Nous y voilà. Après des siècles d'observation du phénomène ovni, et soixante ans de « black out » sur la réalité extraterrestre, il semble qu'on ait atteint la masse critique de témoignages, d'archives, de films et de photos civils ou militaires : la question n'est plus de savoir si le phénomène existe, si nous sommes seuls dans l'univers, si ces engins aux prouesses technologiques incroyables sont pilotés par une intelligence, si les personnes qui prétendent avoir été enlevées sont démentes, etc. N'en déplaise aux médias paralysés par la peur du ridicule et le cartésianisme bon ton : l'heure est à la révélation et à l'avènement d'une réalité qui constitue un choc ontologique sans précédent pour l'humanité. D'autres races que la nôtre sont en contact avec nous, certaines depuis des millénaires, d'autres depuis des décennies; certaines bien intentionnées, d'autres non...
Qu'en savons-nous ? Ce qu'en racontent les témoins privilégiés, ces militaires, américains pour la plupart, qui décident depuis quelques années de lever le voile sur ce qu'ils ont vu durant leur carrière, brisant ainsi le sacro-saint "Secret Défense". On peut d'emblée s'étonner que l'armée et les services de renseignements laissent parler ces témoins : la divulgation ovni serait donc moins dangereuse que la recherche en énergie libre – jalonnée de mystérieux assassinats – voire avantageuse... Mais pour qui ?
À qui profite la levée du "cover up" ? Aux gouvernements embarrassés qui commencent à laisser passer l'information en douceur pour éviter une panique généralisée ? Au gouvernement de l'ombre qui escompte générer dans l'opinion une aliénophobie qui laisse le champ libre à la militarisation de l'espace ? Quant aux aliénigènes eux-mêmes, difficile de présumer de leur intérêt dans cette opération : quatre races au moins seraient en interaction avec la nôtre, quatre espèces aux caractéristiques physiques, psychiques, énergétiques et génétiques radicalement différentes, et aux motivations tout aussi variées.
Ainsi le défi est de taille, il va falloir grandir, distinguer le vrai du faux, résister à la peur de l'Autre comme à la tentation messianique. Nous ne pourrons plus longtemps nous prendre pour les rois de l'univers en laissant une poignée de fous précipiter l'humanité et sa planète à leur perte, nous n'en n'avons plus le temps. Et c'est peut-être là la clé de ce grand déballage : l'échéance 2012 qui revient comme une date fatidique, sans appel. 2012, c'est-à-dire demain.
Nous sommes ici dans une tout autre démarche que celle de l'ufologie classique qui consiste à chercher les preuves matérielles de l'existence des ovnis et des extraterrestres et à mettre au point des outils pour les analyser. Suffisamment d'organismes officiels ont établi sans nul doute la réalité et le caractère furtif, inexplicable et intelligent du phénomène. Avec les témoins privilégiés, nous dépassons cette seule interrogation de la manifestation tangible et matérielle d'une technologie défiant nos connaissances. Nous abordons ici des questions beaucoup plus larges qui touchent aux origines et à l'avenir de l'humanité. Nous entrons de plain-pied dans un changement qui laisse entrevoir une forme de guerre psychologique larvée par l'entremise des médias qui crédibilisent ou discréditent tour à tour le phénomène.
Un besoin impérieux et citoyen d'informer leurs semblables constitue la motivation affichée de ces "révélations", malgré le risque de discrédit et de ridicule pesant sur leurs auteurs. Dans la réalité dépeinte par ces informateurs, les extraterrestres, les ovnis et la technologie "alien" récupérée par des firmes privées et transnationales représentent un enjeu, voire une menace, mille fois plus important pour notre devenir que le terrorisme, la guerre, la crise pétrolière, voire le réchauffement planétaire et les atteintes à la biodiversité, etc. Car d'après leurs conclusions, les réponses à ces enjeux majeurs comme la crise de l'énergie seraient en fin de compte directement liés à notre attitude à l'égard du sujet de l'intelligence "extraterrestre", c'est-à-dire à notre prise de conscience de son existence et de la dissimulation qui l'entoure.
