La liberté est une sensation intérieure. C'est la capacité de choisir ce que vous voulez. Elle consiste à savoir que vous êtes le capitaine du bateau. Être libre, c'est savoir que vous décidez de votre propre vie et que vous en êtes responsable. La liberté est essentielle à la joie et chaque fois que vous vous sentez manipulé ou que vous droits ne sont pas respectés, vous ne pouvez pas trouver la joie.
La liberté est primordiale si vous désirez amener à la conscience la lumière de votre âme. Vous vivez sur une planète de libre arbitre où vous apprenez les lois d'action et de réaction, de cause et d'effet. la réalité terrestre est basée sur le choix. Quelle que soit la situation que vous viviez, que vous pensiez ou non disposer de liberté, vous avez choisi cette situation.
Vous apprenez par le jeu de l'essai et de l'erreur. Ne vous rendez pas coupable et ne rendez pas les autres coupables des mauvais choix que vous faites, parce que vous grandissez au travers de ces réactions et des effets de vous actions. Dans cette école terrestre du libre arbitre que vous appelez la vie, il existe de multiples défis et de nombreuses leçons de liberté.
En grandissant, l'enfant perd une partie de ses sentiments de liberté au fur et à mesure du développement de son mental. Le mental s'enquiert de schémas ; il fait des associations et connecte des éléments qui seraient mieux intégrés s'ils étaient considérés séparément. Lorsqu'un évènement survient, le mental examine les évènements similaires, exagérant souvent le négatif, en comparant la situation présente aux souvenirs engrangés dans le passé.
Durant l'enfance, vous avez fait des mauvais choix. Par exemple, une femme avait très peur d'exposer ses oeuvres d'art ; elle découvrit qu'une personne s'était moquée d'un tableau qu'elle avait peint, alors qu'elle était petite. C'est ainsi qu'elle eut peur ensuite d'exposer ses oeuvres. Elle cachait ses dessins, et plus, elle se sentait incapable de toute créativité. Elle eut de plus en plus peur d'affirmer son pouvoir. Elle identifiait chaque nouvelle expérience à l'ancienne, et ainsi, elle limitait le degré de choix possible pour des circonstances similaires mais nouvelles. Tout ceci la conduisit à perdre sa liberté ; elle n'était plus libre de choisir sa réponse en accord avec son propre pouvoir et sa créativité.
Les enfants prennent sans cesse des décisions sur la nature de la réalité. Une autre femme éprouvait des difficultés à s'exprimer sur ses croyances profondes. Elle découvrit que, lorsqu'elle était enfant, alors qu'elle faisait un gâteau avec sa tante, elle s'est fait vertement rabrouée pour une réflexion qu'elle venait de faire. À ce moment-là, elle prit une décision et conclut que pour être aimable elle devait garder ses opinions. Quand des situations semblables se représentèrent, elle agissait à partir de ce postulat. Cet évènement lui enleva la liberté de répondre spontanément et de voir chaque situation comme une expérience nouvelle. Elle eut de plus en plus peur de s'exprimer et se sentait intimidée lorsqu'elle devait donner son opinion sur un sujet à controverse.
La liberté est un droit de naissance. Elle appartient à chacun. Vous pouvez toujours dire maintenant : « Je ne suis pas libre dans tel ou tel domaine particulier de ma vie. Je ne suis pas libre de quitter mon emploi, de voyager où je veux ou de faire ce qui me plaît. » Vous êtes libre... dans la mesure où vous croyez en votre liberté.
