L'amour est la meilleure de nos protections. Nous n'avons rien à craindre car c'est la Vie
qui nous propose telle ou telle action.
Sur Terre, la notion d'amour a été très galvaudée et sous le mot amour, se retrouvent : la possession, les émotions, les obligations, ou la naïveté sous prétexte de ne pas juger. Lorsque le peuple de la Terre cessera de se raconter des histoires et de disserter sur des notions illusoires, alors il saura que simplicité, joie et amour sont frères et soeurs.
Le vocabulaire que nous employons est essentiel, car chaque lettre est un être vivant qui transporte un concept créateur. Nos mots sont notre Vie, mais disserter des heures sur des concepts entourés de mots, voilà notre tour de Babel, notre difficulté de communication. Pour communiquer, il faut avant tout communier, et pour communier, il faut avant tout aimer et s'aimer aussi soi-même.
La société actuelle de la Terre donne beaucoup de bases techniques, mais tellement peu en ce qui concerne la Vie ! Un adulte n'a jamais appris à aimer, à sourire, à attendre. Il n'apprend ni à élever ses émotions au niveau du coeur pour aller au-delà, ni à résoudre ses problèmes existentiels.
La solidarité, l'entraide, ne font pas partie des enseignements de la Terre. Elles sont remplacées par la combativité, la rapidité, la compétitivité, l'assouvissement des désirs. Est-ce là les bases solides d'un monde en mutation ? Quant à moi, je préfère le coeur aimant d'une mère que tout le savoir ou la soi-disant bonne éducation d'une société révolue.
Je sais que pour faire passer certains concepts, j'aurai à accepter le rejet des gens compétents de l'époque. Tout cela, je l'ai vu avant de m'incarner comme de grandes probabilités; mais je sais aussi que ma vie, quels que soient les évènements, sera telle que je la ferai : triste ou joyeuse, ordinaire ou extraordinaire, elle suivra simplement l'itinéraire que la force de mon âme saura imprimer en elle.
L'Essentiel pour moi comme pour n'importe quel être vivant sur n'importe quel monde, c'est de savoir qu'il y aura toujours assez d'amour dans l'univers pour nous y abreuver. L'Être humain ne donne que ce qu'il peut donner : pourquoi attendre tout de lui et se sentir perpétuellement en manque d'amour quand il n'a pas su ni pu nous satisfaire ? L'amour n'est pas dans le coeur de l'un ou de l'autre, il est partout, dans la moindre parcelle de vie, dans la moindre cellule de notre corps. Si nous apportons de l'amour, nous saurons l'offrir autour de nous. Si nous savons que personne d'autre que nous-mêmes n'a pour fonction de combler nos manques, nos attentes ou nos incapacités, nous ne pourrons en vouloir à quiconque.
Soyons simplement assurés que jamais rien n'est inutile, ces éléments qui nous divisent, nous poussent les uns contre les autres, nous paraîtront tellement anodins lorsque nous ne leur accorderons plus d'importance. Ils n'ont que le mérite de nous faire réfléchir à ce que nous voulons vraiment : voulons-nous avoir raison pour le simple fait d'avoir raison ou permettons-nous à la vie de nous montrer plusieurs facettes qui contiennent toutes une parcelle de vérité ? Quel est notre but : nous battre constamment contre l'autre et donc contre nous-même, ou accueillir les imaginaires oppositions pour, derrière elles, rejoindre l'UN ?
Cela ne signifie nullement être en accord avec tout et avec tout le monde. Ce n'est pas une démarche intellectuelle mais un bouleversement plus profond, jusqu'au coeur de chacune de nos cellules. Les mots ne traduiront jamais ce qui peut survenir alors. L'ennemi lui-même n'est plus ennemi, l'obstacle n'en est plus un et la séparation devient elle-même une partie de l'Unité. Il suffirait pour cela d'un peu plus de confiance dans nos vies, d'un peu plus d'amour dans nos regards pour que cette transformation s'opère.