C'est une évidence : ces témoins, qu'ils soient de bonne volonté ou malhonnêtes, proviennent de milieux socioprofessionnels où la désinformation est un outil de pouvoir pour les domaines militaires, du renseignement ou de l'industrie de pointe. Il faut se méfier de leurs informations dans la mesure où ils ont pu faire eux-mêmes l'objet d'une manipulation. Il ne faut donc pas prendre tout ce qui est dit au pied de la lettre. D'autant plus que l'information est très compartimentée dans le domaine militaire ou industriel; aucun de ces témoins ne possèdent une vision d'ensemble, de l'aveu même des personnes qui sont interrogées. Ils affirment tous être de bonne foi et ne révéler que ce qu'on leur a laissé voir. Ils ont donc pu être le jouet, eux aussi, d'une mise en scène ou d'une manipulation.
Les extraterrestres ne sont aucunement nos futurs sauveurs. Et par essence et en toute logique, toute espèce qui se présenterait pour soi-disant nous sauver devrait être considérée avec la plus grande circonspection. Qu'elle émane de l'un ou l'autre camp, l'interprétation de l'intention des extraterrestres à notre égard relève d'un anthropocentrisme bien naturel qui voudrait qu'il n'existe qu'une « aliénité », comme il n'existe qu'une humanité. Là encore, il va falloir revoir nos fondamentaux...
Qu'en savons-nous ? Ce qu'en racontent les témoins privilégiés, ces militaires, américains pour la plupart, qui décident depuis quelques années de lever le voile sur ce qu'ils ont vu durant leur carrière, brisant ainsi le sacro-saint "Secret Défense". On peut d'emblée s'étonner que l'armée et les services de renseignements laissent parler ces témoins : la divulgation ovni serait donc moins dangereuse que la recherche en énergie libre – jalonnée de mystérieux assassinats – voire avantageuse... Mais pour qui ?
À qui profite la levée du "cover up" ? Aux gouvernements embarrassés qui commencent à laisser passer l'information en douceur pour éviter une panique généralisée ? Au gouvernement de l'ombre qui escompte générer dans l'opinion une aliénophobie qui laisse le champ libre à la militarisation de l'espace ? Quant aux aliénigènes eux-mêmes, difficile de présumer de leur intérêt dans cette opération : quatre races au moins seraient en interaction avec la nôtre, quatre espèces aux caractéristiques physiques, psychiques, énergétiques et génétiques radicalement différentes, et aux motivations tout aussi variées.
Ainsi le défi est de taille, il va falloir grandir, distinguer le vrai du faux, résister à la peur de l'Autre comme à la tentation messianique. Nous ne pourrons plus longtemps nous prendre pour les rois de l'univers en laissant une poignée de fous précipiter l'humanité et sa planète à leur perte, nous n'en n'avons plus le temps. Et c'est peut-être là la clé de ce grand déballage : l'échéance 2012 qui revient comme une date fatidique, sans appel. 2012, c'est-à-dire demain.
Nous sommes ici dans une tout autre démarche que celle de l'ufologie classique qui consiste à chercher les preuves matérielles de l'existence des ovnis et des extraterrestres et à mettre au point des outils pour les analyser. Suffisamment d'organismes officiels ont établi sans nul doute la réalité et le caractère furtif, inexplicable et intelligent du phénomène. Avec les témoins privilégiés, nous dépassons cette seule interrogation de la manifestation tangible et matérielle d'une technologie défiant nos connaissances. Nous abordons ici des questions beaucoup plus larges qui touchent aux origines et à l'avenir de l'humanité. Nous entrons de plain-pied dans un changement qui laisse entrevoir une forme de guerre psychologique larvée par l'entremise des médias qui crédibilisent ou discréditent tour à tour le phénomène.
