Le Père qui est aux cieux envoie son esprit habiter le mental des êtres humains. De même, quand Jésus Christ Michael a achevé son oeuvre terrestre, l'Esprit de Vérité a été répandu sur toute chair. L'esprit de notre Père et l'Esprit de Vérité nous établissent dans le royaume de compréhension spirituelle et de droiture divine.
Le Royaume de Jésus Christ Michael n'est pas de ce monde. Le Fils de l'Homme ne conduit pas des armées à la bataille pour établir un trône de pouvoir ou un royaume de gloire temporelle. À l'avènement de son royaume, nous connaîtrons le Fils de l'Homme comme Prince de la paix, comme révélation du Père éternel.
Les enfants de ce monde luttent pour établir et agrandir les royaumes de ce monde, mais les disciples de Jésus Christ Michael entrent dans la fraternité spirituelle grâce à leurs décisions morales et à leurs victoires en esprit; et, quand ils y pénétrent, ils y trouvent la joie, la droiture et la vie éternelle.
Quiconque cherche d'abord à entrer dans le royaume, et s'efforce ainsi d'acquérir une noblesse de caractère semblable à celle de notre Père, possèdera bientôt tout ce qui est nécessaire. Mais à moins de chercher à entrer dans le royaume avec la foi et la confiance d'un petit enfant, nous n'y serons admis d'aucune façon.
Ne nous laissons pas tromper par ceux qui viennent nous dire : le royaume est ici ou le royaume est là, car le royaume de notre Père ne concerne pas les choses visibles et matérielles. Ce royaume est déjà maintenant parmi nous, car là où l'esprit de Dieu enseigne, là où il guide l'âme de l'être humain, là est en réalité la fraternité spirituelle. Et ce royaume de Dieu est droiture, paix et joie dans le Saint-Esprit.
Quand nous entrons dans le royaume céleste, nous recevons le baptême du Saint-Esprit.
Dans le royaume de notre Père, il n'y a ni croyants ni incroyants, mais seulement ceux qui cherchent la perfection en servant, car quiconque veut être grand dans le royaume de notre Père doit d'abord devenir le serviteur de tous. Si nous acceptons de servir nos semblables, nous siègerons avec Maitre Michael dans son royaume, de même qu'il siège auprès de son Père dans son royaume pour avoir servi dans la similitude de la créature.
Ce nouveau royaume ressemble à une graine qui pousse dans la bonne terre d'un champ. Il n'atteint pas rapidement sa pleine maturité. Il y a un intervalle de temps entre l'établissement du royaume dans l'âme d'un être humain et l'heure où le royaume murit dans sa plénitude pour devenir le fruit épanoui de droiture perpétuelle et de salut éternel.
Et ce royaume n'est pas un règne de puissance et d'abondance. La fraternité spirituelle ne consiste ni en aliments ni en boissons, mais plutôt en une vie de droiture progressive et de joie croissante dans l'accomplissement grandissant du service de notre Père qui est aux cieux. Car le Père n'a-t-il pas dit de ses enfants du monde : « Ma volonté est qu'ils finissent par devenir parfaits, comme moi-même je suis parfait. »
Nous qui sommes ses disciples sommes venus annoncer la bonne nouvelle de l'avènement du royaume. Nous ne sommes pas venus accroitre les lourds fardeaux de ceux qui voudraient entrer dans ce royaume. Nous proclamons le chemin nouveau et meilleur, et ceux qui sont capables d'entrer dans le royaume jouissent du repos divin. Quoi qu'il nous en coute en biens matériels, quel que soit le prix que nous avons à payer pour entrer dans la fraternité spirituelle, nous recevons en ce monde beaucoup plus que l'équivalent en joie, en avancement spirituel et la vie éternelle dans l'âge à venir.
L'entrée dans le royaume du Père ne dépend ni d'armées en marche, ni du renversement de royaumes de ce monde, ni du fait de briser le joug de captifs. Le royaume du ciel est à portée de la main; tous ceux qui y entrent y trouvent une abondante liberté et un joyeux salut.
Ce royaume est une domination perpétuelle. Ceux qui entrent dans le royaume monteront jusqu'à notre Père; ils atteindront certainement sa droite en gloire au Paradis. Toux ceux qui entrent dans la fraternité spirituelle deviennent fils et filles de Dieu et, dans les temps à venir aussi, ils s'élèveront jusqu'au Père. Nous ne sommes pas venus appeler les prétendus justes, mais les pécheurs et tous ceux qui ont faim et soif de la droiture de la perfection divine.
Nous proclamons que la foi, le don de Dieu, est le prix à payer pour entrer dans la fraternité spirituelle. Il nous suffit de croire que notre Père nous aime d'un amour infini, et dès lors nous nous trouvons dans le royaume de Dieu.
il faut savoir quitter des choses :
Quitter ses rêves, quitter ses roses
qui embaumaient tous nos printemps.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir pleurer des choses :
Pleurer les pertes que la vie cause,
pleurer et rire en même temps.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir briser des choses :
Ces carapaces que l'on pose
pour protéger nos sentiments.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut surtout être soi-même :
Tel que l'on vit, tel que l'on sent,
dessous nos masques de ciment.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut mourir tout doucement :
Mourir à soi, mourir au temps
qui passe et passe, en s'en allant.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut étreindre sa faiblesse
et l'embrasser bien tendrement
et pardonnant nos manquements,
ouvrir ses bras et sa tendresse
à ce qu'on est tout simplement.