Comment vous sentez-vous lorsque les gens vous demandent plus que vous ne voulez donner? Ils aimeraient plus de temps, d'énergie, d'amour ou d'attention. Ils peuvent vous le demander de telle manière que vous viviez cela comme une perte de votre liberté. Si cela vous arrive, essayez de savoir si une partie de vous-mêmes ne désire pas plus de temps ou d'attention d'une autre partie de vous-mêmes. Tout ce que vous pensez vous être enlevé par une autre personne n'est que le symbole de ce que vous ne vous accordez pas à vous-mêmes. Si vous sentez que des personnes vous demandent plus d'attention que vous ne pouvez leur accorder ou formulent des demandes auxquelles vous ne voulez ou ne pouvez répondre, posez-vous la question : « Existe-t-il une partie de moi-même qui demande quelque chose et qui ne trouve pas de réponse en moi-même ?. »
Les autres agissent comme des miroirs qui vous révèlent comment vous vous traitez. Dans ce cas, questionnez-vous : « Suis-je, d'une certaine manière, en train de me limiter ou ne fais-je pas assez attention à mes propres besoins ? » Vous pouvez regarder la nature de ces besoins et décider d'y porter plus d'attention. par exemple, un être humain sentait que son amie lui demandait beaucoup trop, tant au niveau du temps que de l'espace. il aimait passer des heures entières à travailler seul mais le désir de son amie d'être ensemble était plus grand que le sien. Il commença à regarder avec plus d'attention les demandes de son amie et il découvrit que durant ces longues heures qu'il passait à travailler seul, il ne prêtait aucune attention à lui-même ou à ses besoins les plus importants. Il découvrit qu'il ne prêtait aucune attention à son être supérieur qui demandait plus de repos et de sommeil. Au lieu de cela, il travaillait d'arrache-pied des heures durant, ignorant ses besoins physiques et les besoins des autres parties de lui-même.
La femme, sentant qu'elle ne recevait pas autant d'attention et de présence de cet être humain, considéra cela comme un message intérieur. Elle sentait qu'ils ne jouaient plus et ne passaient plus de bons moments ensemble. À un niveau plus profond, elle comprit qu'elle ne s'accordait à elle-même aucun bon moment ; elle passait sa journée à courir et à répondre aux besoins des autres et ne prenait pas de temps pour jouer et s'amuser. tout ce qu'elle reprochait à son partenaire, elle ne se l'offrait pas à elle-même.
La liberté est quelque chose que vous créez. Ce n'est pas quelque chose qui vous est donné et qui peut vous être repris. Vous pouvez choisir de l'abandonner ou de ne pas la réclamer, mais personne ne peut vous l'enlever. vous seul pouvez l'abandonner. il existe de nombreux espaces de liberté dans votre vie dont vous savez que personne ne peut vous priver. Il peut s'agir d'un endroit favori pour manger où vous vous sentez libre. Vous savez au fond de vous-mêmes que personne ne peut vous en empêcher. Cela peut être la liberté de regarder votre émission préférée à la télévision, et vous savez que personne ne peut vous en empêcher. Vous avez peut-être remarqué qu'en ces occasions personne ne tente de vous en empêcher.
Il existe toujours un certain niveau de liberté dans tout ce que vous faites. Observez ces moments de liberté. En vous centrant sur la liberté, vous augmentez sa présence dans votre vie.
La plus grande barrière à la liberté réside dans votre façon de voir le monde. Le manque de liberté n'est pas causé par les autres personnes mais par vos propres schémas de pensée. Beaucoup ne se permettent pas cette liberté simplement parce qu'ils ne se permettent pas le choix des réactions par rapport à une situation donnée. Par exemple, si votre ami vous critique tout le temps, alors vous réagissez par la violence ou la colère. Vous pouvez faire grandir votre liberté en trouvant de nouvelles manières de réagir. Vous pourriez peut-être dire : " Oh, mon ami ne connaît pas d'autre moyen d'agir ", ou encore " Mon ami est peut-être très critique envers lui-même et il me critique simplement parce que c'est sa manière de se parler à lui-même ". Vous pouvez toujours choisir la compassion plutôt que d'en faire une affaire personnelle. Vous pouvez choisir de rester centré et équilibré, même lorsque les autres personnes autour de vous ne le sont pas. C'est l'ultime liberté ; c'est la liberté de choisir votre façon de répondre et d'être, et d'agir d'une manière qui élève votre énergie.
