L'éveil est-il une abstraction ou une expérience concrète ?
Est-il nécessaire d'en passer par un maître spirituel pour l'atteindre ?
Quelles sont ses conditions ? Sa discipline ? Comment l'installer réellement dans sa vie et faire l'expérience durable d'une expansion
du champ de la conscience et de familiarisation avec l'Immuable ?
En cessant de vous sentir séparés des autres, les conflits tomberont d'eux-mêmes. Dans la communion il n'y a pas de compétition, pas de conflit amoureux, pas de guerre de prestige. Mais comment en arriver là ?
Dès que le profane met en branle le processus de l'éveil, des choses commencent à se produire dans sa vie. Il pense autrement, il sent différemment, comme s'il était maintenant nourri par des pensées exaltantes qui dilatent sa conscience. Il commence alors à se constituer des expériences d'absolu et voit le monde se transformer sous son regard.
Mais pour la majorité des gens, la spiritualité est une échappatoire, un fourre-tout fourbis de bonnes intentions, de superstitions et de mièvres croyances. À l'instar de la sainte indienne Ma Ananda Moyi, nous pouvons dire « la seule façon de connaître dieu est de le devenir. » Prier, espérer, cheminer n'a plus aucun sens ! Il nous faut assumer notre identité divine.
Le rôle de la philosophie spirituelle est de décevoir les gens en détruisant leurs illusions. Cela va à l'encontre de l'orientation du monde actuel influencé par le cinéma et la télévision, qui sont des médias dont la fonction première est de répandre des illusions. L'internet n'est pas la solution, car c'est comme vouloir remplacer la connaissance par l'information.
Tout le monde est fou, mais qui sait harnacher sa propre folie et la rendre créatrice ? Réussir à tirer partie des vertiges et de ses tourments est une entreprise qui nécessite une intelligence qui n'est pas sans paradoxe. Assumer avec conscience sa folie, c'est embrasser toutes les contradictions du monde.
Puissent nos résolutions, au seuil de cette année, être imprégnées de la lumière et de l'esprit du pardon envers tous ceux qui font encore l'objet de notre rancune. Pardonnez à ceux qui vous ont offensés et ainsi vous déverserez sur votre âme le baume de la guérison.
En cessant de vous sentir séparés des autres, les conflits tomberont d'eux-mêmes. Dans la communion il n'y a pas de compétition, pas de conflit amoureux, pas de guerre de prestige. Mais comment en arriver là ?
Dès que le profane met en branle le processus de l'éveil, des choses commencent à se produire dans sa vie. Il pense autrement, il sent différemment, comme s'il était maintenant nourri par des pensées exaltantes qui dilatent sa conscience. Il commence alors à se constituer des expériences d'absolu et voit le monde se transformer sous son regard.
Mais pour la majorité des gens, la spiritualité est une échappatoire, un fourre-tout fourbis de bonnes intentions, de superstitions et de mièvres croyances. À l'instar de la sainte indienne Ma Ananda Moyi, nous pouvons dire « la seule façon de connaître dieu est de le devenir. » Prier, espérer, cheminer n'a plus aucun sens ! Il nous faut assumer notre identité divine.
Le rôle de la philosophie spirituelle est de décevoir les gens en détruisant leurs illusions. Cela va à l'encontre de l'orientation du monde actuel influencé par le cinéma et la télévision, qui sont des médias dont la fonction première est de répandre des illusions. L'internet n'est pas la solution, car c'est comme vouloir remplacer la connaissance par l'information.
Tout le monde est fou, mais qui sait harnacher sa propre folie et la rendre créatrice ? Réussir à tirer partie des vertiges et de ses tourments est une entreprise qui nécessite une intelligence qui n'est pas sans paradoxe. Assumer avec conscience sa folie, c'est embrasser toutes les contradictions du monde.
Puissent nos résolutions, au seuil de cette année, être imprégnées de la lumière et de l'esprit du pardon envers tous ceux qui font encore l'objet de notre rancune. Pardonnez à ceux qui vous ont offensés et ainsi vous déverserez sur votre âme le baume de la guérison.