Sans cela, notre monde traversera douloureusement ce passage, mais rien ni personne ne l'en empêchera. L'Autre ne sera jamais un ennemi, même si nos peurs, dictées par le mental, nous le font croire jusque dans le plus petit de nos actes. Inconsciemment, nous luttons toujours contre un ennemi ou un obstacle potentiel, et lorsque nous semblons lâcher, c'est une défaite ou une lassitude qui en est la cause. Notre vie est une suite de luttes contre nous-mêmes en priorité, et nos cellules ne peuvent s'autonomiser dans cette course incessante. Ceux qui ont cessé la lutte l'ont bien souvent fait par peur du monde et par manque de confiance et donc d'amour envers eux-mêmes.
Il n'est plus temps de disserter sur la Vie. Vivons-la dans toute sa plénitude : que chaque acte soit un jaillissement de joie ! La chrysalide que nous avons tissée autour de nous en guise de protection n'a plus lieu d'être. Cela ne veux pas dire par là que nous devons devenir des naïfs prêts à nous exposer à tout et à tous, mais sachons simplement que nos protections sont illusoires et mentales. Nous pourrons nous tisser tous les cocons protecteurs possibles, élever toutes les barrières intérieures et extérieures, rien de tout cela ne nous protégera. Nous devons maintenant passer une initiation majeure, et pour cela nous tenir debout et faire face à nos propres obstacles.
Nous ne réussissons pas dans tel ou tel acte, nous détestons telle ou telle personne, mais pourquoi ? Quelle est la peur, la colère contre nous-mêmes qui se cache derrière chaque acte qui n'est pas amour ? Toutes ces forces de séparations, en nous et hors de nous travaillent pour la lumière. C'est par elles que se posent les interrogations, grâce à elles que naît le discernement après la confusion.
Il est sain cependant de ne pas les ignorer et de savoir que, si la plupart de nos gouvernements mettent en place des unités semblant favorables aux phénomènes extraterrestres, il n'en est rien. Ces unités sont créées pour engendrer le doute, en laissant filtrer des informations réelles, puis en les contredisant, et en créant de fausses nouvelles pour mieux discréditer les vraies.
L'intérêt de tout cela, c'est que la confusion, la peur, la méfiance, créent une onde de faiblesse à la surface de notre globe et le rend ainsi plus fragile et manipulable. Ce plan vient de plus loin que nous ne le pensons et se sert des égos des êtres humains de la Terre pour agir ainsi.
Nous confectionnons avec soin nos propres prisons et ensuite nous voulons nous en échapper... Cela n'est-il pas incohérent ? Cela n'est-il pas enfantin vu d'un autre niveau ? Notre jardin d'enfants est pourtant simplement terrifiant. Mais la peur ne doit pas naître de cela. C'est notre joie véritable, notre unité intérieure qui peut affaiblir les plans les mieux conçus pour nous emprisonner. Je ne veux plus rien, sinon ce que la vie me propose. Je suis pour une fois, sans aucun désir. J'attends, et au fond de mon attente je suis saisi, rempli, absorbé, par une vague immense de compassion. J'ai la sensation d'être au coeur de chacune de ces émotions, je ne les accepte plus seulement, je les accueille, je les aime, non avec pitié mais avec compassion. Je les vois sans jugement, simplement comme elles se présentent à moi, mais aussi avec tous leurs devenirs possibles. Je ne cherche pas leur transformation, leur changement, elles sont ce qu'elles sont à cet instant précis et c'est bien ainsi.
Autour de moi, l'univers gluant a disparu, les pensées qui tournoient sont légères et lumineuses comme les plus beaux papillons de notre Terre. J'ai traversé et je suis libre, libre d'une partie de moi qui ne me fait plus peur...
Dans le tunnel de lumière qui m'absorbe, j'ai la sensation d'un retour à la maison. Un moment privilégié où l'on est profondément heureux parce que l'on se sait attendu, parce que quelque part une petite voix nous dit que l'on va encore pouvoir laisser quelques bagages trop encombrants dont nous n'avions pas idée.
