INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE – RAMIFICATIONS ET CONSÉQUENCES
Le présent document porte sur l'industrie pharmaceutique qui contrôle les médicaments brevetés tout en combattant la reconnaissance des moyens naturels de guérison. Le Dr Mathias Rath nous décrit les actions qu'il a entreprises au nom de tous les citoyens de la planète pour que ces moyens naturels de guérison deviennent accessibles à tous les citoyens de la planète. Une opinion courageuse à considérer !
Dans son ouvrage "Pourquoi les animaux n'ont pas d'attaques cardiaques, les êtres humains si", les "lois de l'industrie pharmaceutique" sont, pour la première fois, énumérées. Ces lois identifient le commerce pharmaceutique à une industrie d'investissements et non à une industrie de la santé. Elles dévoilent le principe de brevetabilité comme étant un principe qui détourne les objectifs de la recherche de cette industrie pour gagner de l'argent et non pour répondre aux besoins de la population mondiale en matière de santé. Ce livre rend responsable l'industrie pharmaceutique du décès prématuré, au cours de ces dernières décennies, de centaines de milliers de personnes à travers le monde, ainsi que de l'effondrement financier de systèmes économiques entiers. Dénoncer la plus grande industrie d'investissements au monde comme étant un plan servant à escroquer plusieurs milliards de dollars fut un acte courageux. Lorsque le 21 juin 1997, le Dr Rath fis un discours devant 3500 personnes en Allemagne et que, pour la première fois, nommait les choses par leur nom, l'impact s'est fait ressentir aux quatre coins du monde.
La seule raison qui a fait que l'industrie pharmaceutique n'a pas riposté, repose dans le fait qu'il a comparé ce "commerce sans scrupules avec la maladie" avec les plus grands crimes contre l'humanité commis au XXe siècle : les massacres au cours de la seconde guerre mondiale. Il est historiquement reconnu que le plus important cartel pétrochimique et pharmaceutique du monde a financé, il y 70 ans, la prise de pouvoir de Hitler. La Seconde Guerre mondiale avait avant tout pour but la conquête des ressources naturelles en Europe de l'Est et en Asie.
Le Tribunal de guerre de Nuremberg a reconnu en 1946 et 1947 que la Seconde Guerre mondiale aurait été impossible sans le soutien du cartel pétrochimique I.G. Farben. Suite à ce procès, I.G. Farben est devenu Bayer, BASF et Hoechst. Quelques uns de ses directeurs ont été condamnés pour avoir entrepris une guerre dans le non-respect du droit international, pour génocide, exploitation et pillage de biens privés et publics dans des pays étrangers, ainsi que pour d'autres crimes contre l'humanité. L'histoire de l'implication de cette société dans la Seconde Guerre mondiale est retracée dans un ouvrage de Josef Borkin "The Crime And Punishment Of I.G. Farben".
Ainsi, l'industrie pharmaceutique a été sur la défensive dès le début de la stratégie visant à les démasquer. Pas étonnant donc qu'elle n'ait jamais osé riposter ou intenter un procès pour diffamation. Entre-temps, les efforts fournis depuis dix ans pour dénoncer l'industrie pharmaceutique comme étant une escroquerie de plusieurs milliards de dollars ont été confirmés dans un éditorial du "Spiegel", le plus grand magazine d'informations européen. Cet article accuse ouvertement l'industrie pharmaceutique d'escroquerie, de fraude, de mettre la vie des gens en danger, de porter préjudice aux économies des pays à hauteur de plusieurs milliards de dollars, ainsi que de nombreux autres faits que le Dr Rath avait avancés les années précédentes. Plus de 5 ans se sont écoulés entre ma première condamnation publique de l'affairisme de l'industrie pharmaceutique avec les maladies et la vaste couverture médiatique qui confirme aujourd'hui ces faits. Rien de surprenant non plus qu'il existe une étroite relation entre l'industrie pharmaceutique et les décideurs politiques les plus haut placés. Cet article révèle également que, même aujourd'hui, lorsqu'un gouvernement veut aller à l'encontre du commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie, les ambassades américaines interviennent directement au nom du gouvernement américain !
Il est tout simplement inacceptable que la santé de millions de personnes, ainsi que les économies des pays soient sacrifiées au profit d'une poignée d'investisseurs qui se renouvellent constamment et soutiennent de plus en plus de politiciens sans scrupules, parmi lesquels figurent des membres des gouvernements actuels des États-Unis et de Grande-Bretagne, dont le seul but est de préserver de manière artificielle et partout dans le monde ce commerce frauduleux de plusieurs milliards de dollars.
Pourquoi n'avons-nous auparavant rien su de ces percées ? La réponse est évidente. L'industrie pharmaceutique n'est pas une industrie qui a évolué de manière naturelle. Elle a été créée par des investisseurs qui, pour gagner de l'argent avec les maladies, ont dû empêcher, au niveau mondial, l'accès aux traitements naturels non brevetables.
Au début du XXe siècle, le groupe Rockefeller contrôlait déjà la majeure partie de l'industrie pétrolière aux États-Unis et dans de nombreux autres pays. Grâce à ces revenus de plusieurs milliards de dollars, ce groupe d'investissements s'est trouvé un nouveau marché : le corps humain. Les gains ou les taux de capitalisation de cet investissement dépendaient de la brevetabilité des médicaments mis au point. Les milliards de dollars de bénéfice enregistrés par cette nouvelle industrie d'investissements ont été utilisés pour transformer de façon systématique la médecine en une branche d'investissements dirigée par l'industrie pharmaceutique. En l'espace de quelques décennies, la médecine a été placée sous le contrôle de ces groupes d'intérêts grâce à leur influence dans les facultés de médecine, les médias et la politique.
La concurrence des produits de soins naturels représentait l'un des principaux problèmes auquel cette industrie fut confrontée. C'est entre 1920 et 1935 qu'ont été découverts la plupart des vitamines et des principaux nutriments nécessaires à un métabolisme cellulaire optimal. Il était clair pour le monde scientifique que les cellules ne fonctionnent pas correctement sans ces molécules essentielles à leur métabolisme et qu'elles étaient à l'origine des maladies.
Les stratèges en matière d'investissement au service de l'industrie pharmaceutique ont pris conscience de cela et ont lancé une campagne mondiale pour empêcher que les êtres humains du monde entier ne disposent de ces informations vitales. Réprimer l'accès à ces informations ne constituait toutefois qu'un premier pas. D'autres étapes stratégiques visant à mettre en place un plan pour les activités frauduleuses de l'industrie pharmaceutique consistèrent à discréditer les informations de santé concernant les thérapies naturelles non brevetables et enfin à déclarer les témoignages relatifs aux effets préventifs et thérapeutiques des traitements naturels comme étant illégaux.
Toutes ces mesures n'avaient qu'un seul but : protéger l'industrie pharmaceutique qui dépend des médicaments brevetables, mais ne traitant que les symptômes, face aux thérapies naturelles non brevetables, mais essentielles à la santé des cellules. Les réalités scientifiques concernant les molécules naturelles indispensables au fonctionnement de base des cellules et qui sont décrites dans les manuels de biologie, sont devenues une question de vie ou de mort pour l'ensemble de cette industrie d'investissements. S'il était possible de prévenir les maladies en optimisant la santé des cellules grâce à des molécules non brevetables, cela risquait précisément de mettre en péril les fondements de ce commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie. Une maladie dont on peut faire la prévention ou qui peut être éradiquée n'est plus source de profit.
