvent chargés d'assurer à la fois le service d'ordre et aussi paradoxalement la distribution de drogues diverses, dont ils ont gagné, de haute et sanglante lutte, le contrôle sur ce terrain. Qui se ressemble s'assemble.
2°)- La transe-techno
Cette expression musicale, à l'inverse de la précédente, est très rarement chantée et ne véhicule aucun message particulier. Elle est exclusivement interprétée sur des synthétiseurs et pilotée par des ordinateurs munis de logiciels chargés souvent de trouver eux-mêmes les rythmes et les mélodies, tellement peu compositeurs sont ces nouveaux musiciens, appelés "D.J." ou "M.C". Cependant, ils savent mettre les danseurs en transe, c'est incontestable. Les sons échantillonnés les plus divers sont utilisés sur des rythmes frénétiques et fortement déconseillés aux cardiaques et aux diabétiques. Les lieux de concerts pour cette musique sont plus rares car il n'y a que peu de groupes traditionnellement structurés, mais ils règnent en maîtres dans les discothèques du monde entier. Là également se pose le problème de l'excès de décibels et de vibrations suractives qui engendrent dérèglement des chakras et augmentation de l'instinct de violence. Ces propos sonnent terriblement réactionnaires mais dépeignent une réalité et des conséquences physiologiques qui vous sont globalement préjudiciables. Encore faut-il bien poser le problème et bien connaître les enjeux occultes : en l'occurrence, je parle ici de tentative d'aliénation de la jeunesse grâce à des miroirs aux alouettes mis aux points par des professionnels de la manipulation mentale. Tout ceci n'évoque pas la liberté, même si les rockers se targuent de porter ces valeurs aux nues.3°)- La musique de tambours
Les cérémonies utilisant exclusivement un grand nombre de tambours sont souvent utilisés pour pousser les gens à la guerre, à la haine et au viol, car leurs fréquences sonores vibrent plutôt au niveau des chakras inférieurs. Les tambours de guerre des êtres humains rouges, les rituels africains ou Sud américains le démontrent clairement : les cris hystériques et les mouvements désordonnés des "possédés" ne sont nullement révélateurs de réalités divines et cosmiques. Enfin, les adeptes de ces transes rendus avides de sang ne rechignent pas à tuer à l'occasion. C'est le problème que pose le vaudou et ses rituels sacrificiels d'animaux. Lorsque les esclaves africains se répandirent à leur corps défendant en Amérique, dans es Antilles et au Brésil, leurs diasporas respectives gardèrent leurs traditions vaudou vivaces. Leurs maîtres, bons chrétiens, voulurent diaboliser leurs traditions pour mieux les interdire, la transe ayant de tout temps été considérée par l'Église comme d'essence diabolique. Mais en soi, le vaudou n'est pas différent ni plus dangereux que le shamanisme tibétain ou yaqui.II La musique mentale
Cette musique correspond aux chakras trois, quatre et cinq. De l'amour de soi à l'amour de Dieu. Cette musique n'est donc pas exclusivement chargée en émotion spirituelle, néanmoins elle est utile pour réharmoniser ces chakras . Continuant mon hit parad, je mettrai en premier de cette catégorie :1°)- La musique du XIXe siècle
Certains des compositeurs cités précédemment se retrouvent aussi dans cette catégorie car ils étaient des compositeurs éclectiques et évoluants. C'est le cas de Franz Liszt, qui fit continuellement évoluer sa musique. Il commença par une musique de troisième chakra, à la gloire de son égo qu'il savait très doué, et les prouesses techniques de ses compositions d'alors empêchaient l'Esprit de se manifester à travers elles. Puis, l'âge aidant, il monta à la musique supérieure, qui s'adressait au coeur, où il écrivit de superbes pages, autour de thèmes hongrois notamment. Puis il finit par composer des messes et devint même un prêtre chaste alors qu'il avait été pendant des décennies un coureur de jupons invétéré. Beau travail, Franz. Les autres musiciens que j'ai plaisir à mettre dans cette catégorie s'appellent Mozart, Schumann, Beethoven, Vivaldi, Rossi, Brahms, Holst, Chopin, Sibelius, Debussy, Mahler, Berlioz, Tchaïkovski, Wagner, Moussorsky, Scriabine, Rachmaninov, Katchaturian, Ravel, Debussy, Fauré, Messiaen...Tous passés maîtres en musique romantiquement mentale et visuelle.2°)- La musique pop du nouvel âge
