Ainsi tu vois que la vie n'est pas un mystère. Le mystère n'existe que dans le monde existant. Sous la surface, toutes les réponses sont connues. Il n'y a même pas de questions à poser, ni de réponses à donner.
Ta vie sur Terre est une parabole. La vie sur Terre exige que tu te lances dans une quête. Tu es un chasseur de connaissance. Toi, qui sais tout, tu te trouves dans un safari pour découvrir ce que tu sais déjà. Tu te cherches. Toi qui es ton Soi, tu traques ton Soi. Tu fais ceci au-delà de petites limites, ici et là. Tu bondis sur toi, et dis : “ Ah ! ”
Tu t'échappes du territoire des limites actuellement imaginées et dessines d'autres cercles pour sauter au travers et te prendre toi-même sur le fait. Tu es un chasseur qui chasse. Tu es un pêcheur qui jette son filet.
Tu te rencontres, et tu te salues. Tu entres et sors de toi-même. Tu dessines une image limitée de toi, et toi, la Réalité, dis que l'image que tu dessines et animes est la totalité de toi-même. Tu exagères ce petit dessin, alors que tu n'as pas commencé à faire un tableau assez grand pour t'égaler. Tu es un artiste beaucoup plus grand que l'image que tu dessines.
C'est comme cacher à toi-même ta magnificence, quel rôle aimerais-tu jouer alors ? Quelle serait ton identité terrestre alors ? Tu pourrais être un acteur au chômage !
Quelle est la parabole où tu vis ? Cela en est une pleine de dangers établis dans le mental. Tu te racontes des histoires. Tu les composes, et pourtant tu crois en elles, ces histoires. Tu racontes des histoires, et pourtant tes histoires démentent la Vérité.
La vérité n'est pas dite. La vérité est habillée de vêtements ordinaires et elle est camouflée. En fait, tu passes beaucoup de temps à camoufler la vérité. Tu te dis que la vérité que tu entends est trop belle pour être vraie, et alors tu joues dans le bac à sable et construis des châteaux avec des donjons dedans. Tu te répétes.
Les circonstances changent, et pourtant tu répètes tes histoires, et tu y joues encore et encore. Tu te racontes des histoires pour dormir, et tu cherches du secours en elles, et tu te caches sous les couvertures. Tu joues à cache-cache. Et chaque fois, tu es surpris. Chaque fois, tu es surpris. Si tu n'étais pas surpris dans ce jeu, tu serais déçu.
Pendant tout ce temps, la Vérité tente de défoncer la porte imaginaire que tu as construite.
Tu as un héritage qui t'attend, et tu ne l'as pas remarqué. Tu es tellement impliqué dans le jeu où tu es immergé que tu obstrues la vérité venant de toi-même. Quelle que soit le type de drame où tu te trouves, tu es pris dedans et refuses la vérité venant de toi-même. Tu es un très bon acteur. Tu persuades le public, et tu te persuades. Héros ou bandit ou auditoire, tu te persuades. Tu es acteur, dramaturge, metteur en scène, chorégraphe, compositeur suprême.
Tu joues tous les rôles, et ne le sais pas. Tu es convaincu de l'authenticité de ce drame qui est tout fabriqué. Certes, c'est une entreprise de collaboration, pourtant une entreprise transformée en aventure, néanmoins.
Derrière ce rideau que tu tires, il y a une Grande Âme. Ne sois pas effrayé de ta grandeur. Tu crains de ne pas pouvoir honorer le rôle de la grandeur. Tu crains que ce soit le seul rôle que tu ne puisses pas jouer, et ainsi tu préfères rester peu convaincu par lui. Même en sachant que ce n'est pas un rôle, même en sachant que ceci est ta pleine vérité, tu préfères tirer le rideau.
Tu hésites à regarder. Ce en quoi tu ne peux faillir, tu en as peur. Tu jouerais plutôt dans un autre rôle. Tu jouerais plutôt l'enfant abandonné, ou le naïf, ou la bonne fille ou le mauvais garçon. Tu y es habitué. D'ailleurs, tu te dis qu'il y a de la sécurité dans les nombres.
