Les êtres conscients mènent leur existence à l'école de cette formidable mère que nous appelons la Terre ; ce lieu d'apprentissage possède un rythme cyclique qui s'exprime par une vibration ou une fréquence qui nous guidera, si nous y sommes réceptifs.
Actuellement, nous accordons beaucoup de valeur aux qualités du mental. L'énergie pure du coeur a sombré dans l'oubli et une extension active de l'intellect s'y est substituée. Il est devenu une force active agissant sur notre évolution, plutôt qu'une structure passive et l'outil conçu originellement à cet effet. Le mental avait pour objectif premier d'être une faculté au service du coeur, et non l'inverse.
Au cours de notre évolution, la plupart ont ignoré les exhortations du coeur ; nous avons ainsi perdu la capacité de reconnaître que le coeur est l'intelligence de l'âme. Le coeur sait tout, il nous offrira invariablement les meilleurs conseils et nous orientera toujours vers notre bien suprême. Depuis fort longtemps, nous avons laissé le mental servir l'égo plutôt que le coeur. L'esprit humain, régi par l'égo altéré, s'est encombré à l'excès de peurs, de jugements et de concepts erronés. Ensemble, ils régissent notre programme interne. Voilà pourquoi, du fait d'avoir délaissé l'énergie de notre coeur et donné la priorité à notre mental, nous avons engendré des expériences douloureuses, l'indigence et l'épreuve, vie après vie. Le mental humain n'est pas doué de la sagesse du coeur, il est incapable de nous procurer la prescience du mental de Dieu. Seul le coeur possède cette clé magique. À l'origine, le mental était censé servir de capteur d'information, au service du coeur, car celui-ci savait exactement que faire de cette information.
La pratique du coeur commence par un retour aux origines de notre conscience, là où le mental passif s'abandonne au coeur actif qui fait confiance. Telle qu'elle a été créée, la conscience humaine s'exprime par l'égo, ou intellect, et elle est informée directement par le Logo, ou coeur divin. Le mental lui-même est un outil merveilleux ; on l'a utilisé pour apprendre à analyser les myriades d'apports sensoriels que reçoit l'humain en évolution. C'est le coeur, néanmoins, qui possède la capacité de décider de l'action juste et de l'accomplir.
Le coeur, quant à lui, détient une fréquence ouverte et réceptive à toutes les possibilités. Il nous relie à Tout ce qui est. Il ne doute pas de cette connexion et ne l'analyse pas. Le coeur fait confiance. Il absorbe tout ce qui se présente en un afflux continu et palpite à ce rythme de vie avec joie et émerveillement. Et de cette confiance naissent l'acceptation et la compassion. Pour comprendre qui nous sommes, il faut accepter ce que nous faisons. Pour comprendre ce que sont les autres, il faut accepter ce qu'ils font. Et lorsque nous comprenons vraiment les autres, comment ne pas les aimer aussi intensément qu'ils s'aiment eux-mêmes ? Comment ne pas leur faire confiance aussi totalement que nous nous faisons confiance ?
Le coeur fait confiance. Cette fréquence demeure inhérente à chacun, sans exception, que nous l'admettions ou non. Ce n'est pas quelque chose qu'il nous faut apprendre, ni analyser afin de créer. Ce n'est pas non plus une chose à laquelle nous devons faire de l'espace ou à laquelle nous devons ouvrir davantage notre coeur. C'est tout simplement ainsi.
Nous nous posons continuellement ces questions : « Quand le voile se lèvera-t-il ? » Voici la réponse : Tout deviendra possible lorsque nous prendrons la décision de laisser parler notre coeur. À ce moment-là, notre mental n'aura pas d'autre choix que d'abandonner.
Pour "lever le voile", le mental doit laisser-aller. Pour "connaitre" les secrets qui existent de l'autre côté du voile, il faut vivre à travers la vibration du coeur. Pour ce faire, nous n'avons qu'à nous mettre à l'écoute de la fréquence qui existe en nous tous, à chaque instant de création. Nous sommes le voile. Et cette situation persistera jusqu'à ce que notre mental s'abandonne et que nous laissions notre coeur informer notre réalité.