Cette musique, apparue d'abord en Allemagne et en Californie dans les années 70 est le pendant moderne des musiques sacrées du siècle dernier. La chambre d'échos et la réverbe électronique remplace l'acoustique calculée des églises et les envolées mélodiques sont moins spirituelles que celles décrites précédemment. Les musiciens "new age" sont également moins compétents techniquement que leurs aînés, car moins travailleurs, les machines supprimant le besoin impérieux de faire des heures de gammes quotidiennes pour être capable de jouer les partitions concoctées par les génies du XIXe siècle. Actuellement, les meilleures musiques de cette catégorie servent à détendre, à relaxer les cadres stressés par la vie trépidante des mégapoles; elles sont utiles pour stabiliser le quatrième chakra, ce qui n'est déjà pas si mal. Certains des sons utilisés sont littéralement comme du miel dans les oreilles, car ce sont des fréquences pures comme les ondes Martenot ; elles ont la vertu de stabiliser les ondes alpha et donc de provoquer cette sensation de bien-être et de calme qui saisit immanquablement l'auditeur de ces musiques.Les meilleurs de cette catégorie sont les Pink Floyd, Tangerin dream, Jean-Michel Jarre, Terry Riley, Tod Rungren, Genesis, Klaus Schulze, Le Mahavishnu Orchestra, certaines ballades magiques des Beatles et du Grateful dead, inspirées par les muses angéliques...
3°)- La musique ethnique
La musique ethnique recoupe dans mon esprit toutes les musiques suffisamment anciennes pour ne pas avoir été polluées par la mode moderne consistant à rogner vers le bas les expressions musicales ancestrales dans un seul but démagogique et mercantile. Ainsi la musique tzigane est ethnique. La musique des griots africains aussi. Les chants polyphoniques bushmen, les mélopées éthiopiennes, les harmonies zoulous, le folklore israélien, les polyphonies corses et la musique celte, entre autres, appartiennent également à cette catégorie de musique dont la sincérité et le talent individuel des instrumentistes qui l'expriment touchent et réharmonisent les chakras supérieurs de l'auditeur.4°)- Le jazz
La création du jazz résulte d'un phénomène d'acculturation. Plus exactement, il est le produit en Terre nord-américaine du mélange des cultures de l'Afrique de l'Ouest (la partie de l'Afrique servant de réservoir d'esclaves) et des cultures européennes avec ses instruments évolués (cuivres, cordes, piano et orgue). Le port de la Nouvelle-Orléans imposa longtemps sa marque et joua un rôle primordial de diffuseur culturel par son importance économico-géographique. En raison de la transformation permanente de cette musique qui déborda très rapidement son cadre originel, le jazz se répandit dans tous les pays jusqu'au Japon, qui possède d'excellents groupes de jazz. Comme ce processus de fusion pluriculturelle s'est déroulé hors de tout système de notation musicale, puisque l'expression spontanée et les improvisations en étaient les bases, le jazz est une sorte d'équilibre instable où se mêlent les rythmes ancestraux de l'Afrique occidentale, (celle des griots) d'une part, les vielles cultures symphoniques européennes d'Espagne et d'Angleterre en passant par la France, l'Italie et l'Allemagne, et enfin la musique country des premiers pionniers qui swingue et fait taper du pied, utilisant des instruments rudimentaires et légers comme la guitare et l'harmonica, d'autre part. Ce battement sommaire, présent dans la musique folklorique blanche, va être transformé par les Indigos et leur connaissance ancestrale des rythmes composés et syncopés. En effet, la rythmique africaine s'appuie essentiellement sur des formules fondées sur le découpage du temps en unités cycliques de durée identique.L'exécution simultanée par plusieurs percussions de formules rythmiques différentes bien qu'exprimées à l'intérieur d'un cycle fixe, donne lieu a des élaborations rythmiques d'une grande complexité qui n'a d'égal que la complexité des fugues de Bach dans le domaine mélodique.
