Sache que si tu ne prends pas ta vie en main, quelqu'un prendra la mesure qui va lui permettre de te dominer ou d'influencer le cours de ton existence. Lorsque tu auras choisi d'unir tes forces avec ta destinée et que tu accepteras la voie qui se présente à toi, tout se mettra en mouvement pour que le changement puisse avoir lieu dans les meilleures conditions de ton chemin de vie.
Ceux qui te connaissent et qui t'ont connu au cours de l'existence qui a précédé le jour du changement, peuvent disparaître de ton paysage, car il ne pourront sonder la profondeur de la mutation que tu es en train d'opérer au tréfonds de ton être.
Tu appelles à la surface les tranches de vie qui gisent dans les abysses de ta conscience, dans la matrice de l'océan des vies que tu as accomplies. À cet instant de ta vie, personne ne peut te comprendre, tu es la seule personne clairvoyante capable de commander et de diriger le vaisseau existentiel. Personne ne peut prendre ta place et comprendre le risque que tu encoures en cas d'échec, tu es l'unique maillon sans faille qui doit émerger de la souffrance et accéder à l'ultime passage qui s'offre à toi.
Tu dois par la nature profonde de ton esprit sonder les enjeux qui sont les tiens, tu dois en premier lieu distinguer tes alliés et ensuite les passer au crible du filtre de ta conscience et observer si au fond de toi-même tout cela correspond à un facteur de résonnance qui se met en accord avec toi. Si tu demeures simplement dans l'expectative, tu ne franchiras pas la porte de ton destin. Tu dois trancher dans le vif et extraire les ingrédients qui vont te servir à écrire une nouvelle page de ton livre de vie.
Lorsque tu auras accepté tes différents changements potentiels, tu sentiras en toi le besoin de migrer soit dans le physique ou simplement en esprit. Alors seulement, tu vas attirer à toi l'âme correspondante ou simplement l'évènement opportun proche ou lointain qui construira pour toi le pont qui va te permettre d'atteindre l'autre rive de ta destinée.
En suivant les différentes indications simples ou détaillées que ton esprit va te transmettre, tu suivras alors l'appel ancestral de la grande lignée de ceux qui progressent sur la voie de la construction d'un nouvel état de vie.
Par la transcendance des évènements que tu seras amené à intégrer, tu seras en mesure de faire face à la dure période qui profile tous les grands changements dans le temps et l'espace qu'est le nôtre au cours des différentes évolution de l'échelle humaine.
Sache simplement que tu n'es pas la seule personne à suivre une telle direction, mais que tu es peut-être sur une multitude, l'unique individu capable de distinguer la voie juste de l'illusion qui appartient aux anciens paradigmes de la grande civilisation humaine.
Je te recommande de regarder en toi et de simplement te poser la question suivante : « Suis-je le maître de mon existence présente ou alors suis-je le pantin d'un concept désuet qui doit disparaître dans les voies de l'oubli et céder la place à la grande vérité qui libèrera ma vie et qui constituera le ciment de ma nouvelle destinée ? » La réponse t'appartient et de celle-ci dépendra ta place dans la chaîne évolutive de la conscience humaine.
Il n'y a pas de réponse facile. Dans la prochaine densité, au sein du service envers autrui, la réponse est facile. Nous pouvons être dominés par les circonstances, mais pas par les autres entités. Quand quelqu'un est dominé par les circonstances, c'est comme pour le temps, l'orage ou un accident. Les entités du service envers autrui ne désirent pas dominer les autres. Nous désirons que chacun ait la liberté de choisir sa propre issue, sa propre voie. Nous encourageons hautement les décisions personnelles. Les décisions personnelles des entités de l'orientation du service envers autrui sont telles qu'elles ne heurtent pas les autres. Seule l'entité elle-même est affectée. Elles sont donc libres.
Cependant, dans notre condition humaine, où nous sommes entourés d'autres humains à tous les niveaux de développement spirituel et d'orientation, il est possible d'être dominé non par les circonstances, ni par un de nos choix personnel, mais par le désir d'un autre de dominer pour son propre sens de la sécurité ou par désir de puissance. C'est autre chose, et ceci a été abondamment porté à l'écran et décrit dans la littérature. Comment reconnaître que la frontière a été franchie ? Les pleurs d'un enfant sont-ils dominateurs ? Nous disons que non. La danse d'un enfant au milieu d'une assemblée se veut elle dominatrice ? Nous contemplons cela avec affection. La demande de l'épouse d'avoir du temps à elle en dehors de sa famille et de son travail se rapporte-t-elle à de la domination ? Nous pensons à ce besoin sexuel et affectif, le prenons-nous comme un compliment, une forme de désir ?