Il est particulièrement important de noter l'influence de l'industrie pharmaceutique sur la profession médicale. En créant des facultés de médecine aux États-Unis, y compris les universités de la soi-disant "Ivy League", dont font partie Harvard, Yale, Mayo Clinic entre autres, la branche d'investissements de l'industrie pharmaceutique a tout simplement acheté des options médicales dans le monde entier. L'enseignement des thérapies médicales s'est de plus en plus concentré sur les médicaments et, parallèlement, les traitements naturels ont été bannis, car considérés comme "dépassés" sur le plan de l'efficacité.
Presque aucun des médecins ayant terminé leurs études au cours des dernières décennies, ne sait que le premier prix Nobel a récompensé, en 1937, les recherches menées sur le rôle de la vitamine C dans le métabolisme cellulaire. Ainsi, durant plus d'un demi-siècle, des générations de médecins, des millions donc à travers le monde, ont quitté la faculté de médecine sans jamais avoir entendu parler du rôle vital et des bienfaits pour la santé des vitamines, des minéraux et des oligo-éléments.
Chacun peut immédiatement imaginer les conséquences dévastatrices de cette stratégie d'investissements sur la santé humaine mondiale si l'on tient compte des faits suivants. Peu de personnes parmi les six milliards d'êtres humains vivant sur Terre savent que notre corps ne produit pas de vitamine C. Aujourd'hui, il est scientifiquement prouvé que c'est cette même molécule (connue pour protéger les artères contre le scorbut, "la maladie des marins") qui est le premier facteur de prévention contre les infarctus, les attaques d'apoplexie et d'autres problèmes cardio-vasculaires. Ainsi, l'exclusion de ces connaissances vitales durant la formation professionnelle des médecins, et ce dans l'intérêt de l'industrie pharmaceutique, a délibérément entraîné une épidémie de maladies cardio-vasculaires, l'épidémie la plus répandue dans les pays industrialisés, ainsi que dans les zones urbaines des pays en voie de développement.
Presque personne sur Terre aujourd'hui ne sait que le corps humain ne produit pas de lysine, un acide aminé naturel et élément essentiel des protéines. Maintenant, on sait que la lysine, cette molécule naturelle, est l'un des facteurs les plus importants pour empêcher la propagation des cellules cancéreuses dans le corps. Le cancer est, par ordre d'importance, la deuxième épidémie dans les pays industrialisés et les médicaments vendus au cours des derniers mois de la vie d'une personne atteinte de cette maladie constituent l'un des marchés les plus rentables du "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique.
En ce début du XXIe siècle, l'humanité sort donc d'un cauchemar. Avec la diffusion d'informations simples en matière de santé concernant des molécules que le corps ne produit pas, mais qui sont indispensables au fonctionnement optimal des cellules, deux vies sur trois dans les pays industrialisés et dans les pays en voie de développement auraient pu être sauvées.
Et nous devons nous rendre compte que tous les êtres humains de la Terre ne sont pas "restés plantés là" un siècle durant, comme s'ils avaient été idiots. Nous devons savoir que l'industrie pharmaceutique a dépensé des milliards de dollars pour pouvoir vivre, pour frauder et pour se faire une façade artificielle de "bienfaiteurs de l'humanité". Pour atteindre cet objectif, cette industrie a dépensé deux fois plus pour faire du "marketing" que ce qu'elle a investi dans la recherche.
Donald Rumsfeld, l'actuel ministre américain de la Défense, était le président-directeur général de plusieurs multinationales pharmaceutiques. Il a reçu plusieurs distinctions pour ses bons et loyaux services dans cette industrie, avant d'être nommé au poste qu'il occupe actuellement dans l'administration Bush. Il ne fait aucun doute que Rumsfeld et tous les cadres de cette industrie – y compris le groupe d'investissements Rockefeller – sont au courant de ces faits. Ils ont une peur bleue que la vérité sur ce commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie ne se propage dans le monde entier comme une traînée de poudre. Si ce devait être le cas, leur sort serait tout tracé : ils seraient tenus pour responsables de la mort de millions de personnes qui auraient pu être soignées s'ils n'avaient pas pris intentionnellement de telles décisions. Ils savent que soit ils détruisent l'humanité par une guerre et dans un scénario mondial du "Big Brother", ou c'est l'humanité qui les détruira. Il n'y a pas de solution intermédiaire. Voilà la toile de fond de la guerre actuelle. C'est pourquoi ils s'attaquent à la planète entière.
La condition pour la réalisation du plan frauduleux de plusieurs milliards de dollars de l'industrie pharmaceutique, a été, pendant plus d'un siècle, la prohibition des informations essentielles et non brevetables en matière de santé naturelle et de prévention des maladies endémiques actuelles. Il n'est donc pas surprenant de voir ce qu'ils ont fait et de constater que nous n'ayons rien su de ces avancées plus tôt.
Mais qu'en est-il du rôle de l'Organisation Mondiale de la Santé ? N'a-t-elle pas encouragé une bonne alimentation ? L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a été créée, il y a plus de 50 ans, dans le but d'améliorer l'état de santé des gens dans le monde entier. L'une de ses tâches principales était la diffusion d'informations sur la nutrition. En collaboration avec l'Organisation pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), l'OMS a publié, chaque année, des "rapports communs sur la nutrition", pendant une dizaine d'années environ.
Ensuite, l'industrie pharmaceutique, dans l'intérêt de ses investissements, a complètement pris le contrôle de l'OMS. Depuis lors, elle est devenue le parfait contraire de ce qu'elle était. En 1963, 15 ans seulement après sa création dans le but d'aider l'humanité, l'OMS est devenue l'instrument de l'ensemble du cartel pharmaceutique. En 1963, une nouvelle commission a été spécialement créée pour empêcher que les micronutriments (vitamines, minéraux et acides aminés) soient utilisés en prévention, traitement et éradication des maladies. L'objectif de ce que l'on appelle la commission "Codex Alimentarius" de l'OMS/FAO (normes dans le domaine de l'alimentation) était d'imposer des "limites supérieures" artificielles pour empêcher les gens dans le monde d'utiliser ces composants de santé naturelle à des fins thérapeutiques. Cette commission s'est également engagée dans une "guerre sainte" contre la diffusion des informations de santé naturelle concernant les avantages scientifiquement prouvés de ces micronutriments. Ainsi le cartel pharmaceutique a manipulé l'OMS et en a fait son instrument global pour instaurer les premières lois sur la mondialisation – des lois protectionnistes pour garantir de manière artificielle le monopole mondial des médicaments brevetés en matière de santé.
Ainsi, pendant plus de 40 ans, l'organisation créée pour améliorer la santé des gens a été manipulée par l'appât du gain d'une poignée d'investisseurs pour qu'elle fasse exactement le contraire de son objectif premier : maintenir les peuples dans leur ignorance vis-à-vis des informations vitales et de la prévention des maladies endémiques actuelles.
La publication du programme du Dr Rath en 10 points "La santé pour tous d'ici l'an 2020" lors du sommet mondial de Johannesburg en août 2002, a marqué un tournant pour cette organisation. En attirant l'attention de plus de 100 chefs d'Etat sur la nature frauduleuse du commerce de l'industrie pharmaceutique et sur les alternatives de la santé naturelle, une lutte s'est engagée afin d'amener l'OMS à retravailler dans l'intérêt de l'humanité. Ce sont les pays en voie de développent d'Afrique, d'Amérique du Sud et d'Asie qui mènent ce combat historique. Mais il ne faut pas perdre de vue que les forces du cartel pharmaceutique, qui ont pris racine à l'intérieur de l'OMS, n'abandonneront pas facilement la lutte.
Le monde entier doit prendre conscience du fait que les groupes d'intérêts qui ont transformé l'OMS en son contraire, sont les mêmes que ceux qui ont imposé cette guerre contre l'Irak et qui sont responsables de la crise internationale actuelle que nous connaissons. Ainsi, la guerre pour le contrôle de l'OMS est menée avec la même brutalité qu'une guerre militaire. La comparaison est permise car, après tout, dans les deux cas, on compte les victimes par milliers.