La plupart des personnes répondent par habitude plutôt que d'examiner leurs réponses. Vous pouvez toujours choisir votre façon de réagir et de répondre à tout ce qui se passe dans l'Univers. Lorsqu'elles sont face à des limites, certaines personnes commencent à s'agiter et à activer le déroulement de leur vie ; d'autres restent prostrées et s'arrangent pour finir tout au dernier moment ; d'autres encore réagissent par la dépression, sentant que la demande est trop énorme, et leur voix intérieures leur souffle qu'elles ne pourront jamais le faire. Vous êtes libre de choisir. Désirez-vous réagir d'une façon telle que vous vous sentiez malheureux et mauvais, ou bien de manière à améliorer votre valeur et votre estime personnelles ?
Les autres personnes vous répondent selon les directives de leurs programmes et de leurs croyances. Le pouvoir vient par la connaissance des différents choix. Vous n'avez pas besoin de changer les autres ; vous n'avez qu'à changer vos réactions à leur égard. Lorsque vous choisissez de vous sentir bien, vous n'êtes pas dépendant de la manière d'agir des autres personnes pour vous sentir bien. Avant d'attirer à vous d'autres personnes qui vous soutiennent, vous apprécient et vous reconnaissent, vous devez choisir d'agir ainsi.
Très souvent, un sentiment de malaise s'installe parce que vous restez sur des détails au lieu d'élargir votre champ de vision. Par exemple, une femme est malheureuse parce que son ami a oublié de lui apporter des fleurs. Elle cultive cette image dans sa tête où elle associe le fait de recevoir des fleurs et celui d'être aimée. Chaque fois qu'il oublie de lui offrir des fleurs, elle est malheureuse. Elle n'est pas libre de choisir la joie à cause des images qu'elle garde en elle. Si elle désire regarder la vérité et élargir sa vision, elle peut comprendre que cet être humain l'aime profondément, qu'il est très amoureux mais ne voit pas dans le fait d'offrir des fleurs la preuve de son amour. Si elle regarde toutes les bonnes choses de leur vie commune, elle prend conscience qu'elle est prisonnière de ses propres attentes et qu'elle choisit le malheur à cause de ses habitudes.
Ce qui est amusant, c'est que plus vous donnez aux autres de liberté et plus ils aspirent à votre présence. Ne demandez-vous pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qu'ils vous demandent ? N'attendez-vous pas qu'ils vous confient tout, qu'ils vivent selon vos images, et qu'ils soient présent chaque fois que vous le désirez ? Le degré de liberté que vous enlevez à l'autre est le degré de liberté dont vous vous privez.
Imaginez un prisonnier dans sa cellule, surveillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre. La question peut se poser ainsi : lequel des deux est prisonnier ? Si vous sentez que vous devez surveiller les autres tout le temps, que vous ne pouvez pas leur faire confiance ni leur donner leur liberté, vous êtes aussi paralysé qu'eux. Beaucoup perdent leur liberté parce qu'ils surveillent de près tout ce qu'ils ne veulent pas voir partir. Vous surveillez peut-être votre amant, vos biens, vos enfants ou votre famille de telle façon que vous passer plus de temps à les garder qu'à continuer votre évolution.
Si vous êtes jaloux, c'est souvent par peur que les autres ne reçoivent quelque chose qui ne vous est pas donné. Si vous examinez avec plus d'attention le résultat, il s'agit bien souvent de quelque chose que ne vous donnez pas vous-mêmes. Si vous êtes jaloux parce que votre compagne prête attention à quelqu'un d'autre et si vous voulez supprimer sa liberté à le faire, regardez ce qui se passe. Cela peut tout simplement signifier que votre être supérieur ne reçoit pas toute l'attention qui lui est nécessaire.
La jalousie supprime la liberté des deux personnes, la personne jalousée et le jaloux. Si vous vous donnez ce qui vous est nécessaire, qu'il s'agisse d'attention ou d'amour, alors vous ne connaîtrez pas le jalousie. Vous vous apercevrez que vous pouvez vous satisfaire par de nombreuses sources, et pas uniquement par la personne que vous aimez. La jalousie implique le manque, l'idée qu'il n'y a pas assez. La liberté implique l'abondance et l'idée qu'il y a tout ce qu'il faut.