Un besoin impérieux et citoyen d'informer leurs semblables constitue la motivation affichée de ces "révélations", malgré le risque de discrédit et de ridicule pesant sur leurs auteurs. Dans la réalité dépeinte par ces informateurs, les extraterrestres, les ovnis et la technologie "alien" récupérée par des firmes privées et transnationales représentent un enjeu, voire une menace, mille fois plus important pour notre devenir que le terrorisme, la guerre, la crise pétrolière, voire le réchauffement planétaire et les atteintes à la biodiversité, etc. Car d'après leurs conclusions, les réponses à ces enjeux majeurs comme la crise de l'énergie seraient en fin de compte directement liés à notre attitude à l'égard du sujet de l'intelligence "extraterrestre", c'est-à-dire à notre prise de conscience de son existence et de la dissimulation qui l'entoure.
L'urgence de 2012
En tout état de cause, l'examen des affirmations de ces témoins militaires privilégiés établit que l'on nous conditionne soigneusement à éprouver de la peur tout en nous familiarisant avec le sujet. L'ufologie a entamé avec cette campagne d'information ou de désinformation une grande mutation en devenant un enjeu exopolitique (étude des acteurs-clés, des institutions et des processus qui concernent la vie extraterrestre). Il y a donc du changement dans l'air. Cette évolution est significative d'une urgence : la majorité de ces témoins se font souvent les vecteurs d'un message d'alerte qui presse l'humanité à changer avant que les évènements ne l'y poussent et qui recoupe souvent dans les milieux New Age le rappel prophétique de la date fatidique à laquelle cesse le fameux calendrier maya : 28 octobre 2011.liberté d'expression suspecte
De deux choses l'une : soit ces témoins privilégiés sont dans leur grande majorité des désinformateurs conscients dont les révélations arrangent le pouvoir qu'ils dénoncent, soit ils sont eux-mêmes manipulés. En tout état de cause, le fait qu'ils soient laissés libres de s'exprimer, malgré leur serment de confidentialité, signifie qu'une organisation très puissante est en train de lancer une importante campagne de manipulation de l'opinion publique en vue de créer un rideau de fumée. Cette campagne de dissimulation semble destinée à camoufler une réalité encore plus difficile à concevoir que la vraie-fausse information employée comme paravent. Afin d'éviter de tomber dans un panneau, digne successeur des manipulations qui décidèrent de la majorité des conflits armés de ce dernier siècle, ou des actuelles guerres, le phénomène mérite qu'on s'y intéresse.Témoins métamorphosés
Drôle de terme anglais que ce mot "whistleblowers". Derrière cette expression, il y a une double notion, celle de faire du bruit (whistle signifie littéralement siffler), de briser la tranquillité d'une situation mais aussi de dénoncer et de révéler quelque chose de sordide. Dans le dictionnaire anglais Collins, ce terme désigne quelqu'un qui travaille dans une institution ou dans un groupe et qui désire dénoncer une situation allant à l'encontre de son éthique. Cette appellation retenue par les ufologues américains désigne littéralement "les dénonciateurs", ceux qui vendent la mèche, qui révèlent le pot aux roses, qui en savent trop et qui, bien souvent, en disent trop et pas assez. Nous pourrions tout simplement les appeler "témoins de l'ombre", mais dans le cas présent, nous préférons l'expression "témoins privilégiés" plus proche de la situation, puisqu'il s'agit de personnes ayant été employées comme civil ou militaire dans le cadre d'un programme "Top Secret" et qui ont le plus souvent signé un accord de confidentialité pour une période donnée, parfois pour toute leur existence. Ils ont été confrontés au "fait extraterrestre" de multiples façons, dont la consultation d'un dossier "Top Secret". Ou bien, ils se sont retrouvés face à un extraterrestre, un vaisseau spatial et cette expérience les a transformés à tel point qu'ils ne peuvent conserver le silence. De fait, l'exposition au "fait extraterrestre" agirait comme un "choc ontologique", opérant chez l'individu une métamorphose au niveau le plus intime. Le