Le Royaume de Jésus Christ Michael n'est pas de ce monde. Le Fils de l'Homme ne conduit pas des armées à la bataille pour établir un trône de pouvoir ou un royaume de gloire temporelle. À l'avènement de son royaume, nous connaîtrons le Fils de l'Homme comme Prince de la paix, comme révélation du Père éternel.
Les enfants de ce monde luttent pour établir et agrandir les royaumes de ce monde, mais les disciples de Jésus Christ Michael entrent dans la fraternité spirituelle grâce à leurs décisions morales et à leurs victoires en esprit; et, quand ils y pénétrent, ils y trouvent la joie, la droiture et la vie éternelle.
Quiconque cherche d'abord à entrer dans le royaume, et s'efforce ainsi d'acquérir une noblesse de caractère semblable à celle de notre Père, possèdera bientôt tout ce qui est nécessaire. Mais à moins de chercher à entrer dans le royaume avec la foi et la confiance d'un petit enfant, nous n'y serons admis d'aucune façon.
Ne nous laissons pas tromper par ceux qui viennent nous dire : le royaume est ici ou le royaume est là, car le royaume de notre Père ne concerne pas les choses visibles et matérielles. Ce royaume est déjà maintenant parmi nous, car là où l'esprit de Dieu enseigne, là où il guide l'âme de l'être humain, là est en réalité la fraternité spirituelle. Et ce royaume de Dieu est droiture, paix et joie dans le Saint-Esprit.
Quand nous entrons dans le royaume céleste, nous recevons le baptême du Saint-Esprit.
Dans le royaume de notre Père, il n'y a ni croyants ni incroyants, mais seulement ceux qui cherchent la perfection en servant, car quiconque veut être grand dans le royaume de notre Père doit d'abord devenir le serviteur de tous. Si nous acceptons de servir nos semblables, nous siègerons avec Maitre Michael dans son royaume, de même qu'il siège auprès de son Père dans son royaume pour avoir servi dans la similitude de la créature.
Ce nouveau royaume ressemble à une graine qui pousse dans la bonne terre d'un champ. Il n'atteint pas rapidement sa pleine maturité. Il y a un intervalle de temps entre l'établissement du royaume dans l'âme d'un être humain et l'heure où le royaume murit dans sa plénitude pour devenir le fruit épanoui de droiture perpétuelle et de salut éternel.
Et ce royaume n'est pas un règne de puissance et d'abondance. La fraternité spirituelle ne consiste ni en aliments ni en boissons, mais plutôt en une vie de droiture progressive et de joie croissante dans l'accomplissement grandissant du service de notre Père qui est aux cieux. Car le Père n'a-t-il pas dit de ses enfants du monde : « Ma volonté est qu'ils finissent par devenir parfaits, comme moi-même je suis parfait. »
Nous qui sommes ses disciples sommes venus annoncer la bonne nouvelle de l'avènement du royaume. Nous ne sommes pas venus accroitre les lourds fardeaux de ceux qui voudraient entrer dans ce royaume. Nous proclamons le chemin nouveau et meilleur, et ceux qui sont capables d'entrer dans le royaume jouissent du repos divin. Quoi qu'il nous en coute en biens matériels, quel que soit le prix que nous avons à payer pour entrer dans la fraternité spirituelle, nous recevons en ce monde beaucoup plus que l'équivalent en joie, en avancement spirituel et la vie éternelle dans l'âge à venir.
L'entrée dans le royaume du Père ne dépend ni d'armées en marche, ni du renversement de royaumes de ce monde, ni du fait de briser le joug de captifs. Le royaume du ciel est à portée de la main; tous ceux qui y entrent y trouvent une abondante liberté et un joyeux salut.
Ce royaume est une domination perpétuelle. Ceux qui entrent dans le royaume monteront jusqu'à notre Père; ils atteindront certainement sa droite en gloire au Paradis. Toux ceux qui entrent dans la fraternité spirituelle deviennent fils et filles de Dieu et, dans les temps à venir aussi, ils s'élèveront jusqu'au Père. Nous ne sommes pas venus appeler les prétendus justes, mais les pécheurs et tous ceux qui ont faim et soif de la droiture de la perfection divine.
Nous proclamons que la foi, le don de Dieu, est le prix à payer pour entrer dans la fraternité spirituelle. Il nous suffit de croire que notre Père nous aime d'un amour infini, et dès lors nous nous trouvons dans le royaume de Dieu.
Coeur d'enfant
Pour retrouver son coeur d'enfant,il faut savoir quitter des choses :
Quitter ses rêves, quitter ses roses
qui embaumaient tous nos printemps.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir pleurer des choses :
Pleurer les pertes que la vie cause,
pleurer et rire en même temps.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir briser des choses :
Ces carapaces que l'on pose
pour protéger nos sentiments.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut surtout être soi-même :
Tel que l'on vit, tel que l'on sent,
dessous nos masques de ciment.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut mourir tout doucement :
Mourir à soi, mourir au temps
qui passe et passe, en s'en allant.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut étreindre sa faiblesse
et l'embrasser bien tendrement
et pardonnant nos manquements,
ouvrir ses bras et sa tendresse
à ce qu'on est tout simplement.