Éventuellement, les buts anticipés pour notre civilisation et cette planète seront atteints, mais pas avant qu'une sélection spirituelle naturelle advienne où des individus aux dispositions égoïstes et aux spectres de basses-fréquences fragmentés (criminels, obsédés et sceptiques incorrigibles), seront séparés des personnalités aux vibrations plus élevées qui elles répondront positivement aux actions catalytiques de la rencontre de la Ceinture de Photons et des cycles d'ascension planétaire, prévus aux environs de 2012-2017.
Imaginez un jeune étudiant de passage sur la Terre et poursuivant des études en Anthropologie des civilisations extraterrestres. Ses dossiers refléteraient son évaluation du potentiel de l'espèce humaine et des évènements significatifs qui ont marqué l'histoire de la Terre. Toutefois, au niveau de l'expérience de première main, il demeurerait relativement naïf.
Après avoir mentalement pénétré les denses nuages d'énergies négatives formés par les pensées de cette civilisation énigmatique, il est possible que ses premières constatations lui révèlent l'extraordinaire et omniprésente complaisance des humains envers l'essence même de leur quotidien, c'est-à-dire la vie, l'esprit et l'univers tout entier. Il serait intrigué par leur apathie, leur scepticisme, et l'indifférence qu'ils manifestent envers l'éveil de leur conscience. Il observerait par la suite l'incapacité de la race à ressentir l'empathie ou la compassion pour d'autres espèces vivantes. À ses yeux, quelque chose ne tournerait pas rond. Il questionnerait leur étrange besoin d'adorer ou d'idolâtrer d'autres sources de créativité ou d'autorité, tel un dieu ou un Einstein. Il trouverait curieux leur besoin insatiable qu'on les dirige, voire même qu'on leur dicte des façons de penser et des façons d'agir. Enfin, il serait témoin de l'incongruité de leur désarroi et du manque de responsabilité qu'ils manifestent envers l'affirmation du soi.
À prime abord ce jeune visiteur serait pris au dépourvu pour expliquer ce comportement, et comme il est tous les jours en communication avec son monde à lui, ses confrères en seraient stupéfiés, car aux yeux d'un grand nombre de civilisations dites avancées il serait inconcevable que cette vague de vie humaine sur Terre se soit imposée de pareilles limites. L'observation de la souffrance, les conflits, la guerre, les maladies et les vies écourtées corroboreraient son évaluation. L'étudiant n'en reviendrait pas des étranges conceptions, systèmes de croyances et perspectives rigides et étroites exprimées par cette conscience collective. Et possiblement qu'il pondrait toutes sortes de théories loufoques avant de retourner à sa planète d'origine. Il en arriverait à certaines conclusions, entre autres que la vie humaine sur terre est très pauvre au niveau du libre choix – un paradoxe dans un univers fondé sur le libre arbitre – et que les humains auraient développé une forme d'handicap mental.
Notre visiteur soumet donc un compte-rendu de ses évaluations à ses mentors, mais ces derniers réfutent ses conclusions et le retournent vers la Terre.
À son retour notre étudiant se prête à maintes analyses, entre autres la composition du cerveau humain.
Il adopte la théorie que le cerveau de l'être humain est possiblement défectueux ou qu'il lui manque quelques brins d'ADN. Mais cette observation le surprendrait car selon la charte galactique hiérarchique informatisée qu'il a consultée, les formes de vie intelligentes comme la race humaine auraient toutes reçu un séquençage adéquat. Il explore même la possibilité qu'un déséquilibre cérébral majeur soit à la source des difficultés de la conscience. À son grand étonnement il découvre que l'espèce n'utilise que l'hémisphère gauche du cerveau pour assimiler toutes les expériences, à l'exception d'une faible utilisation de l'hémisphère droit pour apprécier l'art et la musique. En conclusion, il estime que les humains se sont faits à l'idée que toute expérience peut être assimilée via l'intellect/cerveau gauche, et qu'ils considèrent la logique comme suprême instrument de compréhension de la vérité.