Vous êtes libre lorsque vous pouvez décider de votre réponse. Si vous pouvez choisir de réagir avec joie et plaisir, envisageant les choses dans un sens positif, sur le chemin de la vérité et non pas dans l'erreur, alors vous avez atteint l'ultime liberté, la liberté d'être et d'agir, révélant votre vérité la plus profonde.
Riez, pleurez, criez et parlez tel que cela est véritablement vrai pour vous en chaque instant. Soyez à nouveau un enfant ; agissez en complète honnêteté avec vos sentiments. Ne laissez pas les croyances compromettre votre intégrité. Entraînez-vous à quitter une pièce honnêtement sans manipuler ceux que vous laissez derrière vous avec une excuse polie. Vivez votre vérité sans chercher à vous expliquer.
Dressez la liste de tout ce que vous aimez chez une personne et partagez-le avec elle. Puis, accordez-vous tout ce qui est sur la liste. Vous pouvez aussi reconnaître que ce que vous aimez chez quelqu'un d'autre est aussi vrai chez vous. Puis laissez la plénitude s'exprimer dans votre vie.
Si vous vous trouvez demeurer avec une pensée négative, entraînez-vous à aller vers l'extrême ou la polarité positive opposée. Lorsque vous vous surprenez à glisser à nouveau dans la négativité, choisissez à nouveau de retourner à la polarité positive et demeurez présent à votre choix conscient ; percevez-en la vérité.
Il n'y a que l'amour, et ce qui n'apparaît pas en tant qu'amour est un appel déguisé pour l'amour. C'est notre droit de naissance que de vivre dans la polarité positive d'amour et de vérité et de liberté.
La liberté est primordiale si vous désirez amener à la conscience la lumière de votre âme. Vous vivez sur une planète de libre arbitre où vous apprenez les lois d'action et de réaction, de cause et d'effet. la réalité terrestre est basée sur le choix. Quelle que soit la situation que vous viviez, que vous pensiez ou non disposer de liberté, vous avez choisi cette situation.
Vous apprenez par le jeu de l'essai et de l'erreur. Ne vous rendez pas coupable et ne rendez pas les autres coupables des mauvais choix que vous faites, parce que vous grandissez au travers de ces réactions et des effets de vous actions. Dans cette école terrestre du libre arbitre que vous appelez la vie, il existe de multiples défis et de nombreuses leçons de liberté.
Les seules limites de la liberté sont celles que vous vous imposez
Comment perdez-vous votre joyeux sens de la liberté et votre droit au choix ? Vous n'étiez encore qu'un jeune enfant que déjà vous étiez l'objet de multiples expectatives ; et pourtant, l'enfant jouit d'une plus grande liberté qu'il n'en paraît. Un enfant est libre de répondre avec une certaine innocence, d'apprendre et de grandir sans idées préconçues. L'enfant est libre de voir les choses avec un regard nouveau, de prendre chaque expérience pour ce qu'elle est, sans la cataloguer ni l'analyser à partir d'expériences passées. Un enfant est libre, en particulier durant les premières années de son existence, de se faire des opinions basées, non pas sur des idées anciennes, mais sur des réactions naturelles.En grandissant, l'enfant perd une partie de ses sentiments de liberté au fur et à mesure du développement de son mental. Le mental s'enquiert de schémas ; il fait des associations et connecte des éléments qui seraient mieux intégrés s'ils étaient considérés séparément. Lorsqu'un évènement survient, le mental examine les évènements similaires, exagérant souvent le négatif, en comparant la situation présente aux souvenirs engrangés dans le passé.
Durant l'enfance, vous avez fait des mauvais choix. Par exemple, une femme avait très peur d'exposer ses oeuvres d'art ; elle découvrit qu'une personne s'était moquée d'un tableau qu'elle avait peint, alors qu'elle était petite. C'est ainsi qu'elle eut peur ensuite d'exposer ses oeuvres. Elle cachait ses dessins, et plus, elle se sentait incapable de toute créativité. Elle eut de plus en plus peur d'affirmer son pouvoir. Elle identifiait chaque nouvelle expérience à l'ancienne, et ainsi, elle limitait le degré de choix possible pour des circonstances similaires mais nouvelles. Tout ceci la conduisit à perdre sa liberté ; elle n'était plus libre de choisir sa réponse en accord avec son propre pouvoir et sa créativité.