L'issue de ce combat pour le contrôle de l'OMS est certaine : les peuples du monde gagneront ce combat pour eux et pour les générations à venir et reprendront le contrôle de cette institution internationale. Le temps que cela prendra dépend en fin de compte du fait que les populations soient informées de ces nouveaux développements et qu'elles demandent à leur gouvernement de prendre des mesures au niveau national et international. Entre-temps, il est vraiment indispensable qu'il y ait des organisations qui ne puissent être achetées, corrompues ou influencées de quelque manière que ce soit. La Dr Rath Health Foundation a été créée pour apporter sa contribution à cet édifice.
Le Codex Alimentarius est une commission de l'OMS et de la FAO. Plus de la moitié de ses membres sont plus ou moins directement liés à l'industrie pharmaceutique. Le Codex Alimentarius s'occupe certes d'un grand nombre de questions concernant la protection alimentaire, mais elle gaspille la majeure partie de son temps, de ses efforts et de ses ressources dans la bataille du cartel pharmaceutique pour empêcher la diffusion d'informations sur la santé naturelle avec les vitamines, les minéraux et d'autres nutriments essentiels.
Après mes découvertes sur le lien entre le scorbut et les maladies cardiaques, le succès de mon livre "Pourquoi les animaux n'ont pas d'attaque cardiaque... les êtres humains si !" et après l'échec, en 1994, de la première tentative aux États-Unis de faire passer les thérapies naturelles comme illégales, les entreprises pharmaceutiques ont remis le "Codex Alimentarius" à l'ordre du jour en 1995. Depuis lors, elles ont violemment essayé de protéger le commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie contre les micronutriments efficaces, naturels et non brevetables. Cette commission se réunit chaque année à huis clos. Son principal objectif est de faire passer pour illégale toute déclaration en matière de santé relative à la prévention et aux thérapies par les vitamines, les minéraux et autres nutriments essentiels. Ces recommandations peu scrupuleuses doivent être présentées, au nom du cartel pharmaceutique, à l'Assemblée générale des Nations Unies et deviendront obligatoires pour tous les états membres des Nations Unies, c'est-à-dire dans le monde entier. C'est, en tout cas, l'objectif du cartel pharmaceutique.
Au cours des dernières années, il a été organisé régulièrement des manifestations contre les projets du Codex de l'industrie pharmaceutique, y compris des conférences scientifiques, des meetings et des campagnes de protestation visant les membres de la commission du Codex et les gouvernements qui la soutiennent encore. Lors de la dernière campagne, les gouvernements et les membres de Parlement qui soutiennent toujours ce projet éhonté ont reçu plus de 600 millions (!) de lettres de protestation.
A la veille de la réunion du Codex en novembre 2002 à Berlin, s'est tenue une conférence de spécialistes de la santé venus du monde entier, y compris d'Afrique du Sud. Il n'est pas surprenant que, à l'occasion de cette réunion du Codex, la délégation officielle d'Afrique du Sud ait révélé pour la première fois l'hypocrisie du Codex Alimentarius. Pour mieux comprendre l'importance de cette étape, il convient de préciser les faits suivants.
Aucune personne saine d'esprit ne soutiendrait d'emblée l'interdiction de la santé naturelle. Le cartel pharmaceutique devait donc trouver un prétexte pour que les politiciens encore indécis déclarent les thérapies naturelles comme étant illégales. L'existence imaginaire d'effets secondaires dus aux vitamines a été ce prétexte. Bien sûr, ces effets secondaires n'existent que dans la fiction des groupes d'intérêts de l'industrie pharmaceutique et sur les planches à dessin où s'échafaude leur machination générale de communication. Les vitamines, les minéraux et les acides aminés sont des composants essentiels à la vie et le corps peut éliminer tout surplus sans aucun problème.
Ceci est tout à fait le contraire des médicaments synthétiques. Parce qu'ils sont synthétiques, le corps ne les reconnaît pas et ceci explique pourquoi presque tous les produits pharmaceutiques ont des effets secondaires graves. Selon l'édition du Journal of the American Medical Association du 15 avril 1998, les effets secondaires des produits pharmaceutiques sont devenus la quatrième cause de décès dans les pays industrialisés. Faisant fi de ces faits, la machinerie de communication de l'industrie pharmaceutique essaie de manipuler l'opinion publique mondiale et de forcer la main des politiciens, dont elle a besoin, pour faire adopter les recommandations scandaleuses du Codex Alimentarius.
C'est dans ce contexte que nous devons apprécier la prise de position du gouvernement sud-africain lors de l'assemblée du "Codex" en 2002, en dévoilant les agissements hypocrites durant plusieurs décennies du cartel pharmaceutique au sein de ce dernier et en soutenant nos arguments de manière officielle. Mais ce n'était pas un hasard. Deux ans auparavant, le gouvernement sud-africain avait entrepris une lutte contre le cartel pharmaceutique en refusant de payer des droits de licence pour des médicaments contre le sida.
Leur argument était simple : payer des taxes exorbitantes pour ces médicaments empêcherait la plus grande majorité des habitants d'Afrique du Sud et des pays en voie de développement de se les procurer. Ainsi, l'industrie pharmaceutique, en exigeant ces énormes marges bénéficiaires, met en péril, en toute connaissance de cause, la vie de millions de personnes en Afrique et partout dans le monde. Le cartel pharmaceutique – c'est-à-dire la Fédération Internationale des Fabricants de Produits Pharmaceutiques – a eu l'arrogance de porter plainte contre le gouvernement sud-africain auprès du tribunal de Pretoria. Comme on pouvait s'y attendre, cette guerre ne s'est pas gagnée dans la salle d'audience, mais devant le tribunal de l'opinion publique.
Des protestations venues du monde entier contre "le meurtre dans l'intérêt du commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie" a empêché le cartel pharmaceutique de poursuivre ce litige. En janvier 2001, quelques semaines seulement après avoir porté plainte contre le gouvernement sud-africain, le cartel pharmaceutique a reconnu son échec et a retiré sa plainte. Le gouvernement sud-africain venait de remporter une victoire historique sur le cartel pharmaceutique. Entre-temps, beaucoup d'autres pays ont suivi l'exemple du gouvernement sud-africain et produisent leurs propres médicaments sans devoir payer des droits de brevet exorbitants.
Il existe une alternative naturelle à ces médicaments contre le sida. C'est un fait scientifique que presque tous les principaux virus peuvent être en partie ou complètement stoppés par des thérapies naturelles. L'acide ascorbique (la vitamine C) réduit la multiplication (réplication) des virus. Une étude publiée en 1990 dans le très influant Proceedings of the National Academy of Science USA a montré que la vitamine C, prise quotidiennement et en grande quantité, peut empêcher la réplication du virus VIH à plus de 99,9% ! Le Proceedings of the National Academy of Sciences est l'une des publications les plus lues dans le monde. Ainsi, depuis plus de dix ans, l'industrie pharmaceutique, l'Organisation Mondiale de la Santé et le monde médical savaient qu'il existait une alternative naturelle et non brevetable aux médicaments. En outre, ces traitements naturels sont plus efficaces pour enrayer la maladie que tous les produits pharmaceutiques actuels.
Une seconde substance très importante pour empêcher la propagation des virus est un acide aminé, la lysine. Étant donné que tous les virus se propagent en digérant le tissu environnant (collagène) grâce à des enzymes (les collagénases), neutraliser ces enzymes contribue à réduire ou à empêcher la propagation du virus. Il a été prouvé que la lysine et la proline, des acides aminés naturels, avaient cette faculté. En outre, des travaux prouvent que la vitamine A et d'autres nutriments essentiels améliorent le système immunitaire et contribuent ainsi, de façon efficace, à la prévention et au traitement du sida.