Que veux-tu Me dire maintenant ? Me dis-tu : « Attends, Dieu, plus tard, je verrai comme Toi », ou dis-tu : « Ok, Dieu, je vais ouvrir mes yeux et ne pas tromper plus longtemps les autres et moi sur qui je suis. Bon alors, Dieu, je vais compter jusqu'à Un. »
Ta vie sur Terre est une parabole. La vie sur Terre exige que tu te lances dans une quête. Tu es un chasseur de connaissance. Toi, qui sais tout, tu te trouves dans un safari pour découvrir ce que tu sais déjà. Tu te cherches. Toi qui es ton Soi, tu traques ton Soi. Tu fais ceci au-delà de petites limites, ici et là. Tu bondis sur toi, et dis : “ Ah ! ”
Tu t'échappes du territoire des limites actuellement imaginées et dessines d'autres cercles pour sauter au travers et te prendre toi-même sur le fait. Tu es un chasseur qui chasse. Tu es un pêcheur qui jette son filet.
Tu te rencontres, et tu te salues. Tu entres et sors de toi-même. Tu dessines une image limitée de toi, et toi, la Réalité, dis que l'image que tu dessines et animes est la totalité de toi-même. Tu exagères ce petit dessin, alors que tu n'as pas commencé à faire un tableau assez grand pour t'égaler. Tu es un artiste beaucoup plus grand que l'image que tu dessines.
C'est comme cacher à toi-même ta magnificence, quel rôle aimerais-tu jouer alors ? Quelle serait ton identité terrestre alors ? Tu pourrais être un acteur au chômage !
Quelle est la parabole où tu vis ? Cela en est une pleine de dangers établis dans le mental. Tu te racontes des histoires. Tu les composes, et pourtant tu crois en elles, ces histoires. Tu racontes des histoires, et pourtant tes histoires démentent la Vérité.
La vérité n'est pas dite. La vérité est habillée de vêtements ordinaires et elle est camouflée. En fait, tu passes beaucoup de temps à camoufler la vérité. Tu te dis que la vérité que tu entends est trop belle pour être vraie, et alors tu joues dans le bac à sable et construis des châteaux avec des donjons dedans. Tu te répétes.
Les circonstances changent, et pourtant tu répètes tes histoires, et tu y joues encore et encore. Tu te racontes des histoires pour dormir, et tu cherches du secours en elles, et tu te caches sous les couvertures. Tu joues à cache-cache. Et chaque fois, tu es surpris. Chaque fois, tu es surpris. Si tu n'étais pas surpris dans ce jeu, tu serais déçu.
Pendant tout ce temps, la Vérité tente de défoncer la porte imaginaire que tu as construite.
Tu as un héritage qui t'attend, et tu ne l'as pas remarqué. Tu es tellement impliqué dans le jeu où tu es immergé que tu obstrues la vérité venant de toi-même. Quelle que soit le type de drame où tu te trouves, tu es pris dedans et refuses la vérité venant de toi-même. Tu es un très bon acteur. Tu persuades le public, et tu te persuades. Héros ou bandit ou auditoire, tu te persuades. Tu es acteur, dramaturge, metteur en scène, chorégraphe, compositeur suprême.
Tu joues tous les rôles, et ne le sais pas. Tu es convaincu de l'authenticité de ce drame qui est tout fabriqué. Certes, c'est une entreprise de collaboration, pourtant une entreprise transformée en aventure, néanmoins.
Derrière ce rideau que tu tires, il y a une Grande Âme. Ne sois pas effrayé de ta grandeur. Tu crains de ne pas pouvoir honorer le rôle de la grandeur. Tu crains que ce soit le seul rôle que tu ne puisses pas jouer, et ainsi tu préfères rester peu convaincu par lui. Même en sachant que ce n'est pas un rôle, même en sachant que ceci est ta pleine vérité, tu préfères tirer le rideau.
Tu hésites à regarder. Ce en quoi tu ne peux faillir, tu en as peur. Tu jouerais plutôt dans un autre rôle. Tu jouerais plutôt l'enfant abandonné, ou le naïf, ou la bonne fille ou le mauvais garçon. Tu y es habitué. D'ailleurs, tu te dis qu'il y a de la sécurité dans les nombres.
Que veux-tu Me dire maintenant ? Me dis-tu : « Attends, Dieu, plus tard, je verrai comme Toi », ou dis-tu : « Ok, Dieu, je vais ouvrir mes yeux et ne pas tromper plus longtemps les autres et moi sur qui je suis. Bon alors, Dieu, je vais compter jusqu'à Un. »