Pour contrecarrer l'influence négative des Maîtres du Monde (pouvoir financier, religieux, gouvernemental, philosophique, scientifique, éducatif, sexuel), point est besoin de lutter contre. En effet, les mêmes fondements qui ont construit leur organisation mondiale sont en même temps dans le limon qui sapera ses fondations. En voici quelques exemples :
Pour les organisations citoyennes, il s'agit donc de reposer les problèmes à plat en démontrant les contradictions entre les valeurs officielles et la réalité, et en forçant les responsables du système à changer leur manière de traiter les problèmes, conformément aux principes démocratiques et aux valeurs officiellement proclamées.
La plupart de ces intermédiaires ne sont pas informés des réels objectifs et finalités du système. Ils agissent uniquement en fonction de principes économiques ou administratifs auxquels ils ont été conditionnés à adhérer.
Il est donc possible de les amener à agir de façons contraires aux finalités ultimes du système, sans qu'ils aient l'impression d'être en désaccord avec leur ligne directrice.
Par exemple : les médias obéissent à la loi de l'audience, mais celle-ci peut être "retournée" et conduire les médias à diffuser des informations et des images potentiellement subversives, dès lors qu'elles permettent de faire de l'audience.
Par exemple, les licenciements massifs vont dans le sens des intérêts des Maitres du Monde parce qu'ils permettent d'accélérer la mise en esclavage de la population, mais ils sont contraires aux intérêts à long-terme de l'entreprise (effets négatifs du downsizing, diminution de la motivation des salariés, paupérisation des consommateurs, baisse de la consommation...)
Le système doit garder les apparences de la démocratie
Pour conserver l'efficacité d'une "prison sans murs" et obtenir l'esclavage volontaire des populations, le système doit garder les apparences de la démocratie. De même, les valeurs officielles du système sont toujours censées être la liberté, la démocratie, la justice, la concertation et le dialogue, la primauté de l'intérêt général, les droits de l'être humain, le respect de la personne humaine, le respect de la vie, etc.Pour les organisations citoyennes, il s'agit donc de reposer les problèmes à plat en démontrant les contradictions entre les valeurs officielles et la réalité, et en forçant les responsables du système à changer leur manière de traiter les problèmes, conformément aux principes démocratiques et aux valeurs officiellement proclamées.
Une chaîne de commande indirecte
La chaîne de commande du pouvoir des Maitres du Monde est indirecte et passe par un grand nombre d'intermédiaires.La plupart de ces intermédiaires ne sont pas informés des réels objectifs et finalités du système. Ils agissent uniquement en fonction de principes économiques ou administratifs auxquels ils ont été conditionnés à adhérer.
Il est donc possible de les amener à agir de façons contraires aux finalités ultimes du système, sans qu'ils aient l'impression d'être en désaccord avec leur ligne directrice.
Par exemple : les médias obéissent à la loi de l'audience, mais celle-ci peut être "retournée" et conduire les médias à diffuser des informations et des images potentiellement subversives, dès lors qu'elles permettent de faire de l'audience.
L'avidité et l'égoïsme
Les membres des organisations des Maitres du Monde sont motivés en premier lieu par leur profit personnel. Leur égoïsme, leur désir de gloire, et leur avidité peuvent parfois être plus forts que l'obéissance à leurs objectifs et intérêts collectifs.Des intérêts divergents
Les intérêts des Maitres du Monde et ceux de leurs instruments économiques, les entreprises, ne sont pas toujours convergents. Si les entreprises s'en rendaient davantage compte, elles pourraient cesser de collaborer aussi bien à la réalisation des objectifs des Maitres du Monde.Par exemple, les licenciements massifs vont dans le sens des intérêts des Maitres du Monde parce qu'ils permettent d'accélérer la mise en esclavage de la population, mais ils sont contraires aux intérêts à long-terme de l'entreprise (effets négatifs du downsizing, diminution de la motivation des salariés, paupérisation des consommateurs, baisse de la consommation...)