Bon nombre de ces études sont présentées sur le site Internet de La Dr Rath Health Foundation, afin que chacun, qu'il s'agisse de patients, de professionnels de la santé ou de politiciens, puisse bénéficier immédiatement de ces connaissances essentielles à la vie et contribuer à les diffuser.
Le programme des Nations Unies sur le sida profite à l'industrie pharmaceutique. La plupart des programmes des Nations Unies sont sous l'influence des groupes d'intérêts pharmaceutiques. Cela concerne également le programme des Nations Unies sur le sida. Nous devons comprendre que l'industrie pharmaceutique a engagé, dans les pays en voie de développement et dans les pays industrialisés, une bataille pour sa crédibilité. Ces pays prennent de plus en plus conscience qu'il existe des alternatives aux médicaments, qui non seulement sont plus efficaces, mais qui sont également infiniment moins chères et que l'on peut se procurer sans devoir payer des droits de brevet exubérants. C'est ainsi que de nombreux gouvernements du monde ont donc découvert le manque de scrupules et le caractère frauduleux du commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie et réorientent leurs politiques nationales de santé et prônent l'utilisation de produits de santé naturelle.
Nous devons comprendre que chaque pays qui décide de se défaire du commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie, enfonce un clou dans le cercueil de cette industrie d'investissements. Une telle décision ne signifie pas uniquement que les revenus de l'industrie pharmaceutique ne seront réduits, dans ce pays, qu'à une portion congrue. Il y a une conséquence beaucoup plus importante : chaque pays qui tourne le dos au commerce pharmaceutique avec la maladie, permet au monde d'ouvrir les yeux sur ce commerce frauduleux avec la maladie qui, depuis un siècle, est soutenu et encouragé par les groupes d'investissements de l'industrie pharmaceutique.
Si de plus en plus de pays se libèrent du joug du cartel pharmaceutique, cela aura des conséquences dévastatrices pour ce secteur. Imaginez ce qui se passera lorsque de plus en plus de pays se rendront compte que l'épidémie du sida peut être enrayée grâce à un apport suffisant en vitamine C et autres thérapies naturelles non brevetables. Imaginez la réaction des gens lorsqu'ils se rendront compte que l'industrie pharmaceutique a fait sciemment de la rétention d'informations vitales en ce qui concerne ces substances naturelles.
En ce moment même, nous assistons, au niveau mondial, au rejet des industries pharmaceutiques. Les gouvernements de Jordanie, des Emirats Arabes Unis, du Nigeria, d'Afrique du Sud, de l'Angola, du Malawi et de bien d'autres gouvernements africains, ainsi que la République Populaire de Chine ont décidé d'opter pour une stratégie de soins naturels de santé. L'industrie pharmaceutique ne se trouve pas uniquement face à un effet domino, c'est l'équivalent de l'effondrement du mur de Berlin pour le "commerce mondial de l'industrie pharmaceutique avec la maladie".
Afin de servir les intérêts des nations et des peuples les plus touchés par le sida, les Nations Unies et toutes ses organisations doivent profiter de ces avancées dans le domaine de la santé naturelle et mettre, le plus vite possible, ce savoir et ces thérapies à disposition des peuples du monde entier.
Le Dr Rath a à faire à ces groupes d'intérêts aussi puissants que l'industrie pharmaceutique depuis le jour où il est devenu le successeur du double prix Nobel Linus Pauling. Dès le début, il était pleinement conscient que, à elle seule, la découverte sur le lien entre le scorbut et les maladies cardiaques allait déstabiliser pour toujours le marché de plusieurs millions de dollars de l'industrie pharmaceutique. C'est donc en toute connaissance de cause qu'il a pris la décision de reprendre le combat pour libérer l'humanité du joug de cette industrie de nature frauduleuse et immorale.
Avec du recul, il y a quelques leçons importantes à tirer. Si un scientifique, un être humain peut avoir une influence telle sur le cours des évènements et s'il peut faire plier la plus grande industrie d'investissements du monde, cela ne tient pas uniquement à sa force. Si le Dr Rath a pu, avec quelques autres, préparer le déclin de la plus grande industrie d'investissements du XXe siècle, c'est parce que sa nature même était basée sur un leurre : promettre la "santé" et vendre encore plus de maladies.
Une fois l'artifice dévoilé, il n'y avait plus de défense pour empêcher son déclin. Ainsi, pendant toutes les années au cours desquelles le Dr Rath a confronté l'industrie pharmaceutique et où il l'a accusée publiquement de frauder et de mettre en péril la vie de millions de personnes, elle n'a jamais osé répliquer ouvertement. Et elle n'a jamais remis en question les découvertes scientifiques du Dr Rath.
En revanche, quelques faiseurs d'opinion du domaine médical et médiatique, dépendants de l'industrie pharmaceutique, se sont efforcés de me discréditer en tant que personne. Mais tel est le destin de toute personne qui ose se battre pour ce qui est juste. Le Dr Rath espère que de nombreux jeunes, ainsi que les générations futures pourront tirer des leçons de cet exemple et, quand leur temps sera venu, auront le courage de se battre pour ce qu'ils considéreront comme juste.
En ce qui concerne la sécurité personnelle du Dr Rath, beaucoup de personnes me demandent si il ne craint pas pour sa vie. Ils font référence au tout dernier livre de John le Carré La constance du jardinier et au fait que le modèle commercial de l'industrie pharmaceutique n'a aucun respect pour la vie. John le Carré a lui-même écrit dans l'épilogue de son livre que, en travaillant à son oeuvre, il s'était rendu compte que "au regard de la réalité avec l'industrie pharmaceutique, ce livre se lisait comme une carte postale de vacances".
Lorsque l'on se trouve, comme le Dr Rath, dans une situation privilégiée de pouvoir faire bouger quelque chose en faveur de la vie de millions de personnes pour les générations à venir, on prend la bonne décision. Proclamer la vérité haut et fort et partout est la meilleure façon de se protéger des groupes d'intérêts à qui on s'oppose. La série de lettres ouvertes qu'il a publiées au nom de sa fondation dans de nombreux pays n'était qu'une nouvelle étape dans ce processus.
Depuis le tout début de la crise internationale actuelle, les êtres humains du monde entier considéraient avec méfiance la soi-disant "guerre contre le terrorisme" annoncée par l'administration Bush. Dans chaque manifestation contre cette guerre, peu importe l'endroit où elle avait lieu, on voyait des affiches qui révélaient les vrais motifs de cette guerre : le pétrole.
Si le pétrole est l'unique objectif, il n'est pas nécessaire d'attiser partout une hystérie collective; il est inutile de transformer les États-Unis en état paramilitaire et il est inutile de créer un service "Big Brother" comprenant 67 000 employés espionnant leurs concitoyens – tout cela sous le prétexte de la "sécurité intérieure de la patrie". Cela n'a de sens que si l'on a peur de quelque chose dans son pays et que la population tout entière représente un danger potentiel pour ses intérêts économiques et menace son rôle politique.
Comme le Dr Rath l'a expliqué, à plusieurs reprises, dans ses lettres ouvertes, le principal bénéficiaire de la crise actuelle, de la guerre contre l'Irak et d'une possible troisième guerre mondiale est l'industrie pharmaceutique. En août 2001, alors qu'elle s'attendait à être confrontée, partout dans le monde, à des procès, qui l'auraient affaiblie, l'industrie pharmaceutique n'a pas été seulement le principal bénéficiaire des évènements tragiques du 11 septembre. Dans un dernier effort pour stabiliser la perte en crédibilité de leur affairisme frauduleux, les groupes d'investissements, qui soutiennent cette industrie, devaient s'attendre à la perte de tous leurs investissements.
