Selon les dernières informations, l'âge de l'univers se situerait autour de 13,7 milliards d'années. Il semble aussi acquis que le système solaire daterait de 4,5 milliards d'années. Issu d'une incroyable succession de phénomènes physico-chimiques, la Terre serait-elle la seule planète hébergeant de la vie dans l'univers ?
Présence d'eau, présence d'oxygène, une certaine température, position de la planète dans l'écosphère, telles sont les conditions généralement admises pour que la vie puisse s'affirmer. Bien sûr, cette règle n'est pas absolue et se rapporte aux connaissances aujourd'hui à notre disposition.
Un calcul permet d'affiner l'hypothèse. 200 milliards de galaxies évolueraient dans l'univers. Chacune en moyenne drainerait 100 milliards d'étoiles. Autour de celles-ci, un cortège de planètes ! Dès lors il serait curieux que la vie ne prospère pas ailleurs.
Selon un calcul "incroyablement pessimiste", même en excluant les innombrables planètes qui ne répondraient pas aux conditions précitées, plus encore, en ramenant volontairement la barre aux alentours du presque zéro, les planètes susceptibles d'abriter de la vie approcheraient le milliard. De ce chiffre, éliminons 99 %, celles bombardées par des météorites ou secouées par de monstrueuses tempêtes. Du nombre restant, soustrayons 99 %, celles étant à l'âge végétal ou animal. Du résultat obtenu, encore 99 %, là où subsisteraient des populations arriérées. Au final, reste un bon millier de planètes qui tiendrait la comparaison avec la nôtre ! Parmi ces dernières, il suffit qu'une seule dispose de la maîtrise technologique des croisières interplanétaires pour nous damer le pion.
Depuis 1993, depuis que deux Suisses ont découvert la première planète tournant autour d'un soleil, 200 autres exo-planètes ont été découvertes, chiffre infinitésimal eût égard au potentiel. Principalement des planètes gazeuses. Grâce à l'amélioration des systèmes de détection, dans les prochaines années, la liste devrait s'allonger. Cependant le calcul établi précédemment autorise peu d'espoir. En outre, comme l'être humain ne dispose pas, à ce jour, de technologie de déplacement approprié, si d'aventure il subodorait de la vie ailleurs, il n'aurait guère les moyens de se faire connaître.
Demeurent des situations défiant toute analyse rationnelle. En France, le Groupement pour l'étude et l'information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEIPAN) rapporte que 28 % des cas ne trouveraient pas d'explication. Dans les autres pays, un chiffre similaire est relevé.
Si le phénomène ovni a partie liée avec des extraterrestres, pourquoi, interrogent certains, n'ont-ils pas pris langue avec nous ? Peut-être n'en éprouvent-ils pas le besoin ? Peut-être n'ont-ils pas notre logique ? Peut-être recherchent-ils de l'intelligence ? Peut-être obéissent-ils à une loi de non ingérence ? Peut-être honorent-ils notre libre arbitre ?
Présence d'eau, présence d'oxygène, une certaine température, position de la planète dans l'écosphère, telles sont les conditions généralement admises pour que la vie puisse s'affirmer. Bien sûr, cette règle n'est pas absolue et se rapporte aux connaissances aujourd'hui à notre disposition.
Un calcul permet d'affiner l'hypothèse. 200 milliards de galaxies évolueraient dans l'univers. Chacune en moyenne drainerait 100 milliards d'étoiles. Autour de celles-ci, un cortège de planètes ! Dès lors il serait curieux que la vie ne prospère pas ailleurs.
Selon un calcul "incroyablement pessimiste", même en excluant les innombrables planètes qui ne répondraient pas aux conditions précitées, plus encore, en ramenant volontairement la barre aux alentours du presque zéro, les planètes susceptibles d'abriter de la vie approcheraient le milliard. De ce chiffre, éliminons 99 %, celles bombardées par des météorites ou secouées par de monstrueuses tempêtes. Du nombre restant, soustrayons 99 %, celles étant à l'âge végétal ou animal. Du résultat obtenu, encore 99 %, là où subsisteraient des populations arriérées. Au final, reste un bon millier de planètes qui tiendrait la comparaison avec la nôtre ! Parmi ces dernières, il suffit qu'une seule dispose de la maîtrise technologique des croisières interplanétaires pour nous damer le pion.
Depuis 1993, depuis que deux Suisses ont découvert la première planète tournant autour d'un soleil, 200 autres exo-planètes ont été découvertes, chiffre infinitésimal eût égard au potentiel. Principalement des planètes gazeuses. Grâce à l'amélioration des systèmes de détection, dans les prochaines années, la liste devrait s'allonger. Cependant le calcul établi précédemment autorise peu d'espoir. En outre, comme l'être humain ne dispose pas, à ce jour, de technologie de déplacement approprié, si d'aventure il subodorait de la vie ailleurs, il n'aurait guère les moyens de se faire connaître.
Premier contact
D'autres en revanche pourraient s'y accomplir et le font peut-être déjà en parcourant notre ciel. Cependant la majorité des cas d'ovnis recensés tiennent à une méconnaissance des phénomènes atmosphériques et physiques, mais aussi à des hallucinations, des troubles psychologiques ou des formes d'hystérie.Demeurent des situations défiant toute analyse rationnelle. En France, le Groupement pour l'étude et l'information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEIPAN) rapporte que 28 % des cas ne trouveraient pas d'explication. Dans les autres pays, un chiffre similaire est relevé.
Si le phénomène ovni a partie liée avec des extraterrestres, pourquoi, interrogent certains, n'ont-ils pas pris langue avec nous ? Peut-être n'en éprouvent-ils pas le besoin ? Peut-être n'ont-ils pas notre logique ? Peut-être recherchent-ils de l'intelligence ? Peut-être obéissent-ils à une loi de non ingérence ? Peut-être honorent-ils notre libre arbitre ?