Message à tous les journalistes
Dès que votre attention se porte sur une chose, votre pouvoir entre instantanément en action pour l'entretenir.L'emphase toujours croissante des médias sur le divertissement illusoire banalisé et agrémenté de sexe et violence reflète les anciennes inclinations des Néanderthals de la période glaciaire vers l'agression psychosexuelle. La présentation de "manchettes" et d'affaires courantes à "mots-clé" sans aucune perspective détaillée, représente une "surcharge d'information" intentionnelle. Les médias glissent sur les sujets fondamentaux avec des ponctuations dissonantes d'effets spéciaux, de musique entraînante et une garniture d'éclat hollywoodien sans signification. Les nouvelles financières, y compris les rapports des marchés boursiers, sont devenues des constantes, tout comme la couverture traditionnelle des nouvelles, de la météo et des sports.
Il y a de quoi se fâcher quand on parle de la liberté de la presse : Il n'existe pas, à ce jour, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n'ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On vous paye un salaire pour que vous ne publiez pas vos opinions et vous savez tous que si vous vous aventuriez à le faire, vous vous retrouveriez à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l'opinion au service des Puissances de l'Argent. Vous êtes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Vos talents, vos facultés et vos vies appartiennent à ces êtres humains. Vous êtes des prostituées de l'intellect. Tout cela, vous le savez très bien !
Voici le cri des êtres humains aujourd'hui si nous leur tendions le micro : "I can't get back into my pain, I just don't want it anymore !" Je ne veux plus retourner dans ma douleur, je n'en veux tout simplement plus !
Entre humilié et humilité, il y a un thé de différence. Et nous sommes tous concernés par les destructions que nous provoquons, autant à l'être humain qu'à la terre.
Plutôt que d'informer sur le nombre de morts qu'un attentat peut causer dans un pays, il est possible de décrire ce qui est tenté ou non pour remédier positivement au manque de paix que l'être humain entretient envers ses semblables et envers son environnement. Cela nous frayerait un chemin vers plus de compréhension de ce qui arrive, soit qu'il s'agit de notre responsabilité collective de créer un monde qui donne une place à chacun.
Je crois que nous pourrions avoir une communication de la presse qui transmette et contribue à une plus grande vision de ce que nous voulons faire de notre monde et de ce que nous souhaitons être en tant qu'humain, une espèce qui souhaite rester vivante.
À force d'échauffer les esprits de mauvaises nouvelles, de trop de nouvelles ou de fausses nouvelles, on habitue le mental de beaucoup trop de personnes à entretenir le sentiment d'impuissance, ce qui participe à nourrir le manque d'imagination et relaie des réalités qui ne servent pas le bien pour tous.
L'intention, la pensée et le verbe sont sources d'énergie pour les actions. Si nous comprenions la puissance de nos pensées et de nos paroles, nous cesserions de suite de formuler une quelconque vision négative du monde et de focaliser sur des évènements navrants qui, à force d'attention, sont entretenus par nous tous.
Bien sûr, dans la mesure où il est vraisemblable que nous voulons encore d'un monde paisible. Plus le journalisme est passif, et répète les communiqués de presse, moins il a de libertés.
Bien à vous, fins limiers !
Un journaliste optimiste
Un évènement s'observe dans sa dynamique, non pas dans l'instant mais sur la duréeLes années passant, un journaliste acquiert une image. L'un est perçu comme de gauche, l'autre de droite. Celui-ci serait élitiste; celui-là, démagogue. Je serais, pour ma part, «optimiste».
On me le dit souvent, et cela me surprend puisque je ne crois ni que l'être humain serait foncièrement bon ni que les horreurs du passé ne pourraient pas se reproduire alors que le dernier siècle s'est achevé sur un troisième génocide; que le fanatisme prospère; que la plus puissante des démocraties avait, il y a peu, réinventé les oubliettes et que le plus peuplé des pays est parvenu à conjuguer dictature politique et capitalisme sauvage.
Si quelque chose m'habite, c'est la peur d'une barbarie qui peut ressurgir à chaque instant, aussi vite qu'elle l'avait fait dans les Balkans, mais d'où me vient, alors, cette étiquette? De l'idée, certainement, que je me fais du journalisme.
