L'erreur est la manifestation du manque de discernement de la loi divine, de la volonté du Père. L'erreur mesure le degré d'attention que l'être humain porte à sa conscience avec laquelle il dirige ses actes.
Le mal est la transgression inconsciente ou involontaire de la loi divine, de la volonté du Père. Le mal est également la mesure de l'imperfection avec laquelle on obéit à la volonté du Père.
Le péché est la transgression consciente, connue et délibérée, de la loi divine, de la volonté du Père. Le péché mesure la mauvaise volonté à se laisser conduire divinement et diriger spirituellement.
L'iniquité est la transgression volontaire, déterminée et persistante de la loi divine, de la volonté du Père. L'iniquité mesure le rejet continu de l'affectueux plan du Père pour la survie des personnalités, et du miséricordieux ministère de salut du Fils.
L'erreur suggère un manque d'acuité intellectuelle; le mal, un défaut de sagesse; et le péché, une pauvreté spirituelle abjecte; mais l'iniquité dénote que le contrôle de la personnalité est en voie de disparaître.
Avant la re-naissance de l'esprit, l'être humain mortel est sujet aux mauvaises tendances inhérentes à sa nature, mais ces imperfections naturelles de conduite ne sont ni le péché ni l'iniquité. Les mortels ne font que commencer leur longue ascension vers la perfection du Père au Paradis. Ce n'est pas un péché que d'être imparfait ou de n'avoir que des dons naturels partiels. Il est vrai que l'être humain est soumis au mal, mais il n'est, en aucun sens, le fils du malin, à moins d'avoir sciemment et délibérément choisi les sentiers du péché et la vie d'iniquité. Le mal est inhérent à l'ordre naturel de ce monde, mais le péché est une attitude de rébellion consciente qui fut introduite dans le monde par ceux qui déchurent de la lumière spirituelle pour tomber dans de grossières ténèbres.
Nous sommes troublés par les doctrines des êtres humains et les erreurs de l'humanité. Nous ne comprenons pas les relations entre le mal et le péché parce que nous considérons l'humanité comme ayant commencé sur terre avec un Adam parfait, puis dégénéré rapidement, par le péché, jusqu'au déplorable état actuel des êtres humains. Mais il faut comprendre la signification de l'histoire qui révèle comment Caïn, le fils d'Adam, alla dans le pays de Nod et s'y choisit une femme. De même, nous ne devons pas refuser d'interpréter la signification de l'histoire qui décrit les fils de Dieu prenant des femmes parmi les filles des êtres humains.
Il est exact que le mal est dans la nature des êtres humains, mais ils ne sont pas nécessairement pécheurs. La nouvelle naissance – le baptême de l'esprit – est essentielle pour être délivré du mal et nécessaire pour entrer dans le royaume des cieux, mais rien de cela n'infirme le fait que l'être humain est fils et fille de Dieu. La présence inhérente du mal potentiel ne signifie pas non plus que, d'une manière mystérieuse, l'être humain soit séparé du Père qui est aux cieux, de sorte qu'il doive, en tant qu'étranger ou enfant d'un autre mariage, chercher de quelque manière à se faire adopter légalement par le Père. Toutes ces notions sont nées, en premier lieu, de notre mauvaise compréhension du Père, et, en second lieu, de notre ignorance sur l'origine, la nature et la destinée des êtres humains.
Beaucoup enseignent que l'être humain descend continuellement de la perfection divine vers l'oubli ou la destruction. Mais en entrant dans le royaume, l'être humain s'élève d'une façon sûre et certaine vers Dieu et la perfection divine. Tout être qui, d'une manière quelconque, ne satisfait pas aux idéaux divins et spirituels de la volonté du Père, est potentiellement mauvais, mais en aucun sens pécheur, et encore bien moins inique.
« Vous êtes les enfants du Seigneur votre Dieu. » « Je serai son Père et il sera mon fils. » « Je l'ai choisi pour être mon fils, je serai son Père. » « Amène mes fils de loin et mes filles des confins de la terre, et aussi tous ceux qui s'appellent de mon nom, car je les ai créés pour ma gloire. » « Vous êtes les fils du Dieu vivant. » « Ceux qui ont l'esprit de Dieu sont en vérité les fils et les filles de Dieu. » Alors que l'enfant terrestre contient une fraction matérielle de son père humain, il existe une fraction spirituelle du Père céleste dans chaque fils du royaume par la foi.