« Comme ils sont bizarres », commenterait-il, «...L'être humain sur Terre doit penser que B suit toujours A... ce qui est très logique car son alphabet est ainsi construit... et que les effets suivent toujours les causes. Oui... et que le passé doit causer le futur... que les virus sont les seules causes des maladies.... Bien sûr (!)», reconnaît-il, « Les humains pensent que l'univers, leur environnement, est objectif... à preuve, leur plus grand scientifique, monsieur Einstein était très clair là-dessus... mais... contrairement à la nouvelle pensée, la physique avancée, la théorie des quantiques ?... très curieux ! »
Son évaluation se poursuit. Il découvre des lacunes au plan de l'utilisation de principes naturels, universels et spirituels, ainsi qu'au plan connexe des capacités de perception menant à l'expérience directe – se brancher directement à l'univers – sauf, pour ainsi dire, au plan de l'art et de la musique. Mais il réalise que même ces deux formes d'expression se dégradent. L'art devient beaucoup plus représentatif, reflétant de façon excessive les nouvelles technologies et la dénaturation intellectuelle sous forme de messages et d'interprétations qui ont remplacé l'esthétisme dans l'expression. L'essence esthétique de la structure musicale est de nos jours écorchée par des rythmes discordants et violents dans les domaines populaires et il y a la sur-intellectualisation et la représentation impressionniste dans le domaine de la musique classique. On ne reconnaît pas le pouvoir qu'exerce la musique sur l'évolution; par exemple, leurs grandes oeuvres classiques soulèveront l'intelligence et la conscience, mais les formes musicales à basses vibrations qui agissent comme drogues, en fragmentant ainsi la conscience et en résonant avec les vibrations subconscientes d'une nature égoïste et matérialiste, mettra un terme à l'évolution, ou du moins la ralentira.
Dans les pratiques religieuses du monde occidental, ils se sont laissés programmer, adoptant cette notion que leur pouvoir, leur Dieu, était externe au lieu d'interne, suivant une philosophie interprétée et faussement attribuée à leur maître Jésus. Quoi de plus sublime que d'imposer à leur conscience spirituelle des contraintes qui autrement leur donneraient accès à une grande liberté d'expression et de réalisations. Parallèlement, dans les domaines scientifiques, l'être humain est conditionné à croire que l'univers est objectif – extérieur à soi – ce qui occasionne l'interdépendance de l'observateur et de l'observé, au lieu de l'indépendance appréhendée.
Pas surprenant, songerait-il, que la validité de la physique quantique soit considérée douteuse eu égard aux concepts qu'elle propose, bien que d'aucuns considèrent cette discipline des plus avancées. L'être humain perçoit son environnement d'une manière intrinsèquement déconnectée par l'utilisation excessive de l'hémisphère gauche de son cerveau, et de la logique, ce qui occasionne l'affaiblissement et l'atrophie de la conscience spirituelle cerveau-droit, les perceptions intuitives, etc. Et la suppression des émotions entrave la connexion du corps et de l'esprit. Il y a des lacunes au niveau de la perception qualitative ou des capacités de connaître par les centres émotionnels par lesquels un individu résonne avec les produits de la perception – être au diapason – dont les mécanismes sont révélés dans la théorie des quantiques.
Il est toutefois étonnant de constater toutes les réalisations de l'être humain en dépit de ces limitations, et les intellectuels méritent tous les hommages qui leur sont dus en raison de leurs efforts à mémoriser, manipuler des symboles, confectionner des modèles, formuler des hypothèses ou des conclusions, et mener des expériences objectives en testant leurs théories, qui malheureusement procèdent toutes du contexte limitatif de la logique 3D basée sur le raisonnement cerveau-gauche, et des illusions que procurent la troisième dimension. Il devient très clair pourquoi les femmes ont été opprimées; elles se servent plus de l'hémisphère droit de leur cerveau que les êtres humains.
Oh combien ils pourraient apprendre des animaux, qui peuvent lire les vibrations; et apprendre des enfants, également. Mais on pense que les animaux sont stupides et, à part les toutous domestiques, ils sont soumis à d'horribles traitements, sans aucun respect pour la présence d'une quelconque conscience, tout particulièrement, et malheureusement n'aboutissent que trop souvent sur le marché de la consommation ou servent de cible à des fins de récréation dans certains sports.