Quand les demandes humaines deviennent-elles dominatrices, et quand la réponse des humains à cette demande cesse-t-elle d'être de l'intérêt, pour devenir de la soumission ? Question difficile. Pour nous affranchir de la domination, il serait mal de bloquer toute réponse compatissante. L'enfant pleure sans répit, car le parent ne sera pas dominé. Nous voyons ce que cela veut dire. De la même façon, l'enfant qui est grand et qui réclame en pleurant de l'attention, cherchant à mobiliser l'attention quand d'autres lui font du mal, peut être traité comme l'enfant qui est en cette personne, ou être laissé pour compte. Quelle est la voie de la plus grande croissance spirituelle ? Et cela est-ce de la domination ?
En résumé, nous ne pouvons répondre à cette question en ce qui concerne la condition humaine, où nous sommes appelés à faire le tri dans nos diverses exigences personnelles, selon les priorités appropriées. Chaque cas est différent. La frontière entre la compassion devant l'insécurité et l'immaturité des autres, et le fait d'être dominé, n'est pas facile à définir. Ceux qui sont plus au fait des questions spirituelles peuvent juger, et savent quand il est bon de donner aux autres ou que cela servira un égoïsme insatiable. Nous faisons quelquefois des erreurs. C'est ainsi que nous apprenons. Nous pouvons être utilisés. Nous regrettons. Nous pouvons manquer de répondre à une demande jugée rétrospectivement raisonnable, voire poignante. Nous regrettons. Au final, nous grandissons, spirituellement et dans la sagesse.
Ceux qui te connaissent et qui t'ont connu au cours de l'existence qui a précédé le jour du changement, peuvent disparaître de ton paysage, car il ne pourront sonder la profondeur de la mutation que tu es en train d'opérer au tréfonds de ton être.
Tu appelles à la surface les tranches de vie qui gisent dans les abysses de ta conscience, dans la matrice de l'océan des vies que tu as accomplies. À cet instant de ta vie, personne ne peut te comprendre, tu es la seule personne clairvoyante capable de commander et de diriger le vaisseau existentiel. Personne ne peut prendre ta place et comprendre le risque que tu encoures en cas d'échec, tu es l'unique maillon sans faille qui doit émerger de la souffrance et accéder à l'ultime passage qui s'offre à toi.
Tu dois par la nature profonde de ton esprit sonder les enjeux qui sont les tiens, tu dois en premier lieu distinguer tes alliés et ensuite les passer au crible du filtre de ta conscience et observer si au fond de toi-même tout cela correspond à un facteur de résonnance qui se met en accord avec toi. Si tu demeures simplement dans l'expectative, tu ne franchiras pas la porte de ton destin. Tu dois trancher dans le vif et extraire les ingrédients qui vont te servir à écrire une nouvelle page de ton livre de vie.
Lorsque tu auras accepté tes différents changements potentiels, tu sentiras en toi le besoin de migrer soit dans le physique ou simplement en esprit. Alors seulement, tu vas attirer à toi l'âme correspondante ou simplement l'évènement opportun proche ou lointain qui construira pour toi le pont qui va te permettre d'atteindre l'autre rive de ta destinée.
En suivant les différentes indications simples ou détaillées que ton esprit va te transmettre, tu suivras alors l'appel ancestral de la grande lignée de ceux qui progressent sur la voie de la construction d'un nouvel état de vie.
Par la transcendance des évènements que tu seras amené à intégrer, tu seras en mesure de faire face à la dure période qui profile tous les grands changements dans le temps et l'espace qu'est le nôtre au cours des différentes évolution de l'échelle humaine.
Sache simplement que tu n'es pas la seule personne à suivre une telle direction, mais que tu es peut-être sur une multitude, l'unique individu capable de distinguer la voie juste de l'illusion qui appartient aux anciens paradigmes de la grande civilisation humaine.
Je te recommande de regarder en toi et de simplement te poser la question suivante : « Suis-je le maître de mon existence présente ou alors suis-je le pantin d'un concept désuet qui doit disparaître dans les voies de l'oubli et céder la place à la grande vérité qui libèrera ma vie et qui constituera le ciment de ma nouvelle destinée ? » La réponse t'appartient et de celle-ci dépendra ta place dans la chaîne évolutive de la conscience humaine.