Actuellement, nous accordons beaucoup de valeur aux qualités du mental. L'énergie pure du coeur a sombré dans l'oubli et une extension active de l'intellect s'y est substituée. Il est devenu une force active agissant sur notre évolution, plutôt qu'une structure passive et l'outil conçu originellement à cet effet. Le mental avait pour objectif premier d'être une faculté au service du coeur, et non l'inverse.
Au cours de notre évolution, la plupart ont ignoré les exhortations du coeur ; nous avons ainsi perdu la capacité de reconnaître que le coeur est l'intelligence de l'âme. Le coeur sait tout, il nous offrira invariablement les meilleurs conseils et nous orientera toujours vers notre bien suprême. Depuis fort longtemps, nous avons laissé le mental servir l'égo plutôt que le coeur. L'esprit humain, régi par l'égo altéré, s'est encombré à l'excès de peurs, de jugements et de concepts erronés. Ensemble, ils régissent notre programme interne. Voilà pourquoi, du fait d'avoir délaissé l'énergie de notre coeur et donné la priorité à notre mental, nous avons engendré des expériences douloureuses, l'indigence et l'épreuve, vie après vie. Le mental humain n'est pas doué de la sagesse du coeur, il est incapable de nous procurer la prescience du mental de Dieu. Seul le coeur possède cette clé magique. À l'origine, le mental était censé servir de capteur d'information, au service du coeur, car celui-ci savait exactement que faire de cette information.
La pratique du coeur commence par un retour aux origines de notre conscience, là où le mental passif s'abandonne au coeur actif qui fait confiance. Telle qu'elle a été créée, la conscience humaine s'exprime par l'égo, ou intellect, et elle est informée directement par le Logo, ou coeur divin. Le mental lui-même est un outil merveilleux ; on l'a utilisé pour apprendre à analyser les myriades d'apports sensoriels que reçoit l'humain en évolution. C'est le coeur, néanmoins, qui possède la capacité de décider de l'action juste et de l'accomplir.
- Le rôle du mental est d'apprendre et d'analyser.
- Le rôle du coeur est de décider et d'accomplir.
- Le coeur unit alors que le mental discrimine.
Le coeur, quant à lui, détient une fréquence ouverte et réceptive à toutes les possibilités. Il nous relie à Tout ce qui est. Il ne doute pas de cette connexion et ne l'analyse pas. Le coeur fait confiance. Il absorbe tout ce qui se présente en un afflux continu et palpite à ce rythme de vie avec joie et émerveillement. Et de cette confiance naissent l'acceptation et la compassion. Pour comprendre qui nous sommes, il faut accepter ce que nous faisons. Pour comprendre ce que sont les autres, il faut accepter ce qu'ils font. Et lorsque nous comprenons vraiment les autres, comment ne pas les aimer aussi intensément qu'ils s'aiment eux-mêmes ? Comment ne pas leur faire confiance aussi totalement que nous nous faisons confiance ?
Le coeur fait confiance. Cette fréquence demeure inhérente à chacun, sans exception, que nous l'admettions ou non. Ce n'est pas quelque chose qu'il nous faut apprendre, ni analyser afin de créer. Ce n'est pas non plus une chose à laquelle nous devons faire de l'espace ou à laquelle nous devons ouvrir davantage notre coeur. C'est tout simplement ainsi.
Nous nous posons continuellement ces questions : « Quand le voile se lèvera-t-il ? » Voici la réponse : Tout deviendra possible lorsque nous prendrons la décision de laisser parler notre coeur. À ce moment-là, notre mental n'aura pas d'autre choix que d'abandonner.
Pour "lever le voile", le mental doit laisser-aller. Pour "connaitre" les secrets qui existent de l'autre côté du voile, il faut vivre à travers la vibration du coeur. Pour ce faire, nous n'avons qu'à nous mettre à l'écoute de la fréquence qui existe en nous tous, à chaque instant de création. Nous sommes le voile. Et cette situation persistera jusqu'à ce que notre mental s'abandonne et que nous laissions notre coeur informer notre réalité.