Le beat européen et le temps décalé à l'intérieur d'un cycle fixe donna la musique "swing", chère à Louis Armstrong. Lui et ses confrères, dont vous n'avez, pour en connaître tous les noms, qu'à consulter la discographie si la musicologie du jazz vous intéresse, inventèrent de nouvelles expressions avec leurs instruments respectifs, comme les "dirty tones", les sons poussés, les glissendo chers au tromboniste Kid Ory, et les mélodies percussives bien dans la tradition africaine. Ce nouveau langage musical ne tarda pas à conquérir la planète et contribua à libérer le peuple dit "noir" du mépris général qu'il suscitait jusqu'alors.
Si le jazz a si rapidement pu gagner tant de renommée, c'est qu'il correspond, dans son expression musicale, au troisième chakra, où l'ego du soliste et sa capacité à exposer sa virtuosité instrumentale va être l'élément le plus important du jazz. Peu à peu, les blancs se mirent à vouloir copier cette musique et formèrent bientôt leurs propres orchestres et leurs propres interprétations des syncopes. Plus rigides que leurs frères Indigos pour balancer et leur corps et la musique, ils créèrent les grands orchestres, à mi-chemin entre l'orchestre de chambre européen et les improvisations tribales avec structure d'appel et de réponses de thèmes propre à la musique africaine. Le "Porgy and Bess" de George Gershwin est l'oeuvre actuellement la plus aboutie en ce qui concerne la fusion des traditions musicales blanches et indigo. ce dernier a su donner au jazz une touche sentimentale et quasi-spirituelle qui lui manque parfois, spécialement si l'on aborde la période débouchant sur le "free jazz".
Django Reinhardt et Stephan Grapelli introduisirent une touche espagnole et tzigane au jazz avec autant de bonheur, achevant de faire du jazz un langage d'une souplesse illimitée. Une des chaînes évolutionnaires du jazz déboucha à la fin des années 70 sur le jazz-rock, où l'extrême virtuosité des interprètes férus de musique indienne et orientale, mélangés aux nouveaux sons des synthétiseurs, donna une musique très énergétique et décapante. Leurs principaux interprètes s'appellent Ray Charles, Miles Davis, Herbie Hancock, Ian Garbarek, Keith Jarrett, Jacques Loussier qui adapta Bach aux lois jazzées. Il est certain que cette époque où le haschisch et la marijuana étaient omniprésents autour des musiciens de toutes couleurs et de tous pays, influèrent fortement sur le tournant mélodique et rythmique que la musique jazz et rock prirent à partir des années 70. Ce qui fait que cette musique titille également le quatrième chakra. La dernière génération de ces maîtres instrumentistes se compose de Chick Corea, Alice Coltrane, Ian Hammer, Paco de Lucia, Aldi Meola, Jean-Luc Ponty, John Mc Laughlin, Stevie Wonder, Didier Lockwood, Patrick Moraz, Christian Vander...
Tous ces brillants musiciens circulent entre la musique spirituelle et la musique mentale. La richesse harmonique des orchestrations et la complexité des rythmes en font une musique complète et idéale pour recharger les chakras intermédiaires (3, 4, 5).