Il faut comprendre qu'il n'y a pas un seul secteur de la société qui ne soit concerné, quand on est capable de créer, selon un modèle basé sur la fraude, la plus grande industrie d'investissements au monde et que cette dernière est dévoilée. C'est exactement ce à quoi est actuellement confronté le groupe Rockefeller. C'est pour cette raison que Donald Rumsfeld, un ancien cadre d'entreprises pharmaceutiques multinationales, a été nommé au poste de ministre de la Défense, une fonction qui décide essentiellement du lieu et de la durée des bombardements. C'est pour cette raison que l'industrie pharmaceutique a été la seule grande source de financement de la compagne électorale de George Bush, y compris celle des élections législatives de novembre 2002 qui ont eu lieu à la moitié de son mandat, et qui ont été largement dominées par le thème de la guerre.
Il ne faut pas se laisser tromper par ces groupes d'intérêts qui, confrontés à leur propre fin, sont prêts à entraîner l'humanité entière avec eux. Il y a 500 ans, une situation similaire a provoqué, en Europe, la transition entre les temps médiévaux et les temps modernes. Confrontés à leur propre fin, les dirigeants de l'époque se sont lancés dans une guerre contre leur propre peuple. Au cours de la "guerre de 30 ans" (1618 – 1648), un tiers de l'Europe a été détruite et des dizaines de millions de vies ont été sacrifiées.
Il y a 400 ans, des millions de gens simples ont pu, en Europe, apprendre à lire et à écrire grâce à l'invention de l'imprimerie et aux premiers livres traduits du latin. Cette "libération de l'analphabétisme" a mis fin au Moyen âge en Europe et a été à l'origine de ce que l'on appelle aujourd'hui les temps modernes. Aucune force armée, aucune guerre, aucun dictateur ne pouvait empêcher ces millions de gens simples de faire usage de leur droit d'apprendre à lire, à écrire, de leur droit au savoir et à une vie digne.
De même, aujourd'hui, aucune guerre, aucun renoncement aux droits civils, aucun Etat "Big Brother" ne pourra empêcher l'humanité de se libérer du joug du cartel pharmaceutique. Beaucoup trop de personnes sont déjà mortes sans raison, beaucoup trop d'économies politiques ont déjà été ruinées par les intérêts de ces entreprises; maintenant les peuples du monde comprennent ce qui se passe et continueront à lutter pour leur droit à la santé naturelle.
La campagne du Dr Rath, "Make Health – Not War" (oui à la santé, non à la guerre), dévoile les intérêts de l'industrie pharmaceutique dans cette guerre actuelle et ceux qu'elle aura dans la prochaine guerre mondiale, déjà annoncée par l'ancien directeur de la CIA James Woolsey. C'est également un appel à des actions pour empêcher que cela ne se produise. Chacun peut, partout dans le monde, bénéficier tout de suite des grandes avancées dans le domaine de la santé naturelle. Chaque foyer, chaque cabinet médical, chaque hôpital et chaque organisme de prévention qui profitent des avantages de la santé naturelle privent les groupes d'intérêts pharmaceutiques de l'argent dont ils ont besoin pour financer la prochaine guerre. C'est la raison pour laquelle ces deux secteurs sont si étroitement liés.
La population mondiale prend conscience que les groupes d'intérêts qui tolèrent encore, pour des raisons financières, que des millions de personnes meurent de maladies et ceux qui entraînent désormais l'humanité vers une troisième guerre mondiale sont les mêmes. Et la population mondiale se rend compte que ce secteur de la santé est l'unique point stratégique qui permet de changer le sort de notre planète et de la faire évoluer vers un destin plus sain et plus pacifique. L'équation est simple. Il y a une poignée d'investisseurs qui veulent continuer à tirer profit des maladies et de la guerre et il y a les intérêts de plus de 6 milliards de personnes qui veulent vivre dans un monde sans maladie et sans guerre. L'issue de cette bataille est certaine. Les êtres humains du monde la gagneront.
La campagne "Make Health – Not War" a pu voir le jour grâce à la contribution des gens que les thérapies naturelles ont déjà aidés. Cet institut de recherches fournit le savoir et les programmes de santé naturelle qui permettent aux personnes ayant fait un infarctus, souffrant de défaillances cardiaques, faisant de l'hypertension, ayant des problèmes circulatoires dus au diabète, un cancer, de l'ostéoporose ou souffrant d'autres maladies de bénéficier des avancées de la recherche sur les vitamines et de la médecine cellulaire en matière de santé naturelle. Des centaines de milliers de personnes et de patients, sur les 5 continents, profitent déjà de ces avancées. Dans beaucoup de cas, les avantages qu'ils en retirent sur le plan de leur santé dépassent de beaucoup tout ce qu'ils ont connu avec les produits pharmaceutiques.
Par conséquent, non seulement ils tirent profit de l'utilisation de ces produits naturels, mais ils souhaitent également, afin d'aider ceux qui ne connaissent pas encore ces avancées, que ce savoir soit diffusé dans le monde entier. Cette campagne à donc été soutenu par des personnes qui, dans la plupart des cas, ont eux-mêmes bénéficié des avantages de ce en quoi ils croient et ce pour quoi ils luttent dans leur propre vie et dans leur propre corps. Sans cela, cette campagne d'informations mondiale n'aurait pas été possible.
Les résultats les plus importants de la campagne "Make Health – Not War ont été de dénoncer l'industrie pharmaceutique comme l'instigateur et le principal bénéficiaire de la crise internationale actuelle et de la guerre, et d'avoir apporté une contribution importante au fait qu'aucune légitimité et aucun mandat n'ait été accordés à cette guerre par la communauté internationale. Ceux qui l'ont menée peuvent, si les peuples du monde s'unissent pour le réclamer, être tenus pour responsables devant des tribunaux internationaux pour le restant de leur vie.
La publication des lettres ouvertes du Dr Rath dans le "New York Times" a été choisie à dessein. Le New York Times paraît dans la ville qui héberge les Nations Unies. Rarement dans l'histoire de cette institution, autant de politiciens, de chefs d'Etat et de représentants de gouvernement ne se sont réunis au siège des Nations Unies qu'en février et en mars derniers (2007). Les informations contenues dans ces lettres ouvertes et la dénonciation de l'industrie pharmaceutique en tant que principal profiteur de cette guerre sont connues dans presque tous les pays du monde. En outre, de nombreux journaux, surtout dans les plus petits pays ayant un siège au Conseil de Sécurité des Nations Unies comme le Chili, le Pakistan, le Cameroun etc. – mais également la Turquie – ont publié ces lettres ouvertes dans leur pays. Le fait que des millions de personnes dans ces petits pays ont été sensibilisés et informés sur les véritables raisons de cette guerre, a été un facteur déterminant dans le fait que leurs gouvernements ont résisté à l'énorme pression politique et aux tentatives de corruption économique des États-Unis et de la Grande-Bretagne.
Ces deux pays sont les plus grandes nations exportatrices de produits pharmaceutiques du monde. Le produit de la vente de deux cachets sur trois revient dans ces pays, quel que soit l'endroit où ils sont vendus. Et c'est précisément cet argent qui fait que des politiciens de la Maison Blanche et du Downing Street sont corrompus et dépendants; et c'est encore cet argent qui sert, aujourd'hui, au financement de la guerre au Moyen-Orient, ainsi que de la "guerre mondiale" déjà annoncée. Le second objectif atteint réside dans le fait que cette guerre contre l'Irak ne s'est pas transformée en un holocauste nucléaire ou biochimique. En dénonçant les intérêts cachés de cette guerre, il a été également dénoncé le fait qu'une guerre avec des armes de destruction massive aurait automatiquement servi de base stratégique à l'industrie pharmaceutique pour établir des lois martiales partout dans le monde et abolir des droits civils dans les tous les pays, afin de consolider son monopole.