La race humaine n'a pas appris ses leçons de physique karmique dont les principes sont si simples : l'on récolte ce que l'on sème. Lorsqu'un individu crée une dualité par une action négative, il crée une dette – soit que le pôle opposé s'exprimera un jour afin de mieux comprendre les effets de ses propres actions.
La civilisation tente d'apprendre et d'évoluer en se dissociant de ses propres créations fondamentales, niant toute responsabilité envers son environnement et l'univers, développant une égo-structure ou personnalité, qui affirme, en effet... je suis ici dans ce corps et tout le reste est au dehors, et je dois survivre du mieux que je peux. Et dire que la seule et vraie façon de survivre est tout à fait le contraire. Quelle catastrophe ! Ou devrait-on dire, quel défi difficile à relever. En gros, ils utilisent un mode de comportement déphasé, non résonant pour comprendre, au lieu d'une condition résonante. Ils se sont laissés conditionner par une réalité mécanique séquentielle au lieu d'une réalité holographique synchronique. Regardez ce qu'il est advenu de la compétitivité naturelle des terriens – un désir de vaincre à tout prix, de valoriser et justifier l'ego – ce qui est hautement destructif car le processus implique l'anéantissement du point de vue d'un adversaire – une réalité qui alimente la polarisation en suggérant que la survie n'est possible que par la lutte acharnée, alors que précisément le contraire est le vrai sentier de l'évolution de l'âme et de l'esprit. Nous, sur notre planète, ne voudrions même pas vaincre l'un des nôtres. La race humaine sur Terre est complètement passée à côté; ce que l'on pourrait résumer par la dichotomie suivante : hors-phase équivaut à l'absence de chance; en-phase équivaut à la chance. Par extension, en-phase signifie le développement éventuel d'une civilisation synchronique holographique.
L'étudiant complète sa thèse en toute confiance en affirmant que les humains ont été éloignés de leur empreinte bleue naturelle évolutive et de leur raison d'être par des instruments qui ont conditionné leurs esprits aux structures limitatives, basées sur la troisième dimension et sa logique inhérente, qui désormais "formate" la fonction, leur conscience, ou leur essence créatrice et spirituelle. Ils doivent libérer leurs facultés intuitives et spirituelles et sortir de leur moule hypnotique pour ainsi fuir les murs de cette prison auto-imposée en aiguisant plutôt leur capacité de lire les vibrations, dont toute chose se compose, et ainsi, ultimement, accueillir ouvertement toute information universelle.
Toutefois, lorsque l'étudiant retourne à sa planète d'origine, ses aînés, bien qu'enchantés de ses progrès, lui indiquent que son projet est plus complexe qu'il n'apparaît et le retournent vers la Terre. Ils ne seront jamais satisfaits, tant et aussi longtemps que l'étudiant n'aura pas compris que toutes les tergiversations sur la Terre font partie d'un plan plus grandiose.
Brièvement... au niveau de l'âme et de la conscience collective, les humains avaient consenti d'explorer les vibrations inférieures de l'énergie et de la matière sur la planète Terre. Cette planète est en effet une école, mais pas seulement pour ses habitants. Elle aura accepté tous les problèmes irrésolus dans l'univers, exploré toutes les facettes de la négativité et des malaises. La majeure partie de cette négativité existe dans des pochettes à travers l'univers et elle n'aura pas été comprise, mais plutôt évitée, tout simplement, par des races avancées. L'espèce humaine aura diffusé inconsciemment un bilan de toutes ces explorations à d'autres races, leur permettant ainsi de comprendre le concept de la négativité.
Cependant, toute la souffrance résultant de ces explorations n'étaient pas planifiées et l'expérience à outrepassé sa mission. Il est temps de se réveiller. C'est ce qui se passe en ce moment.