Les enfants prennent sans cesse des décisions sur la nature de la réalité. Une autre femme éprouvait des difficultés à s'exprimer sur ses croyances profondes. Elle découvrit que, lorsqu'elle était enfant, alors qu'elle faisait un gâteau avec sa tante, elle s'est fait vertement rabrouée pour une réflexion qu'elle venait de faire. À ce moment-là, elle prit une décision et conclut que pour être aimable elle devait garder ses opinions. Quand des situations semblables se représentèrent, elle agissait à partir de ce postulat. Cet évènement lui enleva la liberté de répondre spontanément et de voir chaque situation comme une expérience nouvelle. Elle eut de plus en plus peur de s'exprimer et se sentait intimidée lorsqu'elle devait donner son opinion sur un sujet à controverse.
La liberté est un droit de naissance. Elle appartient à chacun. Vous pouvez toujours dire maintenant : « Je ne suis pas libre dans tel ou tel domaine particulier de ma vie. Je ne suis pas libre de quitter mon emploi, de voyager où je veux ou de faire ce qui me plaît. » Vous êtes libre... dans la mesure où vous croyez en votre liberté.
Pour créer plus de liberté dans votre vie, ne regardez pas les domaines où vous n'avez pas de liberté ; regardez plutôt les domaines où vous avez créé cette liberté
Vous avez peut-être la liberté de rentrer tard le soir si vous le désirez ou d'acheter les aliments que vous voulez chez votre épicier. Pour avoir plus de liberté vous devez regarder les libertés dont vous disposez déjà. Si vous souffrez d'un manque de liberté, cela vous met dans un rôle de victime. Chaque fois que vous êtes dans ce rôle, vous n'avez plus aucun pouvoir. Regardez plutôt les domaines dans lesquels vous avez choisi de ne plus être victime, ne des autres personnes ne des circonstances. Vous avez tous créé des libertés dans certains domaines de votre vie. Vous pouvez dresser le bilan de toutes les libertés que vous vous êtes octroyées, des libertés qui ont beaucoup de valeur pour vous et que vous ne permettez pas qu'on vous enlève.Comment vous sentez-vous lorsque les gens vous demandent plus que vous ne voulez donner? Ils aimeraient plus de temps, d'énergie, d'amour ou d'attention. Ils peuvent vous le demander de telle manière que vous viviez cela comme une perte de votre liberté. Si cela vous arrive, essayez de savoir si une partie de vous-mêmes ne désire pas plus de temps ou d'attention d'une autre partie de vous-mêmes. Tout ce que vous pensez vous être enlevé par une autre personne n'est que le symbole de ce que vous ne vous accordez pas à vous-mêmes. Si vous sentez que des personnes vous demandent plus d'attention que vous ne pouvez leur accorder ou formulent des demandes auxquelles vous ne voulez ou ne pouvez répondre, posez-vous la question : « Existe-t-il une partie de moi-même qui demande quelque chose et qui ne trouve pas de réponse en moi-même ?. »
Les autres agissent comme des miroirs qui vous révèlent comment vous vous traitez. Dans ce cas, questionnez-vous : « Suis-je, d'une certaine manière, en train de me limiter ou ne fais-je pas assez attention à mes propres besoins ? » Vous pouvez regarder la nature de ces besoins et décider d'y porter plus d'attention. par exemple, un être humain sentait que son amie lui demandait beaucoup trop, tant au niveau du temps que de l'espace. il aimait passer des heures entières à travailler seul mais le désir de son amie d'être ensemble était plus grand que le sien. Il commença à regarder avec plus d'attention les demandes de son amie et il découvrit que durant ces longues heures qu'il passait à travailler seul, il ne prêtait aucune attention à lui-même ou à ses besoins les plus importants. Il découvrit qu'il ne prêtait aucune attention à son être supérieur qui demandait plus de repos et de sommeil. Au lieu de cela, il travaillait d'arrache-pied des heures durant, ignorant ses besoins physiques et les besoins des autres parties de lui-même.