La survie de l'industrie pharmaceutique était, et continue d'être tributaire d'une guerre faisant intervenir des armes de destruction massive sur le champ de bataille ou par le biais d'attaques organisées sur le territoire national et ce dans les plus brefs délais. Il est également un fait historique que chaque jour, chaque semaine qui passe sans que rien ne se produise, prive l'industrie pharmaceutique de la possibilité d'imposer des lois muselières globales et ainsi de consolider son monopole sur le "commerce avec la maladie" en général. En dénonçant mondialement ces plans, les milieux d'investissements de l'industrie pharmaceutique ont été empêchés d'atteindre leurs objectifs.
Soit dit en passant, la publication de ces lettres ouvertes se lit comme un roman d'espionnage ou un épisode de l'inspecteur Colombo. Lorsque l'officier de police n'est pas certain du crime d'un suspect éventuel, il le confronte avec quelques pièces à conviction afin de tester sa réaction. Telle était également l'intention du Dr Rath lorsqu'il a publié ses lettres ouvertes. Si il avait raison, et il savait que c'était le cas, les "criminels" se devaient d'agir.
Et quelle ne fut pas leur réaction ! A peine 24 heures (1 jour) après que l'industrie pharmaceutique ait été dénoncée comme étant le plus grand profiteur économique de la tragédie du 11 septembre et de la guerre actuelle, le soi-disant "cerveau" du 11 septembre a été présenté à l'opinion publique mondiale stupéfaite. Après la traque des prétendus cerveaux à l'origine de la tragédie du 11 septembre, menée par les armées de plusieurs pays à travers les monts de l'Hindukush pendant un an et demi, un cheik a soudain été trouvé, dormant paisiblement dans un appartement au Pakistan, et a été arrêté.
Pendant toute une semaine, la presse américaine s'est alimentée de cette "capture sensationnelle" – qui, de toute évidence, était une distraction organisée par les médias. Mais presque personne en dehors des États-Unis n'a de toute façon cru à ce coup monté médiatique. La presse internationale soupçonnait déjà un plan caché – et cela, même dans la presse des "alliés". Le journal britannique "The Independent" a titré, à propos du cheik soudainement découvert : "What a convenient discovery" (Quelle découverte opportune).
Les réactions au Congrès américain et dans les administrations du pouvoir exécutif ont été encore plus significatives. De nombreuses personnes douées de bon sens en Amérique avaient déjà soupçonné l'existence d'un plan secret derrière l'attaque du 11 septembre. Elles ont noté avec stupéfaction que des avertissements précis émanant du FBI et concernant l'agression avaient été ignorés, que des dirigeants du FBI avaient contraint au silence ceux qui voulaient s'exprimer au sujet de cette attaque. Plus suspect encore a été le fait que, pendant plus d'un an, les parents des victimes tuées dans le World Trade Center se sont vus refuser une enquête officielle sur le contexte de cette tragédie. Les autorités qui ont bloqué cette enquête n'étaient rien d'autre que la Maison Blanche et le Président Bush lui-même. Les parents de ces victimes ne voulaient rien d'autre que la vérité. Si cette attaque avait réellement été l'oeuvre de "terroristes", n'importe quel gouvernement aurait eu intérêt à mener une enquête, sans perdre de temps et avec tous les moyens disponibles, pour connaître la vérité – non seulement dans l'intérêt des proches, mais aussi dans celui de l'opinion publique mondiale. Vous vous demandez ce que l'administration Bush pouvait avoir à cacher en bloquant une enquête officielle ?
Ces soupçons ont encore été renforcés par les lettres ouvertes du Dr Rath exposant aux membres du Congrès américain ébahis, au pouvoir exécutif américain et à une large opinion publique que, 70 ans auparavant, un évènement semblable avait déjà eu lieu. Le 28 février 1933, le parlement allemand a été incendié. Cet évènement aussi a immédiatement été utilisé pour supprimer des droits civils et faire voter des pleins pouvoirs (Loi sur la sécurité intérieure) qui sont devenus le fondement légal d'une dictature économique et politique, ainsi que le fondement de la seconde guerre mondiale.
Aujourd'hui, il est un fait historiquement établi que cette attaque du parlement allemand ("Reichstag") avait été soigneusement planifiée d'avance par les groupes d'intérêts qui s'en sont servi afin de préparer la société allemande à leur guerre de conquête – la seconde guerre mondiale. Il est également un fait établi que la loi des pleins pouvoirs qui supprimait la plupart des droits civils, avait déjà été préparée à l'avance. Aujourd'hui, 70 ans plus tard, la communauté politique américaine a appris qu'elle a été trompé exactement de la même façon. Et ceux qui ont mis au point ce projet, ne se sont même pas donnés la peine d'en changer la formulation. Il y a 70 ans, le principe légal visant à abolir les droits civils était appelé "Gesetz zum Schutz von Heim und Reich" (Loi pour la protection de la Patrie et du Reich). Ceux qui ont tiré parti de la tragédie du 11 septembre l'ont baptisé, analogie frappante, "Loi sur la sécurité intérieure". Ces "législateurs" ont-ils réellement cru que la population mondiale ne serait pas capable de regarder 70 ans en arrière et de voir ce que dissimule un tel plan ?
Un tollé s'est élevé dans les rangs du Congrès, dans le monde politique et au sein des pouvoirs exécutifs. Ils n'avaient soutenu l'administration Bush que parce qu'ils croyaient à une "guerre contre le terrorisme". À présent, ils apprenaient l'existence d'un plan secret, échafaudé par ceux qui dirigent actuellement à la Maison Blanche. De plus, les politiciens américains et les administrations du pouvoir exécutif américain savaient que la population américaine – leurs électeurs – lisent également le New York Times et leur poserait des questions auxquelles ils ne pourraient peut-être pas répondre.
Les téléphones ne sont pas restés silencieux à la Maison Blanche et au ministère de la justice des États-Unis. Anxieux, les politiciens et les législateurs signifiaient clairement qu'ils ne voulaient pas être mêlés à un "coup" de ce genre au nom du Groupe Rockefeller et de ses marionnettes politiques à la Maison Blanche.
La réaction n'a pas tardé. Quatre jours plus tard, – dans une manoeuvre surprise -, le ministre de la Justice américain John Ashcroft a dû présenter à l'opinion publique la Loi baptisée "Patriot Act N° 2". Le public américain, stupéfait, a ainsi appris que les lois en vigueur contre le terrorisme étaient soit disant insuffisantes et devaient être étendues. Le point central de ces modifications n'était rien d'autre qu'une immunité générale pour toutes les administrations du pouvoir exécutif des États-Unis, qui exécutaient les ordres de l'administration Bush.
Ainsi, d'un trait de plume, Bush, Ashcroft et les autres marionnettes politiques du Cartel ont tenté d'assurer l'immunité à tous ceux soutiendraient leurs actes malhonnêtes et leurs crimes de guerre. S'il restait encore la moindre interrogation concernant la véritable toile de fond du 11 septembre et le véritable objectif de la crise internationale actuelle, les réactions de l'administration Bush aux informations contenues dans les lettres ouvertes du Dr Rath devraient ouvrir les yeux de toute personne douée de bon sens en ce monde.
Il y a eu des réactions venues du monde entier, d'universités réputées, d'organisations gouvernementales, de médecins et, bien sûr, de nombreux patients et de bien d'autres personnes. La réaction la plus courante a été un geste de remerciement pour leur avoir ouvert les yeux sur le lien entre la lutte pour la survie de l'industrie pharmaceutique et la crise internationale actuelle. De nombreuses personnes ont demandé de plus amples informations, soit dans le domaine des thérapies naturelles alternatives, soit des informations relatives aux dessous du "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique.