Aussi pessimiste que je sois, je ne suis pas fataliste. Parce que je crains la barbarie mais ne crois pas à l'inéluctable, j'essaie de démêler les fils de l'espoir dans les situations les plus sombres car le désespoir ne mène qu'à renoncer, qu'à consentir à l'injustice et à la guerre.
Le journaliste est une vigie. Sa tâche n'est pas seulement de signaler les récifs mais, également, d'indiquer la passe, si étroite soit-elle.
À seulement décrire les dangers et déchaînements de violence, le journalisme ne servirait pas à grand-chose. Il témoigne et c'est nécessaire mais doit s'efforcer, aussi, de montrer qu'il y a quelque chose d'autre à faire que de se résigner au pire, faire comprendre les raisons de l'autre, éclairer la voie des compromis possibles, donner aux êtres humains de bonne volonté les moyens de se mobiliser pour ne pas laisser la porte ouverte aux barbares qui veulent tout résoudre par le glaive.
Le journalisme doit décrire l'opacité du tunnel mais, dès lors que les journaux télévisés le font chaque soir et que chacun sait que le monde ne va pas bien, il faut aussi qu'il y ait des journalistes pour s'attacher à faire voir, là-bas, au loin, la lumière au bout du tunnel, cette petite flamme qui, toujours, continue de vaciller au bout de la nuit et vers laquelle on ne peut marcher avant qu'elle n'ait été décelée.
Si fréquent qu'il soit, l'échec de la Raison n'est qu'un moment qu'il s'agit de dépasser, qu'un sinistre instant qu'on a le devoir, et la possibilité, de surpasser car il n'est qu'une étape d'une évolution longue et jamais achevée, d'un combat à reprendre car rien n'est jamais acquis ni perdu.
Le journalisme, ce n'est pas seulement décrire le moment. C'est tenter aussi de l'appréhender dans la durée, en termes de dynamique et non pas seulement d'immédiateté puisque l'histoire n'a pas de fin. Pour la comprendre et entreprendre de l'infléchir, il faut autant de réalisme que d'idéalisme, d'art du possible que de refus de l'impossible, de faits que d'utopie – toutes ces facettes, à la fois, du journalisme, de cette fabrique de consensus.
Un jour, Shimon Peres s'était lancé devant moi dans une évocation tellement lyrique d'un Proche-Orient uni par un Marché commun et marchant vers une prospérité partagée que je lui avais bêtement dit: « N'êtes-vous pas un peu optimiste? » Il m'avait regardé, surpris, et avait répondu: «Et qu'est-ce qu'on fait avec le pessimisme?» Peu de temps plus tard, j'avais entendu Lech Walesa s'adresser aux signataires, israéliens et palestiniens, des Accords de Genève. « Je ne connais pas votre région, leur avait-il dit, mais vous êtes aussi utopistes que nous l'avons été, et c'est pour cela que vous gagnerez, comme nous avons gagné. » Leurs phrases m'ont marqué, autant que d'avoir vu tomber le Mur.
Un héros ordinaire
Depuis des milliers d'années, les gens se racontent les histoires de leurs héros à la veillée. Léonidas aux Thermopyles... Horatius Coclès sur le pont Sublicius... Roland avec son habit de fer et Durandal...Mais un vrai héros ne reçoit aucune reconnaissance – pas d'odes lyriques, pas de statues. Il peut s'estimer heureux si quelqu'un allume une bougie à sa mémoire et qu'il sente ainsi sur son visage le frôlement de l'aile d'un ange.
Les vrais héros n'endossent pas leur armure pour protéger le royaume ; ils prennent la plume pour le critiquer. Ce ne sont pas des défenseurs de la loi, mais des marginaux et des iconoclastes. Ce ne sont pas de Vrais Croyants mais des hérétiques, des dissidents et des corrupteurs de la jeunesse. Comme Sophocle. Et Edward Snowden.
Durant son second discours d'investiture, le président Barack Obama en a appelé à 'Nous, le Peuple' pour protéger les idéaux américains de liberté individuelle et d'égalité. Lorsqu'Edward Snowden a révélé l'existence des programmes de surveillance secrets de la NSA, il répondait à cet appel. Tout comme les 'Pères fondateurs' des Etats-Unis, il défiait également les iniquités d'un gouvernement de plus en plus intrusif. M. Obama devrait donc mettre fin aux démarches visant à l'arrêter et offrir à M. Snowden un pardon complet.