L'étudiant se permet une dernière observation avant de retourner à sa planète d'origine : la solution au dilemme terrestre réside dans l'éveil des humains, de l'individu et de la conscience collective envers les évènements en cours sur Terre, recanaliser le pouvoir de leur état collectif et mettre fin à l'expérience par la résolution urgente de tous ses problèmes.
Imaginez un jeune étudiant de passage sur la Terre et poursuivant des études en Anthropologie des civilisations extraterrestres. Ses dossiers refléteraient son évaluation du potentiel de l'espèce humaine et des évènements significatifs qui ont marqué l'histoire de la Terre. Toutefois, au niveau de l'expérience de première main, il demeurerait relativement naïf.
Après avoir mentalement pénétré les denses nuages d'énergies négatives formés par les pensées de cette civilisation énigmatique, il est possible que ses premières constatations lui révèlent l'extraordinaire et omniprésente complaisance des humains envers l'essence même de leur quotidien, c'est-à-dire la vie, l'esprit et l'univers tout entier. Il serait intrigué par leur apathie, leur scepticisme, et l'indifférence qu'ils manifestent envers l'éveil de leur conscience. Il observerait par la suite l'incapacité de la race à ressentir l'empathie ou la compassion pour d'autres espèces vivantes. À ses yeux, quelque chose ne tournerait pas rond. Il questionnerait leur étrange besoin d'adorer ou d'idolâtrer d'autres sources de créativité ou d'autorité, tel un dieu ou un Einstein. Il trouverait curieux leur besoin insatiable qu'on les dirige, voire même qu'on leur dicte des façons de penser et des façons d'agir. Enfin, il serait témoin de l'incongruité de leur désarroi et du manque de responsabilité qu'ils manifestent envers l'affirmation du soi.
À prime abord ce jeune visiteur serait pris au dépourvu pour expliquer ce comportement, et comme il est tous les jours en communication avec son monde à lui, ses confrères en seraient stupéfiés, car aux yeux d'un grand nombre de civilisations dites avancées il serait inconcevable que cette vague de vie humaine sur Terre se soit imposée de pareilles limites. L'observation de la souffrance, les conflits, la guerre, les maladies et les vies écourtées corroboreraient son évaluation. L'étudiant n'en reviendrait pas des étranges conceptions, systèmes de croyances et perspectives rigides et étroites exprimées par cette conscience collective. Et possiblement qu'il pondrait toutes sortes de théories loufoques avant de retourner à sa planète d'origine. Il en arriverait à certaines conclusions, entre autres que la vie humaine sur terre est très pauvre au niveau du libre choix – un paradoxe dans un univers fondé sur le libre arbitre – et que les humains auraient développé une forme d'handicap mental.
Notre visiteur soumet donc un compte-rendu de ses évaluations à ses mentors, mais ces derniers réfutent ses conclusions et le retournent vers la Terre.
À son retour notre étudiant se prête à maintes analyses, entre autres la composition du cerveau humain.
Il adopte la théorie que le cerveau de l'être humain est possiblement défectueux ou qu'il lui manque quelques brins d'ADN. Mais cette observation le surprendrait car selon la charte galactique hiérarchique informatisée qu'il a consultée, les formes de vie intelligentes comme la race humaine auraient toutes reçu un séquençage adéquat. Il explore même la possibilité qu'un déséquilibre cérébral majeur soit à la source des difficultés de la conscience. À son grand étonnement il découvre que l'espèce n'utilise que l'hémisphère gauche du cerveau pour assimiler toutes les expériences, à l'exception d'une faible utilisation de l'hémisphère droit pour apprécier l'art et la musique. En conclusion, il estime que les humains se sont faits à l'idée que toute expérience peut être assimilée via l'intellect/cerveau gauche, et qu'ils considèrent la logique comme suprême instrument de compréhension de la vérité.