5°)- Le Reggae
Le reggae a finalement pu prendre ses titres de noblesse grâce aux talents de paroliers incontestables qu'avaient certains ganjamen jamaïcains, Bob Marley en tête. De par la nature de ses textes et son influence bénéfique sur tous les musiciens qui s'engouffrèrent dans cette brèche inespérée, que son talent fit en explosant, vous pouvez présumer que Bob Marley a travaillé avec des entités spirituelles et vous auriez raison. Le rythme organique de cette musique ajouté au niveau hautement inspiré des paroles de la plupart de ses chansons contribue à mettre cette musique dans la catégorie produisant des énergies mentalo-spirituelles et donc bénéfique pour la conscience de l'auditeur. Le reggae et ses nouveaux dérivés, le rap et le ragamufin, sont devenus des tribunes libres où les gens opprimés, donc surtout des indigos, des verts et des oranges, tous ancêtres d'esclaves ou de colonisés, ont l'occasion de venir apporter en chantant leurs idées, leurs point de vue et leurs solutions pour améliorer la situation.III La musique spirituelle
Certaines musiques bien employées peuvent renforcer chez l'auditeur son côté positif, son sens de l'esthétique et de l'harmonie conduisant immanquablement à la gentillesse et à la paix intérieure. C'est le cas des musiques spirituelles, celles qui font irrésistiblement sentir Dieu aux auditeurs. Plus il y a de notes actives dans un octave, plus la musique résonne richement dans les chakras, spécialement les supérieurs, plus réceptifs aux mélodies et aux aigus, alors que les chakras inférieurs réagissent plutôt aux rythmes et aux basses. Par exemple la gamme tempérée, celle utilisée par la race blanche, est divisée en douze notes d'un demi-ton chacune ; la gamme africaine type contient cinq tons (qui correspondent aux touches noires du piano, détail amusant) et on l'appelle gamme pentatonique; la musique de l'ethnie jaune en comporte de sept à douze selon les époques et les pays; la musique indienne, elle, a réussi à établir un système de vingt-quatre notes d'un quart de ton chacune, différentes selon qu'elles montent ou qu'elles descendent. Sauf quelques exceptions, il n'y a que les oreilles indiennes pour être capables de discerner et d'apprécier ces différences subtiles de fréquences selon que la mélodie monte ou descend.Ce système de quart de ton est cependant tellement naturel que les Occidentaux ont tourné la difficulté causée par leur système tempéré: par l'usage du vibrato, ce mouvement plus ou moins prononcé du poignet et des doigts qui jouent sur les cordes, ou le mouvement de la glotte pour les partitions vocales, ou de l'air pour les instruments utilisant le souffle, les musiciens classiques peuvent utiliser le pouvoir spiritualisant du quart de ton d'expression, même dans le cadre rigide du système tempéré à demi-ton. Dans le domaine de la musique spirituelle, celle qui s'occupe des chakras 5, 6, 7, je ne ferai pas mystère de mon choix plus longtemps et je mettrai en numéro un :
1°)- Le gospel et le negro spiritual
Les héritiers génétiques de l'ethnie indigo originelle ont des facultés musicales très développées ; ils ont par ailleurs des faiblesses qui se trouvent être le point fort d'une autre ethnie colorée moins douée musicalement. Quoiqu'il en soit, le corps des Indigos (que vous appelez improprement des "Noirs"), est un merveilleux instrument, capable de trouver les mouvements de danse conduisant soit à des transes mystiques, soit à des transes de bas-astral, selon la musique jouée et le but des musiciens présents; capable également de décrypter les pensées dans les infinies combinaisons rythmiques; capable d'être utilisé comme un coffre de résonance d'autant plus magnifique que le peuple Indigo est doté d'un larynx et de cordes vocales ayant mieux que la plupart des autres la qualité de dégager toutes les harmoniques du spectre sonore audible par l'oreille humaine.À la fin de votre XVIIIe siècle, les Indigos arrivèrent aux Amériques par centaines de mille. Lorsque tous ces talents combinés vinrent s'unir (à travers des unions sexuelles, souvent forcées entre Blancs et Indigos esclaves) avec le don de la mélodie romantique que la race dite "blanche" possède grâce à l'héritage adamique, le tout chapeauté par la nouvelle connaissance de l'existence d'un Dieu et de son Fils Paradisiaque, cela donna la musique gospel et negro-spiritual ; ce fut possible dès que les descendants d'esclaves africains du Dahomey, du Togo, de la Sierra Leone et du Niger, tous adeptes de la musique vaudou, furent évangélisés par les bonnes âmes chrétiennes qu'ils servaient avec plus ou moins de bonheur).
