Le monde se contente trop facilement de ce qui n'est pas au sommet et n'aspire pas assez à se perfectionner dans tout ce qu'il fait.
Même dans une conversation amicale, il ne faut jamais oublier que nos pensées, nos paroles et nos actions doivent correspondre à notre idéal le plus élevé. Parce qu'il n'en est pas ainsi, le coeur et l'esprit sont émoussés, le sens de la grandeur disparaît, des choses peu importantes envahissent l'âme et l'entravent, retardant ses progrès sur le sentier. Cela ne devrait pas être, cela n'a pas de raison d'être; même les petites choses sont grandes pour ceux qui aspirent sans relâche à la beauté, à la bonté et à la perfection.
Faites une grande chose de tout ce que vous accomplissez. Les promenades, les randonnées en famille, les conversations au coin du feu, toute la vie du ménage, toutes vos obligations terrestres, vos plaisirs et vos peines, toutes vos luttes et vos moments de loisirs que tout ceci soit grand, aussi grand que vous pouvez le concevoir, aussi haut que vous pouvez l'atteindre.
Toujours plus haut ! Que telle soit votre devise. Encouragez ceux qui entrent dans vos rangs à l'adopter. Nous aussi, les anges, nous le faisons et chaque fois que l'être humain prend un engagement intérieur, un ange le répétera et le portera comme un flambeau au grand réservoir d'énergie nécessaire à notre travail. Que celui qui voudrait prendre cet engagement se retire dans la solitude, dans l'intimité de sa chambre, sur une colline herbeuse, à l'ombre des bois où, s'il n'en ressent pas le besoin, dans le sanctuaire de son coeur. Que celui qui est bien déterminé commence à méditer et s'efforce de pénétrer la profondeur et le sens de notre grand idéal; puis, l'ayant considéré, qu'il prenne la ferme décision de toujours lutter pour l'atteindre dans cette vie et ses vies futures, en se souvenant que tout est grand pour les grands.
Ainsi vous pourrez peut-être éviter la destruction qui menace votre race du fait de l'apathie dans laquelle vous êtes si profondément enlisés et qui est telle que seuls les guerres, les tremblements de terre, les incendies, les inondations, les famines et la mort subite peuvent vous tirer de votre somnolence.
Chaque être humain doit fouler le sentier parcouru par le Sauveur.
Il existe un ordre cyclique dans cette naissance et dans cette mort. La crucifixion à la fin d'un cycle conduit à la naissance au commencement du suivant. Le drame se répète en une spirale sans fin; l'être humain, l'acteur personnel de ce drame, s'élève de plus en plus. On peut bien appeler ce drame la crucifixion, car ceux qui veulent fouler le sentier doivent mourir sur la croix des mondes matériels jour par jour, heure par heure, minute par minute.
Personne ne doit penser pouvoir se cacher derrière un texte ou gravir un échelon de l'escalier en spirale en s'en remettant à un autre si grand soit-il. Le progrès du monde occidental a été entravé par cette illusion selon laquelle ses péchés, si grands fussent-ils, seront oubliés grâce aux souffrances d'un autre et qu'il trouvera Dieu grâce au sang versé par un autre. De tels enseignements peuvent réconforter la masse, car ils renferment une vérité déformée. Mais celui qui veut vraiment sauver la masse doit la laisser en arrière et ne compter que sur la force de sa divinité intérieure pour trouver et fouler le sentier.
L'idéal est l'utopie poursuivant un but évolutionnaire progressiste.
Même dans une conversation amicale, il ne faut jamais oublier que nos pensées, nos paroles et nos actions doivent correspondre à notre idéal le plus élevé. Parce qu'il n'en est pas ainsi, le coeur et l'esprit sont émoussés, le sens de la grandeur disparaît, des choses peu importantes envahissent l'âme et l'entravent, retardant ses progrès sur le sentier. Cela ne devrait pas être, cela n'a pas de raison d'être; même les petites choses sont grandes pour ceux qui aspirent sans relâche à la beauté, à la bonté et à la perfection.
Faites une grande chose de tout ce que vous accomplissez. Les promenades, les randonnées en famille, les conversations au coin du feu, toute la vie du ménage, toutes vos obligations terrestres, vos plaisirs et vos peines, toutes vos luttes et vos moments de loisirs que tout ceci soit grand, aussi grand que vous pouvez le concevoir, aussi haut que vous pouvez l'atteindre.
Toujours plus haut ! Que telle soit votre devise. Encouragez ceux qui entrent dans vos rangs à l'adopter. Nous aussi, les anges, nous le faisons et chaque fois que l'être humain prend un engagement intérieur, un ange le répétera et le portera comme un flambeau au grand réservoir d'énergie nécessaire à notre travail. Que celui qui voudrait prendre cet engagement se retire dans la solitude, dans l'intimité de sa chambre, sur une colline herbeuse, à l'ombre des bois où, s'il n'en ressent pas le besoin, dans le sanctuaire de son coeur. Que celui qui est bien déterminé commence à méditer et s'efforce de pénétrer la profondeur et le sens de notre grand idéal; puis, l'ayant considéré, qu'il prenne la ferme décision de toujours lutter pour l'atteindre dans cette vie et ses vies futures, en se souvenant que tout est grand pour les grands.
Ainsi vous pourrez peut-être éviter la destruction qui menace votre race du fait de l'apathie dans laquelle vous êtes si profondément enlisés et qui est telle que seuls les guerres, les tremblements de terre, les incendies, les inondations, les famines et la mort subite peuvent vous tirer de votre somnolence.
Chaque être humain doit fouler le sentier parcouru par le Sauveur.
Il existe un ordre cyclique dans cette naissance et dans cette mort. La crucifixion à la fin d'un cycle conduit à la naissance au commencement du suivant. Le drame se répète en une spirale sans fin; l'être humain, l'acteur personnel de ce drame, s'élève de plus en plus. On peut bien appeler ce drame la crucifixion, car ceux qui veulent fouler le sentier doivent mourir sur la croix des mondes matériels jour par jour, heure par heure, minute par minute.
Personne ne doit penser pouvoir se cacher derrière un texte ou gravir un échelon de l'escalier en spirale en s'en remettant à un autre si grand soit-il. Le progrès du monde occidental a été entravé par cette illusion selon laquelle ses péchés, si grands fussent-ils, seront oubliés grâce aux souffrances d'un autre et qu'il trouvera Dieu grâce au sang versé par un autre. De tels enseignements peuvent réconforter la masse, car ils renferment une vérité déformée. Mais celui qui veut vraiment sauver la masse doit la laisser en arrière et ne compter que sur la force de sa divinité intérieure pour trouver et fouler le sentier.
L'idéal est l'utopie poursuivant un but évolutionnaire progressiste.