« Comme ils sont bizarres », commenterait-il, «...L'être humain sur Terre doit penser que B suit toujours A... ce qui est très logique car son alphabet est ainsi construit... et que les effets suivent toujours les causes. Oui... et que le passé doit causer le futur... que les virus sont les seules causes des maladies.... Bien sûr (!)», reconnaît-il, « Les humains pensent que l'univers, leur environnement, est objectif... à preuve, leur plus grand scientifique, monsieur Einstein était très clair là-dessus... mais... contrairement à la nouvelle pensée, la physique avancée, la théorie des quantiques ?... très curieux ! »
Son évaluation se poursuit. Il découvre des lacunes au plan de l'utilisation de principes naturels, universels et spirituels, ainsi qu'au plan connexe des capacités de perception menant à l'expérience directe – se brancher directement à l'univers – sauf, pour ainsi dire, au plan de l'art et de la musique. Mais il réalise que même ces deux formes d'expression se dégradent. L'art devient beaucoup plus représentatif, reflétant de façon excessive les nouvelles technologies et la dénaturation intellectuelle sous forme de messages et d'interprétations qui ont remplacé l'esthétisme dans l'expression. L'essence esthétique de la structure musicale est de nos jours écorchée par des rythmes discordants et violents dans les domaines populaires et il y a la sur-intellectualisation et la représentation impressionniste dans le domaine de la musique classique. On ne reconnaît pas le pouvoir qu'exerce la musique sur l'évolution; par exemple, leurs grandes oeuvres classiques soulèveront l'intelligence et la conscience, mais les formes musicales à basses vibrations qui agissent comme drogues, en fragmentant ainsi la conscience et en résonant avec les vibrations subconscientes d'une nature égoïste et matérialiste, mettra un terme à l'évolution, ou du moins la ralentira.
Dans les pratiques religieuses du monde occidental, ils se sont laissés programmer, adoptant cette notion que leur pouvoir, leur Dieu, était externe au lieu d'interne, suivant une philosophie interprétée et faussement attribuée à leur maître Jésus. Quoi de plus sublime que d'imposer à leur conscience spirituelle des contraintes qui autrement leur donneraient accès à une grande liberté d'expression et de réalisations. Parallèlement, dans les domaines scientifiques, l'être humain est conditionné à croire que l'univers est objectif – extérieur à soi – ce qui occasionne l'interdépendance de l'observateur et de l'observé, au lieu de l'indépendance appréhendée.
Pas surprenant, songerait-il, que la validité de la physique quantique soit considérée douteuse eu égard aux concepts qu'elle propose, bien que d'aucuns considèrent cette discipline des plus avancées. L'être humain perçoit son environnement d'une manière intrinsèquement déconnectée par l'utilisation excessive de l'hémisphère gauche de son cerveau, et de la logique, ce qui occasionne l'affaiblissement et l'atrophie de la conscience spirituelle cerveau-droit, les perceptions intuitives, etc. Et la suppression des émotions entrave la connexion du corps et de l'esprit. Il y a des lacunes au niveau de la perception qualitative ou des capacités de connaître par les centres émotionnels par lesquels un individu résonne avec les produits de la perception – être au diapason – dont les mécanismes sont révélés dans la théorie des quantiques.
Il est toutefois étonnant de constater toutes les réalisations de l'être humain en dépit de ces limitations, et les intellectuels méritent tous les hommages qui leur sont dus en raison de leurs efforts à mémoriser, manipuler des symboles, confectionner des modèles, formuler des hypothèses ou des conclusions, et mener des expériences objectives en testant leurs théories, qui malheureusement procèdent toutes du contexte limitatif de la logique 3D basée sur le raisonnement cerveau-gauche, et des illusions que procurent la troisième dimension. Il devient très clair pourquoi les femmes ont été opprimées; elles se servent plus de l'hémisphère droit de leur cerveau que les êtres humains.
Oh combien ils pourraient apprendre des animaux, qui peuvent lire les vibrations; et apprendre des enfants, également. Mais on pense que les animaux sont stupides et, à part les toutous domestiques, ils sont soumis à d'horribles traitements, sans aucun respect pour la présence d'une quelconque conscience, tout particulièrement, et malheureusement n'aboutissent que trop souvent sur le marché de la consommation ou servent de cible à des fins de récréation dans certains sports.