La femme, sentant qu'elle ne recevait pas autant d'attention et de présence de cet être humain, considéra cela comme un message intérieur. Elle sentait qu'ils ne jouaient plus et ne passaient plus de bons moments ensemble. À un niveau plus profond, elle comprit qu'elle ne s'accordait à elle-même aucun bon moment ; elle passait sa journée à courir et à répondre aux besoins des autres et ne prenait pas de temps pour jouer et s'amuser. tout ce qu'elle reprochait à son partenaire, elle ne se l'offrait pas à elle-même.
La liberté est quelque chose que vous créez. Ce n'est pas quelque chose qui vous est donné et qui peut vous être repris. Vous pouvez choisir de l'abandonner ou de ne pas la réclamer, mais personne ne peut vous l'enlever. vous seul pouvez l'abandonner. il existe de nombreux espaces de liberté dans votre vie dont vous savez que personne ne peut vous priver. Il peut s'agir d'un endroit favori pour manger où vous vous sentez libre. Vous savez au fond de vous-mêmes que personne ne peut vous en empêcher. Cela peut être la liberté de regarder votre émission préférée à la télévision, et vous savez que personne ne peut vous en empêcher. Vous avez peut-être remarqué qu'en ces occasions personne ne tente de vous en empêcher.
Lorsque vous envoyez à l'Univers un message très clair et très précis, vous n'avez que très rarement à vous battre pour obtenir ce que vous voulez
Avez-vous déjà investi par anticipation dans un projet, sachant parfaitement ce que vous vouliez et qu'ensuite vous vous êtes aperçu que vous n'aviez même pas besoin de le demander ? Si vous luttez pour obtenir ce que vous désirez, cela signifie que cous ne vous sentez pas digne de recevoir ce que vous vouliez. Tous ceux qui travaillent de neuf heures du matin à cinq heures du soir, et ne se sentent pas libres d'une manière ou d'une autre, se croient obligés d'abandonner leur liberté. La liberté est une attitude. Être libre dans cette situation demande que vous ayez une vision plus globale. Pourquoi faites-vous ce travail ? Si c'est pour de l'argent, n'oubliez pas que vous avez librement choisi ce travail pour vous faire de l'argent et que vous êtes libre à tout moment de trouver d'autres manières de gagner de l'argent. Vous pouvez créer cette sensation de liberté à chaque instant en comprenant que vous êtes libre de répondre, réagir et ressentir comme vous le choisissez. Vous êtes libre de parler et d'agir en respectant le cadre de votre travail.Il existe toujours un certain niveau de liberté dans tout ce que vous faites. Observez ces moments de liberté. En vous centrant sur la liberté, vous augmentez sa présence dans votre vie.
La plus grande barrière à la liberté réside dans votre façon de voir le monde. Le manque de liberté n'est pas causé par les autres personnes mais par vos propres schémas de pensée. Beaucoup ne se permettent pas cette liberté simplement parce qu'ils ne se permettent pas le choix des réactions par rapport à une situation donnée. Par exemple, si votre ami vous critique tout le temps, alors vous réagissez par la violence ou la colère. Vous pouvez faire grandir votre liberté en trouvant de nouvelles manières de réagir. Vous pourriez peut-être dire : " Oh, mon ami ne connaît pas d'autre moyen d'agir ", ou encore " Mon ami est peut-être très critique envers lui-même et il me critique simplement parce que c'est sa manière de se parler à lui-même ". Vous pouvez toujours choisir la compassion plutôt que d'en faire une affaire personnelle. Vous pouvez choisir de rester centré et équilibré, même lorsque les autres personnes autour de vous ne le sont pas. C'est l'ultime liberté ; c'est la liberté de choisir votre façon de répondre et d'être, et d'agir d'une manière qui élève votre énergie.