Il convient de noter tout particulièrement les réactions en provenance des États-Unis où de nombreuses personnes ont réalisé que leur propre gouvernement ne représentait plus les intérêts de la majeure partie de la population, mais essentiellement ceux d'un petit groupe d'entreprises, parties prenantes dans les intérêts pétrochimiques et pharmaceutiques Rockefeller. Si vous viviez à New York et si vous aviez constamment pensé qu'il y avait quelque chose qui ne collait pas dans la version officielle de la tragédie du 11 septembre, vous seriez reconnaissant que quelqu'un vous explique enfin les raisons pour lesquelles votre propre gouvernement bloque une enquête officielle indépendante.
Je pense qu'il est grand temps que non seulement la population de New York, mais également la population du monde entier apprennent la vérité sur les dessous de la tragédie du 11 septembre. D'autant plus qu'elle a été utilisé pour réitérer ce coup monté à l'échelon planétaire en contraignant le monde entier à se lancer dans une croisade contre des terroristes illusoires.
Des personnes ont demandé au Dr Rath si il pensait réellement que Bush et son entourage auraient délibérément risqué la vie de 3000 personnes le 11 septembre. Sa réponse est simple : il s'agit à peu près du même nombre de personnes qui meurent tous les 10 jours (!) à cause des effets secondaires mortels et inconnus des médicaments.
Étant donné que, d'une part, la Maison Blanche bloque une telle enquête et que, d'autre part, elle utilise constamment cet évènement pour entreprendre une guerre mondiale, ce sujet n'est plus une question nationale propre aux États-Unis. Il est du devoir des Nations Unies d'exiger et d'entreprendre une enquête indépendante sur cette tragédie. Cette demande est légitime parce que New York est non seulement le siège des Nations Unies, mais aussi parce que l'ensemble des discussions et des débats dans ce forum mondial ont, pendant un an et demi, été éclipsés par cette tragédie. Il est temps que les êtres humains et les gouvernements du monde entier réagissent et que les questions relatives aux dessous du 11 septembre trouvent une réponse. Et il serait préférable pour le gouvernement des États-Unis de coopérer davantage dans le cadre de cette enquête internationale – sous peine d'y perdre sa crédibilité.
On peut se demander si l'attaque du 11 septembre transformera les États-Unis en une dictature. En fait, c'est déjà le cas. Nous ne parlons pas de la dictature d'un seul être humain ou d'un parti politique. Nous parlons de la dictature d'un petit groupe d'intérêts économiques qui utilise le gouvernement actuel comme une marionnette pour consolider ses intérêts mondiaux. Déjà en janvier de cette année (2007), un groupe de citoyens inquiets, rassemblés autour de Ralph Nader, de l'actrice Susan Sarandon et de représentants de l'organisation écologique Green Peace, a publié une mise en garde de toute une page dans le New York Times intitulée : "Big brother is not coming – He is already here" ("Big Brother n'est pas en train de s'installer – Il est déjà là"). Les termes "Big Brother" font référence au roman de George Orwell, "1984", dans lequel il décrit une société contrôlée, manipulée et abusée par un petit groupe d'intérêts particuliers ayant directement accès à chaque aspect de la vie privée. En effet, une grande partie de ce scénario est déjà réalité aux États-Unis. Il est possible, sans qu'aucune ordonnance d'un tribunal soit nécessaire, de passer au crible les comptes bancaires, de lire les e-mails, de mettre les gens sur table d'écoute, d'ouvrir des lettres, de perquisitionner dans les maisons et de violer d'autres droits civils élémentaires. Toutes ces lois ahurissantes ont été justifiées par les évènements organisés du "11 septembre" et sous le prétexte d'une "Guerre contre le terrorisme".
L'un des droits de l'être humain les plus fondamentaux que l'actuelle administration américaine s'efforce de retirer à la population américaine est le droit d'accéder librement aux informations sur les thérapies naturelles. La loi garantit ce droit civil au peuple américain depuis l'adoption à l'unanimité de la "Dietary Supplement Health and Education Act" en août 1994. L'accès aux thérapies naturelles et aux informations sur les moyens naturels de prévention et de traitement des maladies est un objectif si sacré pour le peuple américain qu'il n'en tolérerait pas sa restriction en temps de paix. Plus de 50% de la population américaine absorbe quotidiennement des substances micronutritives pour améliorer son état de santé. La seule façon de supprimer ce droit est donc de l'imposer dans le cadre d'une "loi martiale".
Et c'est précisément pour cette raison que l'administration Bush ne cherchera pas à établir la paix au Moyen-Orient – bien au contraire. Elle utilisera l'Irak de l'après-guerre comme tremplin pour intensifier une crise internationale et provoquer d'autres guerres où il sera fait usage d'armes de destruction massive. Sans le règne d'une terreur mondiale de cette ampleur, il lui serait impossible d'atteindre ces objectifs !
La population américaine et le monde entier doivent se montrer extrêmement vigilants et essayer de déchiffrer cet imbroglio subtil de tactiques et d'astuces, employées par le cartel et ses actionnaires politiques pour atteindre leurs vrais objectifs sous la mascarade d'une prétendue "Guerre contre le terrorisme".
Le cartel pharmaceutique veut tirer profit d'une guerre où interviendraient des armes de destruction massive. Quand vous voyez qu'un évènement tel que la destruction de deux édifices à New York et la mort de 3.000 personnes a pu être utilisé abusivement pour plonger tout un pays dans un état de peur, permettant la suppression de presque tous les droits civils, vous pouvez en tirer vos propres conclusions. Les intérêts du cartel pharmaceutique sont de nature mondiale. Il ne peut tolérer qu'un continent ou même seulement quelques pays échappent à ses mécanismes de contrôle.
Si, par exemple, les pays de l'Amérique du Sud venaient à montrer la supériorité des thérapies naturelles sur les produits pharmaceutiques, il s'ensuivrait l'anéantissement de tout le monopole mondial des activités frauduleuses de l'industrie pharmaceutique. À l'ère de l'Internet et de la communication mondiale instantanée, l'éradication de maladies par des moyens naturels, et quel que soit l'endroit, serait immédiatement diffusée à tous les autres coins du monde. Dès lors, toute contre-mesure imposée par le Cartel pharmaceutique – dans ses stratégies – se doit d'être, de par sa nature, mondiale.
Le plan du cartel pharmaceutique consiste dès lors à multiplier, à l'échelle mondiale, le facteur psychologique de la peur né du 11 septembre. La meilleure façon d'y parvenir est une guerre au cours de laquelle des armes de destruction massive seront utilisées. Et la meilleure façon de provoquer une telle guerre est de la débuter dans une région où les pays sont supposés posséder de telles armes et seront prêts à les utiliser s'ils sont menacés de disparition. Toute utilisation d'armes de destruction massive, sur le champ de bataille ou dans le métro de New York ou de Londres, du fait de la vengeance provoquée chez certains par la brutalité de la guerre, servirait à légitimer l'exigence du cartel pharmaceutique de l'application au niveau mondial d'une loi martiale. Cette situation aurait à son tour pour effet de créer une atmosphère internationale permettant d'étendre, au niveau mondial, le régime "Big Brother", actuellement en vigueur aux États-Unis.
À présent que les révélations de ce plan dans les lettres ouvertes du Dr Rath ont eu pour effet principal d'anéantir cette stratégie, un plan alternatif a été élaboré. Ce n'est pas un hasard si la nouvelle épidémie, le SARS (Syndrome respiratoire aigu sévère), est devenue un facteur de peur générale durant la semaine même où les stratèges à l'origine de la guerre en Irak ont reconnu qu'ils ne pourraient pas matérialiser leur plan favori, à savoir provoquer une guerre avec des armes de destruction massive.