Sur Terre, la notion d'amour a été très galvaudée et sous le mot amour, se retrouvent : la possession, les émotions, les obligations, ou la naïveté sous prétexte de ne pas juger. Lorsque le peuple de la Terre cessera de se raconter des histoires et de disserter sur des notions illusoires, alors il saura que simplicité, joie et amour sont frères et soeurs.
Le vocabulaire que nous employons est essentiel, car chaque lettre est un être vivant qui transporte un concept créateur. Nos mots sont notre Vie, mais disserter des heures sur des concepts entourés de mots, voilà notre tour de Babel, notre difficulté de communication. Pour communiquer, il faut avant tout communier, et pour communier, il faut avant tout aimer et s'aimer aussi soi-même.
La société actuelle de la Terre donne beaucoup de bases techniques, mais tellement peu en ce qui concerne la Vie ! Un adulte n'a jamais appris à aimer, à sourire, à attendre. Il n'apprend ni à élever ses émotions au niveau du coeur pour aller au-delà, ni à résoudre ses problèmes existentiels.
La solidarité, l'entraide, ne font pas partie des enseignements de la Terre. Elles sont remplacées par la combativité, la rapidité, la compétitivité, l'assouvissement des désirs. Est-ce là les bases solides d'un monde en mutation ? Quant à moi, je préfère le coeur aimant d'une mère que tout le savoir ou la soi-disant bonne éducation d'une société révolue.
Je sais que pour faire passer certains concepts, j'aurai à accepter le rejet des gens compétents de l'époque. Tout cela, je l'ai vu avant de m'incarner comme de grandes probabilités; mais je sais aussi que ma vie, quels que soient les évènements, sera telle que je la ferai : triste ou joyeuse, ordinaire ou extraordinaire, elle suivra simplement l'itinéraire que la force de mon âme saura imprimer en elle.
L'Essentiel pour moi comme pour n'importe quel être vivant sur n'importe quel monde, c'est de savoir qu'il y aura toujours assez d'amour dans l'univers pour nous y abreuver. L'Être humain ne donne que ce qu'il peut donner : pourquoi attendre tout de lui et se sentir perpétuellement en manque d'amour quand il n'a pas su ni pu nous satisfaire ? L'amour n'est pas dans le coeur de l'un ou de l'autre, il est partout, dans la moindre parcelle de vie, dans la moindre cellule de notre corps. Si nous apportons de l'amour, nous saurons l'offrir autour de nous. Si nous savons que personne d'autre que nous-mêmes n'a pour fonction de combler nos manques, nos attentes ou nos incapacités, nous ne pourrons en vouloir à quiconque.
Soyons simplement assurés que jamais rien n'est inutile, ces éléments qui nous divisent, nous poussent les uns contre les autres, nous paraîtront tellement anodins lorsque nous ne leur accorderons plus d'importance. Ils n'ont que le mérite de nous faire réfléchir à ce que nous voulons vraiment : voulons-nous avoir raison pour le simple fait d'avoir raison ou permettons-nous à la vie de nous montrer plusieurs facettes qui contiennent toutes une parcelle de vérité ? Quel est notre but : nous battre constamment contre l'autre et donc contre nous-même, ou accueillir les imaginaires oppositions pour, derrière elles, rejoindre l'UN ?
Cela ne signifie nullement être en accord avec tout et avec tout le monde. Ce n'est pas une démarche intellectuelle mais un bouleversement plus profond, jusqu'au coeur de chacune de nos cellules. Les mots ne traduiront jamais ce qui peut survenir alors. L'ennemi lui-même n'est plus ennemi, l'obstacle n'en est plus un et la séparation devient elle-même une partie de l'Unité. Il suffirait pour cela d'un peu plus de confiance dans nos vies, d'un peu plus d'amour dans nos regards pour que cette transformation s'opère.