La plupart des personnes répondent par habitude plutôt que d'examiner leurs réponses. Vous pouvez toujours choisir votre façon de réagir et de répondre à tout ce qui se passe dans l'Univers. Lorsqu'elles sont face à des limites, certaines personnes commencent à s'agiter et à activer le déroulement de leur vie ; d'autres restent prostrées et s'arrangent pour finir tout au dernier moment ; d'autres encore réagissent par la dépression, sentant que la demande est trop énorme, et leur voix intérieures leur souffle qu'elles ne pourront jamais le faire. Vous êtes libre de choisir. Désirez-vous réagir d'une façon telle que vous vous sentiez malheureux et mauvais, ou bien de manière à améliorer votre valeur et votre estime personnelles ?
Les autres personnes vous répondent selon les directives de leurs programmes et de leurs croyances. Le pouvoir vient par la connaissance des différents choix. Vous n'avez pas besoin de changer les autres ; vous n'avez qu'à changer vos réactions à leur égard. Lorsque vous choisissez de vous sentir bien, vous n'êtes pas dépendant de la manière d'agir des autres personnes pour vous sentir bien. Avant d'attirer à vous d'autres personnes qui vous soutiennent, vous apprécient et vous reconnaissent, vous devez choisir d'agir ainsi.
Le degré de soutien et de reconnaissance que vous vous accordez est à la mesure du degré de soutien que vous recevez
Chaque fois que vous choisissez de vous sentir bien, même lorsque quelqu'un vous critique, vous rabaisse ou agit de manière qui vous fait habituellement de la peine, vous conservez cette joie. Chaque fois que vous agissez ainsi, vous créez plus de liberté dans votre vie. Vous êtes libre de la nécessité de voir les autres agir de certaines manières pour vous sentir joyeux. Vous êtes libre de vos propres attentes.Très souvent, un sentiment de malaise s'installe parce que vous restez sur des détails au lieu d'élargir votre champ de vision. Par exemple, une femme est malheureuse parce que son ami a oublié de lui apporter des fleurs. Elle cultive cette image dans sa tête où elle associe le fait de recevoir des fleurs et celui d'être aimée. Chaque fois qu'il oublie de lui offrir des fleurs, elle est malheureuse. Elle n'est pas libre de choisir la joie à cause des images qu'elle garde en elle. Si elle désire regarder la vérité et élargir sa vision, elle peut comprendre que cet être humain l'aime profondément, qu'il est très amoureux mais ne voit pas dans le fait d'offrir des fleurs la preuve de son amour. Si elle regarde toutes les bonnes choses de leur vie commune, elle prend conscience qu'elle est prisonnière de ses propres attentes et qu'elle choisit le malheur à cause de ses habitudes.
Être libre éveille le désir de donner la liberté
Vous ne pouvez pas posséder une autre personne, pas plus que vous ne pouvez entretenir de relations équitables avec quelqu'un que vous privez de ses libertés. Toute personne a le droit de faire ce qui l'épanouit et enrichit sa vie. De nombreuses personnes cessent des relations parce qu'elles n'ont pas la liberté qui leur est nécessaire pour grandir. Certaines personnes se sentent trahies par le besoin de liberté que leur partenaire peut exprimer. Elles interprètent cela comme un rejet au lieu de voir en l'autre personne le désir de trouver son être supérieur.Ce qui est amusant, c'est que plus vous donnez aux autres de liberté et plus ils aspirent à votre présence. Ne demandez-vous pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qu'ils vous demandent ? N'attendez-vous pas qu'ils vous confient tout, qu'ils vivent selon vos images, et qu'ils soient présent chaque fois que vous le désirez ? Le degré de liberté que vous enlevez à l'autre est le degré de liberté dont vous vous privez.