Quelque part sur le Front de l'est
On était aux alentours de Pâques, en 1944, sur le Front de l'est. L'Allemagne était déjà battue mais ne le savait pas encore. Le débarquement en Normandie était proche... L'Afrique du Nord et l'Italie étaient déjà perdues. Les Soviétiques dépassaient l'Allemagne dans tous les secteurs-clé de la guerre – soldats, munitions, chars. Ils recevaient aussi du matériel de guerre de la part des vastes industries américaines. Leurs soldats se déplaçaient dans des camions fabriqués dans le Michigan et leurs pilotes utilisaient des avions montés en Californie. Les Allemands étaient dépassés en nombre. Epuisés, ils n'avaient plus de temps, plus d'argent, plus de chance. Les dieux de la guerre étaient passés dans le camp adverse plus d'une année auparavant... et ils se moquaient désormais des soldats teutons à chacun des pas les ramenant vers la mère-patrie.
Il restait toutefois aux Allemands abondance d'illusions. Leurs planificateurs centraux décidèrent notamment de rassembler des orphelins "racialement corrects" dans les territoires soviétiques encore sous le contrôle de la Wehrmacht, afin de les envoyer en Allemagne. Ces enfants devaient être conditionnés pour surveiller ce nouveau territoire conquis par l'Allemagne.
Dieter Markmann était lieutenant dans l'armée allemande stationnée près de Shlobine, sur le Dniepr. Il avait entendu parler du programme consistant à envoyer des enfants en Allemagne. Il n'y croyait pas. Ce devait plutôt être l'une de ces sombres rumeurs comme il en circule tant en temps de guerre. De plus, il lui semblait évident – comme à tous ceux qui avaient servi sur le Front de l'est – que ces territoires conquis ne le resteraient pas. L'Allemagne s'affaiblissait de mois en mois ; elle ne pouvait pas remplacer ses pertes, ni en êtres humains, ni en matériel. Et l'Union soviétique devenait plus forte. En cette saison de Pâques, les routes redevenaient praticables. Les troupes s'assemblaient pour une gigantesque attaque. Les Allemands pourraient résister... un temps. Mais pas éternellement.
Une femme du lieu vint voir Markmann dans son bureau. Elle parlait russe. Elle était habillée comme d'importe quelle paysanne – simplement et rudement. Elle avait des cheveux blonds. Markmann nota qu'elle aurait été jolie si elle avait été vêtue et coiffée comme une dame de Berlin. Mais il ne servait à rien de remarquer de telles choses.
"Je dois vous parler", commença-t-elle. Puis les mots affluèrent. Un véritable torrent, sans pause. Mais avec des larmes.
"Ils vont prendre mon seul fils, Tomas. Ils vont l'emmener à Berlin. S'il vous plaît, il est tout ce qui me reste. Mon mari est mort. Mes deux autres enfants sont morts. Tomas est le seul que j'aie. Il n'est pas fort. Il ne survivra pas... Ne pouvez-vous pas m'aider ?"
Markmann réalisa que la rumeur était vraie. Le fils "racialement correct", Tomas, était tombé dans les filets nazis.
"J'aimerais bien", répondit-il. "Mais je suis un officier allemand, pas une assistante sociale. Je suis les ordres. Si je désobéissais à un ordre du Führer, je serais fusillé. Je suis désolé"...
La femme sanglotait. Elle se leva et sortit de la pièce.
Une fois qu'elle fut partie, le lieutenant Markmann alla à la fenêtre. Il écarta le rideau de dentelle qui avait été posé par les anciens occupants. Il vit la femme traverser la rue. Là, dans une ruelle, à côté d'une autre maison qui avait elle aussi été transformée en logement pour les officiers allemands, se tenait un garçon de 11 ou 12 ans. Il était grand mais maigre. Quelque chose dans son allure plut à Markmann.
"Dommage. Cette guerre a déjà mis tant de jeunes gens dans la tombe", se dit-il. "Elle m'emportera sûrement aussi".