Sans cela, notre monde traversera douloureusement ce passage, mais rien ni personne ne l'en empêchera. L'Autre ne sera jamais un ennemi, même si nos peurs, dictées par le mental, nous le font croire jusque dans le plus petit de nos actes. Inconsciemment, nous luttons toujours contre un ennemi ou un obstacle potentiel, et lorsque nous semblons lâcher, c'est une défaite ou une lassitude qui en est la cause. Notre vie est une suite de luttes contre nous-mêmes en priorité, et nos cellules ne peuvent s'autonomiser dans cette course incessante. Ceux qui ont cessé la lutte l'ont bien souvent fait par peur du monde et par manque de confiance et donc d'amour envers eux-mêmes.
Il n'est plus temps de disserter sur la Vie. Vivons-la dans toute sa plénitude : que chaque acte soit un jaillissement de joie ! La chrysalide que nous avons tissée autour de nous en guise de protection n'a plus lieu d'être. Cela ne veux pas dire par là que nous devons devenir des naïfs prêts à nous exposer à tout et à tous, mais sachons simplement que nos protections sont illusoires et mentales. Nous pourrons nous tisser tous les cocons protecteurs possibles, élever toutes les barrières intérieures et extérieures, rien de tout cela ne nous protégera. Nous devons maintenant passer une initiation majeure, et pour cela nous tenir debout et faire face à nos propres obstacles.
Nous ne réussissons pas dans tel ou tel acte, nous détestons telle ou telle personne, mais pourquoi ? Quelle est la peur, la colère contre nous-mêmes qui se cache derrière chaque acte qui n'est pas amour ? Toutes ces forces de séparations, en nous et hors de nous travaillent pour la lumière. C'est par elles que se posent les interrogations, grâce à elles que naît le discernement après la confusion.
Il est sain cependant de ne pas les ignorer et de savoir que, si la plupart de nos gouvernements mettent en place des unités semblant favorables aux phénomènes extraterrestres, il n'en est rien. Ces unités sont créées pour engendrer le doute, en laissant filtrer des informations réelles, puis en les contredisant, et en créant de fausses nouvelles pour mieux discréditer les vraies.
L'intérêt de tout cela, c'est que la confusion, la peur, la méfiance, créent une onde de faiblesse à la surface de notre globe et le rend ainsi plus fragile et manipulable. Ce plan vient de plus loin que nous ne le pensons et se sert des égos des êtres humains de la Terre pour agir ainsi.
Nous confectionnons avec soin nos propres prisons et ensuite nous voulons nous en échapper... Cela n'est-il pas incohérent ? Cela n'est-il pas enfantin vu d'un autre niveau ? Notre jardin d'enfants est pourtant simplement terrifiant. Mais la peur ne doit pas naître de cela. C'est notre joie véritable, notre unité intérieure qui peut affaiblir les plans les mieux conçus pour nous emprisonner. Je ne veux plus rien, sinon ce que la vie me propose. Je suis pour une fois, sans aucun désir. J'attends, et au fond de mon attente je suis saisi, rempli, absorbé, par une vague immense de compassion. J'ai la sensation d'être au coeur de chacune de ces émotions, je ne les accepte plus seulement, je les accueille, je les aime, non avec pitié mais avec compassion. Je les vois sans jugement, simplement comme elles se présentent à moi, mais aussi avec tous leurs devenirs possibles. Je ne cherche pas leur transformation, leur changement, elles sont ce qu'elles sont à cet instant précis et c'est bien ainsi.
Autour de moi, l'univers gluant a disparu, les pensées qui tournoient sont légères et lumineuses comme les plus beaux papillons de notre Terre. J'ai traversé et je suis libre, libre d'une partie de moi qui ne me fait plus peur...
Dans le tunnel de lumière qui m'absorbe, j'ai la sensation d'un retour à la maison. Un moment privilégié où l'on est profondément heureux parce que l'on se sait attendu, parce que quelque part une petite voix nous dit que l'on va encore pouvoir laisser quelques bagages trop encombrants dont nous n'avions pas idée.