Les textes des gospels sont consacrés à Jésus et les autres à la vieille Bible. Chaque dimanche, il est possible de constater que c'est dans les églises fréquentées par ces descendants des Indigos que les ouailles peuvent le mieux sentir la vibration divine de leur Créateur, grâce aux talents musicaux et à l'art de se mettre en transe mystique que possèdent leurs pasteurs en particulier et ce précieux peuple en général, si mal aimé et sous-évalué, encore maintenant.
Un peau noire n'est ni plus ni moins éloigné du singe qu'un peau blanche, jaune ou verte. Qu'on se le dise une fois pour toutes. Par contre, il y a des imbéciles et des génies dans toutes les ethnies colorées. Les racistes blancs en sont la meilleure preuve. C'est grâce à la puissance évocatrice des textes évoquant l'asservissement du peuple juif par les Égyptiens et leur détermination à se libérer de leur joug, chantés à leur manière, que les noirs trouvèrent la force morale d'affronter, pendant toute la décennie des années soixante, les ségrégationnistes sudistes américains, du Mississipi et d'Alabama notamment, qui refusaient catégoriquement de leur octroyer leurs droits civiques et avec qui une lutte âpre devint nécessaire, avec les noirs d'un côté, armés de leurs seuls chants (la plupart de leurs leaders étaient aussi de merveilleux chanteurs) et les blancs racistes et ku-klux-klanesques qui leur tiraient dessus avec la bénédiction des forces de police locales, de l'autre. La principale vertu de ces chants sacrés était (et est toujours) de gommer toute peur de l'esprit de celui qui entend ces chants et ces paroles. La peur vaincue, rien ne peut résister aux tenants et défenseurs d'une cause juste. Ainsi, même les noirs du Mississipi purent un jour obtenir leur égalité de citoyen américain. Mieux, la qualité de l'harmonie de leurs choeurs spirituels, en particulier et du rythme de leur musique en général, contribua grandement à la lente mais sûre reconnaissance que, contrairement à ce que les marchands d'esclaves pensaient, les Indigos ne sont pas des "sauvages inférieurs" mais des humains à part entière, munis de la même sensibilité et de la même potentielle intelligence que quiconque d'une autre des couleurs de la grande tribu de l'arc en ciel humain.
2°)- La musique sacrée captée entre les années 1700 et 1900
Quand le musicien est en Dieu, Dieu est dans sa musique. Cela peut constituer un théorème, et les musiques composées par Bach, Haydn, Haendel ou Liszt sont là pour le démontrer.J'ai eu l'occasion d'entendre certains des enregistrements subtils, c'est-à-dire conservés par son ange gardien, des improvisations que Jean Sébastien faisait à l'orgue de sa paroisse le dimanche, et l'Esprit de Jésus baignait la conscience des auditeurs présents, électrisés par cette jouissance de leurs sens que provoquaient les effluves de musique paradisiaque sortant des tuyaux, pourtant rudimentaires, de l'orgue de l'église de Leipzig. Bach était un fervent adorateur de Jésus et un contact intime et télépathique s'établit bientôt entre lui et votre Dieu local, ce qui donna des perles de musique instrumentale comme : “ Jésus, que ma joie demeure. ” La musique de Bach n'est donc pas seulement une musique à écouter; elle possède en elle-même les talents curatifs inhérents à la nature de Michael-Jésus et peut, de ce fait, être utilisée pour guérir toute une série de maladies dont le diabète, car elle a entre autres la vertu sonore de stimuler l'insuline. Dans la neuvième symphonie de Beethoven, plusieurs thèmes, notamment lorsque les Choeurs élèvent leurs merveilleuses mélodies, furent directement inspirées des anges. L'oreille intérieure de Ludwig était si développée que sa surdité ne fut dans sa carrière qu'un léger handicap. Il continuait de recevoir la musique à travers son sixième chakra !
Certaines vibrations sonores et lumineuses ont la vertu de remettre droit ce qui est tordu. C'est dans cette direction naturelle, efficace, non chimique et à terme très économique, que devraient s'orienter vos recherches médicales et les fonds qui la font fonctionner. De même, il est possible de guérir un mal de tête ou d'endormir un insomniaque chronique en jouant du gong chinois d'une certaine façon, grâce à ses vibrations que le concepteur original a sciemment mis au point il y a des milliers d'années. C'était un adamique...