Il retourna à son bureau. Il se pencha sur ses dossiers. Mais son esprit restait préoccupé par la femme... et son fils. Il avait déjà passé deux ans sur le Front de l'est. La plupart des êtres humains qui avaient marché avec lui sur Smolensk puis jusqu'aux faubourgs de Moscou étaient morts désormais. Jusqu'à présent, il avait eu de la chance. Il avait été blessé deux fois. Une balle avait emporté l'un de ses doigts. La deuxième fois, un morceau de shrapnel s'était logé dans sa jambe. Aucune des deux blessures n'avait été fatale... mais la deuxième aurait pu l'être si un infirmier n'avait pas agi rapidement pour arrêter l'hémorragie. Selon toute probabilité, durant la grande attaque que les Russes étaient en train de préparer, sa chance finirait par s'épuiser.
Markmann se leva rapidement. Il traversa la pièce, ouvrit la porte et regarda dans la rue. Il se dirigea à grands pas dans la direction que la femme avait prise... et les repéra dans une rue adjacente.
"Venez", dit-il en leur faisant signe, regardant autour de lui. "Amenez le garçon dans mon bureau à quatre heures cet après-midi".
"Mais il doit être sur la place centrale à trois heures", protesta-t-elle.
"Amenez-le chez moi, à la place".
Il revint à son bureau et attendit. Quelques heures plus tard, le garçon arriva avec un petit sac. Il était prêt pour un long voyage.
"Reste là-dedans"... Markmann montra un placard du doigt. Le garçon entra.
Durant deux jours, le garçon demeura dans son placard. La troupe de SS chargée du rassemblement quitta les lieux – et le garçon put rejoindre sa mère.
Markmann attendit l'attaque soviétique. Quand elle se produisit, à l'été 44, elle écrasa toute la puissance de feu allemande. Markmann fut fait prisonnier.
Comme tous les prisonniers, il fut interrogé.
"Vous êtes le lieutenant Markmann ?" demanda l'officier soviétique. "Eh bien vous avez de la chance. Une femme de Shlobine dit que vous avez sauvé son fils. Vous pourrez revoir votre pays".
Markmann eut de la chance. De tous les Allemands faits prisonniers par les Soviétiques, la moitié moururent dans les camps de Sibérie. Markmann survécut.
La pensée positive
- 1. J'habite un monde d'amour et d'acceptation.
- 2. La vie m'aime et je suis en sécurité.
- 3. Je fais confiance en l'Intelligence divine pour influencer mes affaires et je cours de succès en réussite.
- 4. Je parle avec sagesse et discernement.
- 5. Désormais je prends mon corps en charge avec amour.
- 6. Je me réjouis de l'amour que j'ai à donner.
- 7. C'est l'amour qui anime ma vie.
- 8. Je reçois l'amour que je donne.
- 9. Financièrement, je suis toujours à l'aise.
- 10. Je trouve de l'aide partout où je me tourne.
- 11. L'amour inconditionnel c'est simplement un amour qui n'attend rien en retour.
- 12. Je suis le créateur et l'acteur de ma vie.
- 13. Les êtres sont comme des fleurs. Chacun à sa beauté propre, chacun s'ouvre et s'épanouit à sa manière et à son rythme.
- 14. Je suis ici pour remplir une mission.
- 15. Toutes mes nouvelles habitudes m'aident de façon positive.
- 16. Aujourd'hui je chosis de dépasser mes limites d'hier. Je suis prêt à m'ouvrir à quelque chose de nouveau.
- 17. Je mets de l'amour dans mon regard et je vois tout clairement.
- 18. Il n'y a pas quelque chose à faire. Il y a quelque chose à savoir.
- 19. Plus je comprends de choses et plus mon univers s'élargit.
- 20. Je me fais toujours confiance.
- 21. La manière dont nous voyons ce qu'il y a à l'extérieur de nous reflète ce qu'il y a en nous.
- 22. Mon corps est un ami et j'en prends soin.
- 23. Je reconnais désormais ma créativité et j'y fais honneur.
- 24. Je me félicite pour les grandes et petites choses que je réalise.
- 25. Décidez de dépasser les limites de votre esprit humain actuel. Oui vous le pouvez.
- 26. Je revendique mon pouvoir et je dépasse toutes mes limites.
- 27. Je ne peux pas me sentir perdu, seul, ou abandonné car je vis au sein de l'Intelligence divine.
- 28. Je suis en paix avec le départ de ceux que j'aime.
- 29. J'aime ce que je pense.
- 30. Je me choisis une idée de Dieu qui soit pleine d'amour et qui me plaise.
