Tu te demandes si tu en fais assez pour plaire à Dieu ? Tu as l'impression qu'il te faut gravir une montagne, franchir des vallées, des ruisseaux, des rivières, des torrents et quelques ouragans, pour avoir enfin l'honneur d'entendre ton âme ? Dois-tu mériter l'attention de celle-ci ?
Quand cesseras-tu de t'agiter, afin que tu puisses enfin l'entendre, dans la simplicité du coeur, dans cet éternel ici et maintenant en continuel renouvellement ?
Mais tu te questionnes, tu portes encore en toi une envie de plaire à ton Dieu. Tu imagines qu'il pense que tu n'en as pas fait suffisamment. Tu crains Dieu. Tu crois encore que tu as été chassé de la Création parce que tu n'en était pas digne. Tu es encore habité de cette sensation que tu as probablement été envoyé sur Terre pour te racheter, mis en quarantaine jusqu'à ce que ta dette ait été payée. Et maintenant, ton envie de plaire à Dieu est en lien direct avec ton envie de reconquérir cette dignité perdue. Et tu as encore plus peur de Dieu.
Dieu n'est pas cet être insatiable que l'on ne peut véritablement contenter. Ceci a créé les bases de nos religions, et cela a nourri chez les humains une impression qu'un dieu les observe, prêt à leurs reprocher tous leurs faux pas. Pourtant, tu ne fais que des expériences !
Tu es encore à ne pas prendre conscience que tu es dieu aussi, que tu peux t'aimer et que c'est à toi que tu dois plaire d'abord.
Ce dieu, c'est ton âme en union parfaite avec la connaissance du chemin que possède le Fragment de Dieu en toi-même. Dieu ne sera pas déçu lorsque tu te lanceras dans une expérience, au risque de faire des erreurs. Lorsque tu t'attristes d'un échec, tu ne fais en réalité qu'un autre pas, sans lequel tu ne ferais pas d'expérience. N'as-tu pas remarqué que tu sors d'une apparente difficulté toujours plus fort, plus assuré en toi-même, de plus en plus clair avec toi-même ?
N'attends rien d'autre que ce que tu sais pouvoir faire raisonnablement. Ton évolution est en effet beaucoup plus lente que tu ne le souhaites, car c'est ainsi que tu acquéreras vraiment les qualités que tu recherches pour toi-même. Contemple tes créations et adapte ton regard sur celles-ci comme si tu étais ton propre enfant que tu encourages à persévérer.
La vie te proposera toujours de nouveaux défis, que tu relèveras ou non, avec succès ou non. Qu'importe, pourvu que tu restes ouvert à la vie et que tu ne te juges pas comme si tu étais observé, afin de voir si tu vas échouer. La seule condition d'entrée dans la vie éternelle est ta foi en Dieu, ton Père Infini, ta confiance que finalement tu ne peux faire autrement que d'être attiré à Lui.
Tu mérites l'attention de l'univers, mais surtout tu mérites de te porter une attention particulière, encore une fois comme si tu étais ton propre enfant. Chercherais-tu à humilier ton enfant, à lui faire peur afin qu'il puisse croître en harmonie ? Chercherais-tu à l'éduquer en lui faisant croire qu'il mérite une punition universelle, alors qu'il fait seulement des erreurs de parcours ? Les erreurs sont la preuve que tu fais bel et bien une expérience, qui démontre que tu as reçu le don du libre arbitre.
Tu choisis actuellement de retourner à la lumière – comme si tu en étais sorti ! Tu explores encore des détours de ce tu nommes le mal ou l'ombre, mais qui en réalité n'est qu'une perception de l'absence de lumière, une illusion d'optique. Cette réalité terrestre est bien le lieu où le manque de mémoire te permet de choisir à partir de ce que tu tentes de te souvenir à propos de toi-même. Qui tu veux être est bien suffisant comme expérience, sans que tu ajoutes à celle-ci des motifs de t'effrayer.
Tu te demandes ce qu'il va se passer, si nous pouvons prévoir à l'avance les évènements, les prophétiser, les canaliser ? Mais as-tu réellement besoin de savoir ce qui adviendra demain pour être heureux de vivre ? Si tu trouvais en toi-même ce lieu où tu vis une relation avec toi-même, tu ne chercherais pas à savoir ce qu'en disent les autres au sujet de ce que tu es, ce que tu peux faire, et comment tu le vivras.
C'est ici sur Terre que tu dois vivre, et si le rêve de retourner à la maison te taraude, c'est pourtant bien ici-bas que tu es en ce moment. Alors, autant bien le vivre, non ? Garde ton enthousiasme : tous tes rêves peuvent ou non se réaliser, ici sur Terre ou plus tard dans d'autres dimensions. Tu en es digne, n'est-ce pas ? Du moins, cela devrait être ainsi que tu poses le seul regard objectif sur toi-même qui te fera sentir uni à l'Univers, en te sentant parfaitement à ta place, et d'une manière consciente.
Tu peux respirer à présent, profondément. Cela fera un peu plus de place pour ton âme, qui ne demande rien d'autre qu'une relation harmonieuse avec toi-même et que tu puisses entendre l'appel de la Création à être parfait comme Dieu Lui-même est parfait. Marche sur cette Terre avec la tête haute d'un être divinement aimé. Souviens-toi au moins que puisque tu respires, tu es aussi tout ce que tu respires, tu es tout ce que tu inclus dans ta réalité, tu es ta propre attention, qui attire à elle-même encore plus d'air à respirer.