3°)- Les ragas indiens
Malgré l'hostilité légendaire opposant Hindous et Musulmans, les musiciens de ces deux fausses ethnies (puisqu'elles sont toutes deux issues des mêmes souches raciales), se réunissent pour jouer ensemble. C'est la seule caste indienne dont les membres se comportent ainsi avec leurs frères musulmans.Encore un signe que la musique influence bénéfiquement l'intelligence de ceux qui la pratiquent souvent; et les musiciens indiens travaillent leur art comme un yoga, c'est à dire plus de la moitié de leur temps de veille. Au contraire de la musique occidentale toujours à la recherche de nouveaux timbres et de nouvelles orchestrations complexes, la musique indienne est fidèlement et religieusement transmise à travers les générations depuis plus d'un millénaire sans qu'elle prenne une ride. La musique indienne, avec ses rythmes aux structures très compliquées, ne peut atteindre la perfection et son effet spiritualisant que par l'agilité personnelle que le musicien n'a pu acquérir que par une intense volonté. Au contraire de la musique occidentale, la musique indienne n'a pas besoin de partition. De ce fait, les instruments indiens se jouent intégralement à l'oreille et disposent de peu de barrés. Le sitar indien en a, mais l'essentiel de la mélodie sera jouée avec des cordes tirées à l'oreille par les doigts, contrairement à la guitare ou le piano, dont les instrumentistes sont condamnés à jouer les mélodies au demi-ton seulement. Le shanaï, sorte de hautbois indien, n'a pas de trous comme ses cousins occidentaux. Les notes sont jouées exclusivement par pression des lèvres du joueur et demandent une virtuosité exceptionnelle. Les enregistrements de Bismillah Khan, de Bénares, en sont la démonstration magistrale. La musique indienne n'a que des règles basiques et nécessaires pour que plusieurs musiciens puissent jouer ensemble de façon codifiée. Le raga reste sur la même tonique du début à la fin, ce qui règle le problème des modulations et explique pourquoi la musique indienne n'a pas besoin d'être écrite. Elle peut de ce fait garder tout son potentiel d'improvisation savante et enthousiasmante lorsque le musicien arrive en direct à entrer en transe avec son instrument. Plus grand a été son travail personnel, plus grand est son talent, la plus spiritualisante sera sa musique. Ravi Shankar est parmi les meilleurs de cette catégorie de génies. Le nombre de notes à l'intérieur d'un octave n'est pas le seul élément déterminant la spiritualité d'une musique. Le nombre des modes musicaux influe également sur l'ensemble (un mode est déterminé par la sélection des notes jouées à l'intérieur d'un octave). Les Indiens ont poussé le raffinement jusqu'à trouver quel mode convenait le mieux aux différentes étapes de la journée (matin, midi, soir, nuit), mais aussi aux saisons ainsi qu'à chaque sentiment ou état d'âme, comme la joie, la nostalgie, la tristesse, la méditation, le mariage, etc..