- 31. Je donne à la Vie avec joie et la vie me le donne avec Amour.
- 32. L'amour fait toujours disparaitre la douleur.
- 33. Les émotions sont des pensées qui sont actives dans notre corps.
- 34. Je ne suis pas obligé de travailler dur pour mériter un bon salaire.
- 35. Si vous vous aimez vous aurez l'énergie de surmonter rapidement tous les problèmes.
- 36. J'adore les enfants et les enfants m'adorent.
- 37. M'aimer moi-même et les autres me permet de m'épanouir et de vivre au maximum de mes possibilités.
- 38. Je m'aime dans toutes les expériences que je traverse et tout va bien.
- 39. Quand nous sommes prêts à évoluer notre vie s'épanouit de façon merveilleuse.
- 40. Grâce à mes factures, j'affirme ma capacité de payer.
- 41. Je partage mes ressources et mon savoir avec la Vie.
- 42. J'ai choisi des parents qui me conviennent parfaitement dans cette incarnation.
- 43. Je suis financièrement à l'aise.
- 44. Mon corps est en paix, heureux, en bonne santé et moi aussi.
- 45. En élargissant mes horizons, je fais facilement disparaître mes limites.
- 46. Je suis une expression individuelle de la Vie.
- 47. Je peux guérir en toute sécurité.
- 48. Je transforme les leçons à apprendre en partie de plaisir.
- 49. Je fais des choix nouveaux, différents, plus positifs, qui me nourissent de l'intérieur.
- 50. Ma maison et mon coeur sont des lieux de paix et de bonté.
- 51. La seule chose que vous pouvez vraiment maîtriser c'est ce que vous pensez au moment présent. Vous avez tout pouvoir sur votre pensée du moment.
- 52. Je me crée avec amour une santé parfaite.
- 53. La sagesse que je cherche se trouve en moi.
- 54. Je mérite ce que la Vie a de mieux à m'offrir.
- 55. La mort est une porte qui s'ouvre sur une vie nouvelle.
- 56. La nourriture est une amie. Je la remercie de me donner sa vie pour me nourrir.
- 57. Chaque instant est un nouveau départ.
- 58. Je fais circuler les bonnes nouvelles.
- 59. Mon but est de m'aimer davantage de jour en jour.
- 60. Tout ce dont j'ai besoin est à portée de ma main.
- 61. Je choisis un mode de vie paisible.
- 62. Le pardon possède un pouvoir de guérison que j'ai toujours à ma disposition.
- 63. Nos parents sont des gens merveilleux.
- 64. Tout va bien. J'ai tout ce dont j'ai besoin en ce moment.
- 65. Mes pensées déterminent ma vie.
- 66. Nous sommes de merveilleux êtres spirituels qui vivont une expérience humaine.
- 67. Je découvre maintenant de nouvelles et merveilleuses expériences. Je suis en sécurité.
- 68. Je concentre doucement mon esprit sur les belles choses de la vie.
- 69. Le pouvoir se trouve dans le moment présent. Affirmez votre pouvoir.
- 70. Ma conscience est riche.
- 71. Je me libère et je pardonne.
- 72. Toutes mes expériences font partie de la richesse et de la plénitude de la Vie.
- 73. C'est avec moi-même que j'entretiens la meilleure relation.
- 74. L'amour est le fondement de ma religion.
- 75. J'ai la responsabilité de ma vie.
- 76. Mes rêves sont des experiences pleines de joie et de tendresse.
- 77. Je m'aime et je m'accepte exactement tel que je suis.
- 78. Je suis en paix avec ma vie sexuelle.
- 79. Quel que soit mon épreuve, je sais que je suis aimé.
- 80. Je suis détendu car je sais que la Vie est toujours là pour me soutenir, m'aider et me réconforter.
- 81. Pour réussir vous devez penser que vous êtes une réussite et non un échec.
- 82. Je ne suis jamais pressé car j'ai toute la vie devant moi.
- 83. Si je suis maintenant dans cette situation c'est que j'ai quelque chose à en apprendre.
- 84. Parce que chacun de nous est unique, il ne peut y avoir ni comparaison, ni concurrence.
- 85. Je choisis les pensées qui me réconcilient avec l'idée de vieillir.
- 86. L'amour désamorce toujours la violence.