La race humaine n'a pas appris ses leçons de physique karmique dont les principes sont si simples : l'on récolte ce que l'on sème. Lorsqu'un individu crée une dualité par une action négative, il crée une dette – soit que le pôle opposé s'exprimera un jour afin de mieux comprendre les effets de ses propres actions.
La civilisation tente d'apprendre et d'évoluer en se dissociant de ses propres créations fondamentales, niant toute responsabilité envers son environnement et l'univers, développant une égo-structure ou personnalité, qui affirme, en effet... je suis ici dans ce corps et tout le reste est au dehors, et je dois survivre du mieux que je peux. Et dire que la seule et vraie façon de survivre est tout à fait le contraire. Quelle catastrophe ! Ou devrait-on dire, quel défi difficile à relever. En gros, ils utilisent un mode de comportement déphasé, non résonant pour comprendre, au lieu d'une condition résonante. Ils se sont laissés conditionner par une réalité mécanique séquentielle au lieu d'une réalité holographique synchronique. Regardez ce qu'il est advenu de la compétitivité naturelle des terriens – un désir de vaincre à tout prix, de valoriser et justifier l'ego – ce qui est hautement destructif car le processus implique l'anéantissement du point de vue d'un adversaire – une réalité qui alimente la polarisation en suggérant que la survie n'est possible que par la lutte acharnée, alors que précisément le contraire est le vrai sentier de l'évolution de l'âme et de l'esprit. Nous, sur notre planète, ne voudrions même pas vaincre l'un des nôtres. La race humaine sur Terre est complètement passée à côté; ce que l'on pourrait résumer par la dichotomie suivante : hors-phase équivaut à l'absence de chance; en-phase équivaut à la chance. Par extension, en-phase signifie le développement éventuel d'une civilisation synchronique holographique.
L'étudiant complète sa thèse en toute confiance en affirmant que les humains ont été éloignés de leur empreinte bleue naturelle évolutive et de leur raison d'être par des instruments qui ont conditionné leurs esprits aux structures limitatives, basées sur la troisième dimension et sa logique inhérente, qui désormais "formate" la fonction, leur conscience, ou leur essence créatrice et spirituelle. Ils doivent libérer leurs facultés intuitives et spirituelles et sortir de leur moule hypnotique pour ainsi fuir les murs de cette prison auto-imposée en aiguisant plutôt leur capacité de lire les vibrations, dont toute chose se compose, et ainsi, ultimement, accueillir ouvertement toute information universelle.
Toutefois, lorsque l'étudiant retourne à sa planète d'origine, ses aînés, bien qu'enchantés de ses progrès, lui indiquent que son projet est plus complexe qu'il n'apparaît et le retournent vers la Terre. Ils ne seront jamais satisfaits, tant et aussi longtemps que l'étudiant n'aura pas compris que toutes les tergiversations sur la Terre font partie d'un plan plus grandiose.
Brièvement... au niveau de l'âme et de la conscience collective, les humains avaient consenti d'explorer les vibrations inférieures de l'énergie et de la matière sur la planète Terre. Cette planète est en effet une école, mais pas seulement pour ses habitants. Elle aura accepté tous les problèmes irrésolus dans l'univers, exploré toutes les facettes de la négativité et des malaises. La majeure partie de cette négativité existe dans des pochettes à travers l'univers et elle n'aura pas été comprise, mais plutôt évitée, tout simplement, par des races avancées. L'espèce humaine aura diffusé inconsciemment un bilan de toutes ces explorations à d'autres races, leur permettant ainsi de comprendre le concept de la négativité.
Cependant, toute la souffrance résultant de ces explorations n'étaient pas planifiées et l'expérience à outrepassé sa mission. Il est temps de se réveiller. C'est ce qui se passe en ce moment.
L'étudiant se permet une dernière observation avant de retourner à sa planète d'origine : la solution au dilemme terrestre réside dans l'éveil des humains, de l'individu et de la conscience collective envers les évènements en cours sur Terre, recanaliser le pouvoir de leur état collectif et mettre fin à l'expérience par la résolution urgente de tous ses problèmes.