Dès que Ravi Shankar commença sa tournée américaine et européenne, grâce aux Beatles, des millions d'occidentaux tombèrent sous le charme de cette musique et révéla au monde la qualité de la culture du peuple indien ; l'engouement consécutif à cette découverte tardive se traduisit par le nombre de visiteurs que ce pays reçut par la suite et qui se chiffre par millions, tous fascinés par cette civilisation hors du commun par sa luxuriance et son raffinement côtoyant des visions épouvantables de saleté et de pauvreté. Cet instrument magique et superbe qu'est le sitar indien est arrivé "mystérieusement" il y a plus de deux mille ans. La science exigée pour le réglage des cordes et du chevalet (pour que les harmoniques vibrent conformément aux voeux du premier concepteur) est si complexe et savante qu'aujourd'hui encore, seuls les Indiens initiés par leur père, lui-même initié par le sien et ainsi de suite, sont capables d'en construire un et en le faisant sonner comme il se doit. Hors du commun dans les domaines créatifs également, puisqu'un sitariste doit quasiment mutiler deux de ses doigts pour pouvoir jouer dans les règles de l'art de son instrument. Les cordes de sitar sont en effet comparables aux cordes métalliques et très fines utilisés pour le piano; le musicien doit parfois tirer la corde servant à faire les mélodies si loin que la pression fait rentrer cette corde dans les chairs de l'index et du majeur. Le sitariste saignera alors en jouant pendant des années, devant donc dépasser la douleur et apprenant à la vaincre par l'unique force de sa volonté, jusqu'à ce que l'os lui-même et sa peau fabrique un cal suffisamment solide pour faire un sillon naturel dans lequel la corde va pouvoir se nicher et supporter la tension que la partition subjective du raga impose aux doigts de l'instrumentiste. Ce n'est qu'à partir du moment où la douleur est enfin surmontée définitivement que le jeune musicien va pouvoir se concentrer pleinement à l'esprit du raga et commencer à jouer en public. Tous les autres instruments indiens ont des particularités conceptuelles qui les rendent difficiles à jouer d'un premier abord. Il est donc impossible d'exprimer parfaitement un raga indien sans avoir pendant des années appris à se dépasser entièrement, aussi bien émotionnellement que musculairement. De plus, il faut entraîner sa tête à compter pendant des heures sans jamais se tromper des cycles rythmiques nettement plus complexes que les sempiternels rythmes binaires et simplistes de votre musique rock, les cycles pouvant aller de trois à quarante-huit battements en passant des cycles de seize temps un quart. À la moindre erreur rythmique de l'un ou de l'autre des musiciens, le raga s'effondrerait sans espoir d'être rattrapé. Il doit d'un bout à l'autre être sous contrôle, même si, peu à peu, le rythme saccélère jusquà la fin. Cela vient du fait que le musicien indien entraîne son organisme à recevoir l'énergie cosmique qui va passer à travers sa tête, ses doigts, son coeur, son instrument et, en bout de course, à travers son auditoire. Bien sûr, les mélomanes européens, habitués aux variation complexes des partitions de leurs musiciens, peuvent être décontenancés par le système monotonal d'une basse fixe, qui est l'expression musicale typiquement indienne. Mais il faut comprendre que cette musique n'a qu'un but: transporter l'auditeur et le musicien dans la région d'eux-mêmes où se trouve Dieu. De ce fait, la musique indienne est excellente pour faire monter la Kundalini énergétique et harmoniser les chakras. C'est pourquoi elle figure dans la section "musique spirituelle". Ces musiques se servent toutes de la voix humaine et de sa souplesse infinie de modulation harmonique et mélodique. La voix est en fait l'instrument de musique de référence le plus perfectionné et le plus fiable qui soit, lorsqu'elle est pilotée par quelqu'un ayant l'oreille musicale. En Inde, le raga chanté est la première chose que les enfants apprennent. Après, l'instrument servira à reproduire cette façon de chanter le raga, donnant ce style très particulier.
En conclusion
La musique n'adoucit donc les moeurs que si le musicien d'où elle émane est doux. L'importance du musicien dans la Société a été quelque peu perdue car il doit théoriquement être un exemple vivant d'harmonie, d'accord parfait et de raffinement supérieur. Le pouvoir de la musique est encore bien plus grand que vous ne le supposez. Un seul musicien particulièrement génial pourrait, par la simple beauté de ses mélodies changer, grâce à une série de réactions en chaîne, le niveau de conscience de son pays et même du monde.L'esprit c'est comme un parachute : s'il reste fermé, on s'écrase.
L'information n'est pas la connaissance. La connaissance n'est pas la sagesse. La sagesse n'est pas la vérité. La vérité n'est pas la beauté. La beauté n'est pas l'amour. L'amour n'est pas la musique. La musique est la meilleure des choses.Sans transgression de la norme, il n'y a pas de progrès possible. Mais avant de chercher à transgresser efficacement, on doit au moins s'être familiarisé avec la règle, avec la norme dont on veut s'écarter.
Frank Zappa