Même si les prostituées se trouvent être les enfants dévoyés de Dieu, qui sommes-nous pour juger ces femmes ? Connaissons-nous toutes les circonstances qui les ont amenées à recourir à de pareilles méthodes pour se procurer leur subsistance ?
Dans chaque mental humain vit un esprit divin, don du Père qui est aux cieux. Ce bon esprit s'efforce toujours de nous conduire à Dieu, de nous aider à trouver Dieu et à connaître Dieu. Mais les mortels sont également soumis à bien des tendances physiques naturelles que le Créateur a placées en eux pour servir le bien-être individuel et racial. Or, les hommes et les femmes s'embrouillent bien souvent dans leurs efforts pour se comprendre et attaquer les multiples difficultés rencontrées pour gagner leur vie dans un monde si largement dominé par l'égoïsme et le péché. Ni l'une ni l'autre de ces femmes ne sont toutes volontairement dépravées. Nous pouvons souvent dire, d'après leur visage, qu'elles ont subi de grands chagrins; elles ont beaucoup souffert sous les coups d'un destin apparemment cruel; elles n'ont pas choisi intentionnellement cette sorte de vie. Dans un découragement frisant le désespoir, elles ont succombé à la pression du moment et accepté ce procédé déplaisant pour gagner de quoi vivre, comme meilleur moyen de se tirer d'une situation qui leur paraissait désespérée.
Certaines personnes sont réellement perverses dans leur coeur et choisissent délibérément de faire des choses méprisables. Mais en regardant ces visages inondés de larmes, y voit-on quelque chose de mauvais ou de méchant ?
De la part de notre Père qui est aux cieux, elles ont été pardonnées.
Et si nous discutions sur la meilleure manière d'aider ces femmes à prendre un nouveau départ dans la vie ? Elles peuvent nous raconter leur histoire, mais il est un fait qu'elles ont eu bien des difficultés; souvent elles témoignent combien sérieusement elles désirent connaître des gens de bien, et combien volontiers elles saisiront l'occasion de montrer au monde entier – et même aux anges du ciel – qu'elles peuvent devenir de braves et nobles femmes.
S'il existe un véritable lien vivant entre l'enfant et le Père, l'enfant est certain de progresser continuellement vers les idéaux du Père. Il est vrai que les progrès de l'enfant peuvent d'abord être lents, mais ils n'en sont pas moins sûrs. La chose importante n'est pas tant la rapidité de nos progrès que leur certitude. Nos accomplissements actuels sont moins importants que le fait que la direction de nos progrès soit orientée vers Dieu. Ce que nous devenons, jour après jour, a infiniment plus d'importance que ce que nous sommes aujourd'hui.
Ces femmes d'un niveau inférieur peuvent résolument prendre la route longue et mouvementée de la recherche de Dieu; son sentier vers le ciel n'est bloqué ni par l'orgueil spirituel ni par l'autosatisfaction morale. Humainement parlant, ces femmes sont beaucoup plus éloignée de Dieu, mais leur âme suit un mouvement progressif; elle est en route vers un but éternel. Ces femmes portent en elles de prodigieuses possibilités spirituelles pour l'avenir.
Certains peuvent ne pas se trouver à des niveaux réellement élevés d'âme et d'esprit, mais nous faisons des progrès quotidiens vers Dieu sur le chemin vivant que notre foi a ouvert. Il y a, en chacun de nous, de prodigieuses possibilités pour l'avenir. Mieux vaut avoir une foi restreinte, mais vivante et croissante, que de posséder un puissant intellect avec ses réserves mortes de sagesse temporelle et d'incrédulité spirituelle.
Beaucoup d'êtres humains paraissant plus élevés sont en réalité déchirés entre la foi et le doute, et combien ils sont bouleversés par la peur et troublés par l'orgueil. Mais les portes du royaume céleste sont ouvertes à tous ceux qui ont assez de foi pour y entrer. Nul être humain et nulle association d'êtres humains ne peuvent fermer ces portes, même à l'âme la plus humble ou au pécheur supposé le plus flagrant de la terre, s'ils désirent sincèrement y entrer.