Le mal est la transgression inconsciente ou involontaire de la loi divine, de la volonté du Père. Le mal est également la mesure de l'imperfection avec laquelle on obéit à la volonté du Père.
Le péché est la transgression consciente, connue et délibérée, de la loi divine, de la volonté du Père. Le péché mesure la mauvaise volonté à se laisser conduire divinement et diriger spirituellement.
L'iniquité est la transgression volontaire, déterminée et persistante de la loi divine, de la volonté du Père. L'iniquité mesure le rejet continu de l'affectueux plan du Père pour la survie des personnalités, et du miséricordieux ministère de salut du Fils.
L'erreur suggère un manque d'acuité intellectuelle; le mal, un défaut de sagesse; et le péché, une pauvreté spirituelle abjecte; mais l'iniquité dénote que le contrôle de la personnalité est en voie de disparaître.
Avant la re-naissance de l'esprit, l'être humain mortel est sujet aux mauvaises tendances inhérentes à sa nature, mais ces imperfections naturelles de conduite ne sont ni le péché ni l'iniquité. Les mortels ne font que commencer leur longue ascension vers la perfection du Père au Paradis. Ce n'est pas un péché que d'être imparfait ou de n'avoir que des dons naturels partiels. Il est vrai que l'être humain est soumis au mal, mais il n'est, en aucun sens, le fils du malin, à moins d'avoir sciemment et délibérément choisi les sentiers du péché et la vie d'iniquité. Le mal est inhérent à l'ordre naturel de ce monde, mais le péché est une attitude de rébellion consciente qui fut introduite dans le monde par ceux qui déchurent de la lumière spirituelle pour tomber dans de grossières ténèbres.
Nous sommes troublés par les doctrines des êtres humains et les erreurs de l'humanité. Nous ne comprenons pas les relations entre le mal et le péché parce que nous considérons l'humanité comme ayant commencé sur terre avec un Adam parfait, puis dégénéré rapidement, par le péché, jusqu'au déplorable état actuel des êtres humains. Mais il faut comprendre la signification de l'histoire qui révèle comment Caïn, le fils d'Adam, alla dans le pays de Nod et s'y choisit une femme. De même, nous ne devons pas refuser d'interpréter la signification de l'histoire qui décrit les fils de Dieu prenant des femmes parmi les filles des êtres humains.
Il est exact que le mal est dans la nature des êtres humains, mais ils ne sont pas nécessairement pécheurs. La nouvelle naissance – le baptême de l'esprit – est essentielle pour être délivré du mal et nécessaire pour entrer dans le royaume des cieux, mais rien de cela n'infirme le fait que l'être humain est fils et fille de Dieu. La présence inhérente du mal potentiel ne signifie pas non plus que, d'une manière mystérieuse, l'être humain soit séparé du Père qui est aux cieux, de sorte qu'il doive, en tant qu'étranger ou enfant d'un autre mariage, chercher de quelque manière à se faire adopter légalement par le Père. Toutes ces notions sont nées, en premier lieu, de notre mauvaise compréhension du Père, et, en second lieu, de notre ignorance sur l'origine, la nature et la destinée des êtres humains.
Beaucoup enseignent que l'être humain descend continuellement de la perfection divine vers l'oubli ou la destruction. Mais en entrant dans le royaume, l'être humain s'élève d'une façon sûre et certaine vers Dieu et la perfection divine. Tout être qui, d'une manière quelconque, ne satisfait pas aux idéaux divins et spirituels de la volonté du Père, est potentiellement mauvais, mais en aucun sens pécheur, et encore bien moins inique.
« Vous êtes les enfants du Seigneur votre Dieu. » « Je serai son Père et il sera mon fils. » « Je l'ai choisi pour être mon fils, je serai son Père. » « Amène mes fils de loin et mes filles des confins de la terre, et aussi tous ceux qui s'appellent de mon nom, car je les ai créés pour ma gloire. » « Vous êtes les fils du Dieu vivant. » « Ceux qui ont l'esprit de Dieu sont en vérité les fils et les filles de Dieu. » Alors que l'enfant terrestre contient une fraction matérielle de son père humain, il existe une fraction spirituelle du Père céleste dans chaque fils du royaume par la foi.