Imaginez un prisonnier dans sa cellule, surveillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre. La question peut se poser ainsi : lequel des deux est prisonnier ? Si vous sentez que vous devez surveiller les autres tout le temps, que vous ne pouvez pas leur faire confiance ni leur donner leur liberté, vous êtes aussi paralysé qu'eux. Beaucoup perdent leur liberté parce qu'ils surveillent de près tout ce qu'ils ne veulent pas voir partir. Vous surveillez peut-être votre amant, vos biens, vos enfants ou votre famille de telle façon que vous passer plus de temps à les garder qu'à continuer votre évolution.
Si vous êtes jaloux, c'est souvent par peur que les autres ne reçoivent quelque chose qui ne vous est pas donné. Si vous examinez avec plus d'attention le résultat, il s'agit bien souvent de quelque chose que ne vous donnez pas vous-mêmes. Si vous êtes jaloux parce que votre compagne prête attention à quelqu'un d'autre et si vous voulez supprimer sa liberté à le faire, regardez ce qui se passe. Cela peut tout simplement signifier que votre être supérieur ne reçoit pas toute l'attention qui lui est nécessaire.
La jalousie supprime la liberté des deux personnes, la personne jalousée et le jaloux. Si vous vous donnez ce qui vous est nécessaire, qu'il s'agisse d'attention ou d'amour, alors vous ne connaîtrez pas le jalousie. Vous vous apercevrez que vous pouvez vous satisfaire par de nombreuses sources, et pas uniquement par la personne que vous aimez. La jalousie implique le manque, l'idée qu'il n'y a pas assez. La liberté implique l'abondance et l'idée qu'il y a tout ce qu'il faut.
Déterminez-vous, dès maintenant, à laisser la liberté à tous vos proches
Laissez-les faire leurs propres erreurs et découvrir leurs propres joies. Je peux vous garantir que chaque fois que vous leur laisserez leur liberté, ils vous la laisseront aussi, et avec encore plus d'amour et de respect. Il faut être bien centré, bien équilibré et sûr de soi pour laisser aux autres leur liberté. C'est un grand cadeau que vous leur faites et que vous vous faites, parce qu'ainsi, le prisonnier n'a plus lieu d'être surveillé et le gardien est alors libre.Vous êtes libre lorsque vous pouvez décider de votre réponse. Si vous pouvez choisir de réagir avec joie et plaisir, envisageant les choses dans un sens positif, sur le chemin de la vérité et non pas dans l'erreur, alors vous avez atteint l'ultime liberté, la liberté d'être et d'agir, révélant votre vérité la plus profonde.
Nous y sommes presque !
Demandez ce que vous voulez, même si vous vous sentez intrépide ou maladroit. Les autres ne savent pas ce que vous voulez avant de le leur demander. L'acte de demander est une validation de la prise de conscience que vous méritez d'obtenir ce que vous désirez. Si les autres sont incapables ou non disposés à répondre à votre demande, accordez-vous la vous-mêmes. Entraînez-vous à bouger et à répondre à partir de l'honnêteté.Riez, pleurez, criez et parlez tel que cela est véritablement vrai pour vous en chaque instant. Soyez à nouveau un enfant ; agissez en complète honnêteté avec vos sentiments. Ne laissez pas les croyances compromettre votre intégrité. Entraînez-vous à quitter une pièce honnêtement sans manipuler ceux que vous laissez derrière vous avec une excuse polie. Vivez votre vérité sans chercher à vous expliquer.
Dressez la liste de tout ce que vous aimez chez une personne et partagez-le avec elle. Puis, accordez-vous tout ce qui est sur la liste. Vous pouvez aussi reconnaître que ce que vous aimez chez quelqu'un d'autre est aussi vrai chez vous. Puis laissez la plénitude s'exprimer dans votre vie.
Si vous vous trouvez demeurer avec une pensée négative, entraînez-vous à aller vers l'extrême ou la polarité positive opposée. Lorsque vous vous surprenez à glisser à nouveau dans la négativité, choisissez à nouveau de retourner à la polarité positive et demeurez présent à votre choix conscient ; percevez-en la vérité.
Il n'y a que l'amour, et ce qui n'apparaît pas en tant qu'amour est un appel déguisé pour l'amour. C'est notre droit de naissance que de vivre dans la polarité positive d'amour et de vérité et de liberté.