Dans chaque mental humain vit un esprit divin, don du Père qui est aux cieux. Ce bon esprit s'efforce toujours de nous conduire à Dieu, de nous aider à trouver Dieu et à connaître Dieu. Mais les mortels sont également soumis à bien des tendances physiques naturelles que le Créateur a placées en eux pour servir le bien-être individuel et racial. Or, les hommes et les femmes s'embrouillent bien souvent dans leurs efforts pour se comprendre et attaquer les multiples difficultés rencontrées pour gagner leur vie dans un monde si largement dominé par l'égoïsme et le péché. Ni l'une ni l'autre de ces femmes ne sont toutes volontairement dépravées. Nous pouvons souvent dire, d'après leur visage, qu'elles ont subi de grands chagrins; elles ont beaucoup souffert sous les coups d'un destin apparemment cruel; elles n'ont pas choisi intentionnellement cette sorte de vie. Dans un découragement frisant le désespoir, elles ont succombé à la pression du moment et accepté ce procédé déplaisant pour gagner de quoi vivre, comme meilleur moyen de se tirer d'une situation qui leur paraissait désespérée.
Certaines personnes sont réellement perverses dans leur coeur et choisissent délibérément de faire des choses méprisables. Mais en regardant ces visages inondés de larmes, y voit-on quelque chose de mauvais ou de méchant ?
De la part de notre Père qui est aux cieux, elles ont été pardonnées.
Et si nous discutions sur la meilleure manière d'aider ces femmes à prendre un nouveau départ dans la vie ? Elles peuvent nous raconter leur histoire, mais il est un fait qu'elles ont eu bien des difficultés; souvent elles témoignent combien sérieusement elles désirent connaître des gens de bien, et combien volontiers elles saisiront l'occasion de montrer au monde entier – et même aux anges du ciel – qu'elles peuvent devenir de braves et nobles femmes.
S'il existe un véritable lien vivant entre l'enfant et le Père, l'enfant est certain de progresser continuellement vers les idéaux du Père. Il est vrai que les progrès de l'enfant peuvent d'abord être lents, mais ils n'en sont pas moins sûrs. La chose importante n'est pas tant la rapidité de nos progrès que leur certitude. Nos accomplissements actuels sont moins importants que le fait que la direction de nos progrès soit orientée vers Dieu. Ce que nous devenons, jour après jour, a infiniment plus d'importance que ce que nous sommes aujourd'hui.
Ces femmes d'un niveau inférieur peuvent résolument prendre la route longue et mouvementée de la recherche de Dieu; son sentier vers le ciel n'est bloqué ni par l'orgueil spirituel ni par l'autosatisfaction morale. Humainement parlant, ces femmes sont beaucoup plus éloignée de Dieu, mais leur âme suit un mouvement progressif; elle est en route vers un but éternel. Ces femmes portent en elles de prodigieuses possibilités spirituelles pour l'avenir.
Certains peuvent ne pas se trouver à des niveaux réellement élevés d'âme et d'esprit, mais nous faisons des progrès quotidiens vers Dieu sur le chemin vivant que notre foi a ouvert. Il y a, en chacun de nous, de prodigieuses possibilités pour l'avenir. Mieux vaut avoir une foi restreinte, mais vivante et croissante, que de posséder un puissant intellect avec ses réserves mortes de sagesse temporelle et d'incrédulité spirituelle.
Beaucoup d'êtres humains paraissant plus élevés sont en réalité déchirés entre la foi et le doute, et combien ils sont bouleversés par la peur et troublés par l'orgueil. Mais les portes du royaume céleste sont ouvertes à tous ceux qui ont assez de foi pour y entrer. Nul être humain et nulle association d'êtres humains ne peuvent fermer ces portes, même à l'âme la plus humble ou au pécheur supposé le plus flagrant de la terre, s'ils désirent sincèrement y entrer.