mobile qui les pousse à parler est souvent le même : l'humanité traverse une crise d'une gravité sans précédent et la révélation au grand public du fait extraterrestre et des technologies qui y sont apparentées pourrait changer la donne. Pour ces témoins, il est urgent de briser le carcan des croyances et des dogmes, que ces derniers soient religieux ou scientifiques dans lesquels l'être humain est volontairement enfermé par une minorité au pouvoir. Enfin, certains ont une arrière-pensée pacifique à l'égard des extraterrestres et entrevoient que le gouvernement occulte puisse un jour brandir ouvertement une fausse "menace extraterrestre" pour lancer un vaste programme de militarisation de l'espace.Opinion préparée et modelée
Une autre constatation incontournable émerge de ce phénomène : le sujet extraterrestre fait de plus en plus souvent partie intégrante de la culture "moyenne" de ceux qui s'intéressent au conspirationisme. Que l'on soit pro-ET ou anti-ET, on ne se pose d'ailleurs plus vraiment la question de la plausibilité de leur existence. Par contre, les débats font rage entre ceux qui affirment que les extraterrestres seront les sauveurs d'une humanité en perdition et ceux qui voient dans les enlèvements et l'alliance entre les Gris et des unités militaires occultes la preuve que les aliens sont la menace numéro Un à laquelle nous devons faire face. Quant à l'opinion publique au sens large, si elle accueille avec un scepticisme de bon ton les sujets relatifs au conspirationisme et au phénomène extraterrestre, son sens commun a déjà été soigneusement préparé et modelé par les innombrables séries et films – de Taken à X-Files en passant par Independance Day, Men in Black ou Alien – pour ne pas se sentir trop dépaysé ou déconcerté si un jour, les média en venaient à faire "la Une" avec la menace extraterrestre. Et derrière tout cela, se profile l'instrumentalisation de la peur. Car les scénarii qui nous sont proposés sont tous aussi terrifiants les uns que les autres.Un déluge de témoins privilégiés
Il ne se passe pas un mois sans qu'un de ces témoins ne débarque avec un nouveau dossier, une information détonante ou même qu'un nouveau groupe n'émerge du chaos apparent de l'ufologie. Obligatoirement, tous les sujets, tous les enjeux se mêlent puisqu'il est tour à tour question d'énergie libre, de guerres entre militaires et extraterrestres, de militarisation de l'espace, d'origine extraterrestre de l'être humain, de religions, de complots néofascistes visant à asseoir une dictature militaro-religieuse sur la planète, une nouvelle théocratie. Il est aussi de plus en plus question de la venue d'un énorme changement, peut-être même d'une catastrophe planétaire, un scénario qui est imbriqué dans un autre, celui de l'existence de plusieurs lignes temporelles ou destinées pour notre planète.C'est une évidence : ces témoins, qu'ils soient de bonne volonté ou malhonnêtes, proviennent de milieux socioprofessionnels où la désinformation est un outil de pouvoir pour les domaines militaires, du renseignement ou de l'industrie de pointe. Il faut se méfier de leurs informations dans la mesure où ils ont pu faire eux-mêmes l'objet d'une manipulation. Il ne faut donc pas prendre tout ce qui est dit au pied de la lettre. D'autant plus que l'information est très compartimentée dans le domaine militaire ou industriel; aucun de ces témoins ne possèdent une vision d'ensemble, de l'aveu même des personnes qui sont interrogées. Ils affirment tous être de bonne foi et ne révéler que ce qu'on leur a laissé voir. Ils ont donc pu être le jouet, eux aussi, d'une mise en scène ou d'une manipulation.
Les extraterrestres ne sont aucunement nos futurs sauveurs. Et par essence et en toute logique, toute espèce qui se présenterait pour soi-disant nous sauver devrait être considérée avec la plus grande circonspection. Qu'elle émane de l'un ou l'autre camp, l'interprétation de l'intention des extraterrestres à notre égard relève d'un anthropocentrisme bien naturel qui voudrait qu'il n'existe qu'une « aliénité », comme il n'existe qu'une humanité. Là encore, il va falloir revoir nos fondamentaux...