Quand cesseras-tu de t'agiter, afin que tu puisses enfin l'entendre, dans la simplicité du coeur, dans cet éternel ici et maintenant en continuel renouvellement ?
Mais tu te questionnes, tu portes encore en toi une envie de plaire à ton Dieu. Tu imagines qu'il pense que tu n'en as pas fait suffisamment. Tu crains Dieu. Tu crois encore que tu as été chassé de la Création parce que tu n'en était pas digne. Tu es encore habité de cette sensation que tu as probablement été envoyé sur Terre pour te racheter, mis en quarantaine jusqu'à ce que ta dette ait été payée. Et maintenant, ton envie de plaire à Dieu est en lien direct avec ton envie de reconquérir cette dignité perdue. Et tu as encore plus peur de Dieu.
Dieu n'est pas cet être insatiable que l'on ne peut véritablement contenter. Ceci a créé les bases de nos religions, et cela a nourri chez les humains une impression qu'un dieu les observe, prêt à leurs reprocher tous leurs faux pas. Pourtant, tu ne fais que des expériences !
Tu es encore à ne pas prendre conscience que tu es dieu aussi, que tu peux t'aimer et que c'est à toi que tu dois plaire d'abord.
Ce dieu, c'est ton âme en union parfaite avec la connaissance du chemin que possède le Fragment de Dieu en toi-même. Dieu ne sera pas déçu lorsque tu te lanceras dans une expérience, au risque de faire des erreurs. Lorsque tu t'attristes d'un échec, tu ne fais en réalité qu'un autre pas, sans lequel tu ne ferais pas d'expérience. N'as-tu pas remarqué que tu sors d'une apparente difficulté toujours plus fort, plus assuré en toi-même, de plus en plus clair avec toi-même ?
N'attends rien d'autre que ce que tu sais pouvoir faire raisonnablement. Ton évolution est en effet beaucoup plus lente que tu ne le souhaites, car c'est ainsi que tu acquéreras vraiment les qualités que tu recherches pour toi-même. Contemple tes créations et adapte ton regard sur celles-ci comme si tu étais ton propre enfant que tu encourages à persévérer.
La vie te proposera toujours de nouveaux défis, que tu relèveras ou non, avec succès ou non. Qu'importe, pourvu que tu restes ouvert à la vie et que tu ne te juges pas comme si tu étais observé, afin de voir si tu vas échouer. La seule condition d'entrée dans la vie éternelle est ta foi en Dieu, ton Père Infini, ta confiance que finalement tu ne peux faire autrement que d'être attiré à Lui.
Tu mérites l'attention de l'univers, mais surtout tu mérites de te porter une attention particulière, encore une fois comme si tu étais ton propre enfant. Chercherais-tu à humilier ton enfant, à lui faire peur afin qu'il puisse croître en harmonie ? Chercherais-tu à l'éduquer en lui faisant croire qu'il mérite une punition universelle, alors qu'il fait seulement des erreurs de parcours ? Les erreurs sont la preuve que tu fais bel et bien une expérience, qui démontre que tu as reçu le don du libre arbitre.
Tu choisis actuellement de retourner à la lumière – comme si tu en étais sorti ! Tu explores encore des détours de ce tu nommes le mal ou l'ombre, mais qui en réalité n'est qu'une perception de l'absence de lumière, une illusion d'optique. Cette réalité terrestre est bien le lieu où le manque de mémoire te permet de choisir à partir de ce que tu tentes de te souvenir à propos de toi-même. Qui tu veux être est bien suffisant comme expérience, sans que tu ajoutes à celle-ci des motifs de t'effrayer.
Tu te demandes ce qu'il va se passer, si nous pouvons prévoir à l'avance les évènements, les prophétiser, les canaliser ? Mais as-tu réellement besoin de savoir ce qui adviendra demain pour être heureux de vivre ? Si tu trouvais en toi-même ce lieu où tu vis une relation avec toi-même, tu ne chercherais pas à savoir ce qu'en disent les autres au sujet de ce que tu es, ce que tu peux faire, et comment tu le vivras.
C'est ici sur Terre que tu dois vivre, et si le rêve de retourner à la maison te taraude, c'est pourtant bien ici-bas que tu es en ce moment. Alors, autant bien le vivre, non ? Garde ton enthousiasme : tous tes rêves peuvent ou non se réaliser, ici sur Terre ou plus tard dans d'autres dimensions. Tu en es digne, n'est-ce pas ? Du moins, cela devrait être ainsi que tu poses le seul regard objectif sur toi-même qui te fera sentir uni à l'Univers, en te sentant parfaitement à ta place, et d'une manière consciente.
Tu peux respirer à présent, profondément. Cela fera un peu plus de place pour ton âme, qui ne demande rien d'autre qu'une relation harmonieuse avec toi-même et que tu puisses entendre l'appel de la Création à être parfait comme Dieu Lui-même est parfait. Marche sur cette Terre avec la tête haute d'un être divinement aimé. Souviens-toi au moins que puisque tu respires, tu es aussi tout ce que tu respires, tu es tout ce que tu inclus dans ta réalité, tu es ta propre attention, qui attire à elle-même encore plus d'air à respirer.