Dominant, dominé
Chez les humains, la question de la domination et de la perte de contrôle n'est pas simple. C'est le fait de notre état, car nous vivons au milieu d'humains à tous les niveaux de développement spirituel et de tendances. Les extrêmes sont en présence, depuis le sadique qui cherche l'opportunité de torturer les autres, mentalement ou psychologiquement, pour les sentiments de puissance que cela lui apporte, jusqu'au saint qui partagerait la moitié de sa couverture avec un autre dans une tempête de neige. Le saint aura-t-il été dominé par le besoin d'un autre ? Qu'en est il des amants, qui désirent l'union physique à ce point qu'ils décrivent la passion fusionnelle comme s'ils se noyaient dans l'amour ? N'est-ce pas être dominé ? Qu'en est il de la mère d'un jeune enfant, qui, voyant celui-ci en danger, prendrait sa place sans réfléchir. Cette mère n'est elle pas dominée par son désir de protéger ? Quelqu'un déciderait-il de se précipiter à l'aide d'autrui, en allant au devant d'un déluge, et en étant ainsi dominé, se sentirait il trompé ?Il n'y a pas de réponse facile. Dans la prochaine densité, au sein du service envers autrui, la réponse est facile. Nous pouvons être dominés par les circonstances, mais pas par les autres entités. Quand quelqu'un est dominé par les circonstances, c'est comme pour le temps, l'orage ou un accident. Les entités du service envers autrui ne désirent pas dominer les autres. Nous désirons que chacun ait la liberté de choisir sa propre issue, sa propre voie. Nous encourageons hautement les décisions personnelles. Les décisions personnelles des entités de l'orientation du service envers autrui sont telles qu'elles ne heurtent pas les autres. Seule l'entité elle-même est affectée. Elles sont donc libres.
Cependant, dans notre condition humaine, où nous sommes entourés d'autres humains à tous les niveaux de développement spirituel et d'orientation, il est possible d'être dominé non par les circonstances, ni par un de nos choix personnel, mais par le désir d'un autre de dominer pour son propre sens de la sécurité ou par désir de puissance. C'est autre chose, et ceci a été abondamment porté à l'écran et décrit dans la littérature. Comment reconnaître que la frontière a été franchie ? Les pleurs d'un enfant sont-ils dominateurs ? Nous disons que non. La danse d'un enfant au milieu d'une assemblée se veut elle dominatrice ? Nous contemplons cela avec affection. La demande de l'épouse d'avoir du temps à elle en dehors de sa famille et de son travail se rapporte-t-elle à de la domination ? Nous pensons à ce besoin sexuel et affectif, le prenons-nous comme un compliment, une forme de désir ?
Quand les demandes humaines deviennent-elles dominatrices, et quand la réponse des humains à cette demande cesse-t-elle d'être de l'intérêt, pour devenir de la soumission ? Question difficile. Pour nous affranchir de la domination, il serait mal de bloquer toute réponse compatissante. L'enfant pleure sans répit, car le parent ne sera pas dominé. Nous voyons ce que cela veut dire. De la même façon, l'enfant qui est grand et qui réclame en pleurant de l'attention, cherchant à mobiliser l'attention quand d'autres lui font du mal, peut être traité comme l'enfant qui est en cette personne, ou être laissé pour compte. Quelle est la voie de la plus grande croissance spirituelle ? Et cela est-ce de la domination ?
En résumé, nous ne pouvons répondre à cette question en ce qui concerne la condition humaine, où nous sommes appelés à faire le tri dans nos diverses exigences personnelles, selon les priorités appropriées. Chaque cas est différent. La frontière entre la compassion devant l'insécurité et l'immaturité des autres, et le fait d'être dominé, n'est pas facile à définir. Ceux qui sont plus au fait des questions spirituelles peuvent juger, et savent quand il est bon de donner aux autres ou que cela servira un égoïsme insatiable. Nous faisons quelquefois des erreurs. C'est ainsi que nous apprenons. Nous pouvons être utilisés. Nous regrettons. Nous pouvons manquer de répondre à une demande jugée rétrospectivement raisonnable, voire poignante. Nous regrettons. Au final, nous grandissons, spirituellement et dans la sagesse.