L'hystérie mondiale relative au SARS, attisée par les médias, n'a rien de commun avec le danger réel présenté par cette épidémie. Le SARS est simplement une maladie virale qu'il est possible, comme pour n'importe quelle autre maladie virale, de contenir et de prévenir en prenant des quantités optimales d'acide ascorbique (vitamine C) et certaines autres molécules naturelles. Toutefois, ces molécules ne sont pas brevetables et ne sont, de ce fait, pas recommandées. Par contre, ce qui fait l'objet d'une promotion au niveau mondial, c'est la crainte d'une certaine épidémie mystérieuse et cette menace ne sert que les intérêts du Cartel : elle ramène ainsi l'esprit des gens dans un état de dépendance à l'égard de l'industrie pharmaceutique et favorise un climat dans lequel il est possible d'expédier le vote, tout au moins pour certaines, de lois plénipotentiaires.
Il n'y a aucune raison de redouter le SARS. Elle est causée par le corona virus, lequel est connu depuis longtemps. Deux cuillerées de vitamine C en poudre par jour, associées à quelques autres vitamines qui renforcent le système immunitaire, constituent la mesure appropriée pour contrôler le SARS, comme toute autre maladie virale. L'ascorbate (vitamine C) étant réputé pour bloquer à plus de 99% les virus les plus agressifs qui soient connus à ce jour – le virus HIV du SIDA -, il peut également endiguer efficacement le virus du SARS.
Au lieu d'alimenter une crainte mystérieuse qui ne sert que les groupes d'intérêts particuliers, les politiciens, les professionnels en charge de la santé, tout le monde en général devraient contribuer à faire connaître à d'autres personnes les moyens naturels et disponibles dès maintenant pour endiguer le SARS, ainsi que d'autres problèmes de santé.
Dans l'une de ses lettres ouvertes, le Dr Rath a mentionné le groupe Rockefeller et la Commission Trilatérale financée par Rockefeller comme étant l'organisation clé derrière George Bush et son administration. Le 13 septembre 1998, deux ans avant l'élection de George Bush, le New York Times a publié un grand article de recherche intitulé "Existe-t-il un rôle pour un autre Bush ?" Cet article met en évidence les liens reliant la dynastie Bush au groupe Rockefeller, à l'industrie pétrochimique, ainsi que d'autres liaisons nationales et internationales. L'article déclarait qu'avec George Bush junior, la "Commission Trilatérale financée par Rockefeller" ferait à nouveau son entrée à la Maison Blanche. Cet article souligne également le fait que George Bush senior, vice-président sous Reagan et président pendant la première guerre contre l'Irak, avait fait partie de cette Commission Trilatérale.
Le consortium Rockefeller a, pendant la première moitié du vingtième siècle, étendu son pouvoir du secteur pétrochimique au secteur pharmaceutique. Avec toujours plus de capital pour administrer et à réinvestir, il était évident que le cadre national du groupe Rockefeller ne suffirait plus aux besoins d'un organisme d'investissement mondial. Dès lors, en 1972, le groupe Rockefeller décida de fonder un groupe informel de personnes chargées de coordonner ses intérêts financiers dans le monde entier.
Les trois piliers de l'organisation devaient représenter les trois centres de puissance économique de notre époque; les États-Unis, l'Europe et le Japon – d'où l'appellation "Trilatérale". Le premier président de la commission, qui en est encore à ce jour président honoraire, se trouve être David Rockefeller lui-même. Ce groupe se compose de banquiers, de directeurs de sociétés et autres "acteurs mondiaux" qui ne peuvent rejoindre ce groupe "que sur invitation". Leurs réunions se tiennent à huis clos; mais curieusement, ils ont un site Internet officiel : trilateral.org. Ce site présente également la liste des membres du groupe et se lit comme un "Who's Who" de la haute finance.
Aucune organisation de ce genre n'est fondée sans poursuivre un but précis. La Commission Trilatérale a pour objectif de créer un "Nouvel ordre mondial" qui, pour l'essentiel, doit assujettir la planète Terre aux intérêts du Cartel pétrochimique et pharmaceutique. Cette commission n'a fait aucun secret de cela et ses idées ont été reprises par ses "maîtres à penser", tels que Richard Perle, Paul Wolfewitz, Donald Rumsfeld et quelques autres qui se trouvent actuellement au Pentagone et dans l'administration Bush ou gravitent autour.
Il n'est point besoin d'être diplômé d'histoire ou de sciences politiques pour savoir que un et un font deux. Les craintes évoquées, en 1998, dans l'article du New York Times sont devenues réalité; avec l'administration Bush, la "Commission Trilatérale financée par Rockefeller" a fait son entrée à la Maison Blanche et au Pentagone, les centres politiques et militaires les plus puissants qui soient au monde. Il n'y a jamais eu le moindre doute quant au fait que les marionnettes politiques de la Commission Trilatérale profiteraient de cette opportunité et poursuivraient, de façon brutale et sans scrupules, leur objectif consistant à établir un Nouvel ordre mondial.
Quiconque éprouverait des doutes à ce sujet devrait se souvenir de la force avec laquelle l'administration actuelle a faussé, en sa faveur, les résultats des élections de 2000 et a mis, à tous les postes stratégiques de l'administration, des "faucons" de nature inflexible pour édifier le "Nouvel ordre mondial" du groupe Rockefeller. Le Dr Rath a jugé qu'il était nécessaire et important de dénoncer, dans l'une de ses lettres ouvertes parues dans le New York Times, la connexion Rockefeller qui se cache derrière la recherche d'une guerre mondiale. Richard Perle, "le maître à penser" de Rockefeller n'a "survécu" que quelques jours à la dénonciation, dans une lettre ouverte, de cette Commission Trilatérale. Il a ensuite dû démissionner de son poste au Pentagone sous un prétexte quelconque.
Il va sans dire que le cours de l'histoire, l'avenir de cette planète, ne peut changer et ne changera pas tant que ces connexions ne seront pas dénoncées et montrées à la population mondiale. Les groupes d'intérêts qui tirent profit de la pérennité des maladies et d'une troisième guerre mondiale ont des noms et des visages. Ces noms et ces visages doivent être connus de la population mondiale.
Ces personnes sont connues du monde entier. Aussi longtemps qu'elles sont actives dans la Commission Trilatérale de Rockefeller, elles sont responsables de tout ce qui se produit au nom du Cartel Rockefeller. Elles doivent être, par conséquent, tenues pour responsables de tous les agissements actuels de l'administration Bush. À présent que cette dernière a mené une guerre au mépris de tout droit international, ces groupes d'intérêts doivent également être tenus pour responsables des crimes de guerre qui ont été commis. Tous ceux "qui ont fait George Bush" doivent également être inculpés pour massacre, crime de guerre, exploitation, pillage et pour tout autre acte illégal exercé par l'administration Bush. Et toutes ces personnalités dirigeantes doivent en être informés.
C'est seulement au mois de mars dernier (2007) que la Cour Pénale Internationale a été instaurée à La Haye, Pays-Bas. Il n'est pas étonnant que l'administration Bush ait vigoureusement combattu la création de cette Cour. Elle savait que ses membres pourraient être les premiers à y être traduits en justice, que leurs actes y seraient minutieusement examiner devant le monde entier et que les responsables devraient y rendre des comptes. Au Tribunal de guerre de Nuremberg, en 1947, les dirigeants des industries qui avaient fomenté la deuxième guerre mondiale – les cadres du cartel pétrochimique et du cartel pharmaceutique I.G. Farben – ont également été condamnés pour de tels crimes de guerre.
Avec une population mondiale unanimement solidaire dans la condamnation de cette guerre contre l'Irak et de toute guerre future, comment les membres de cette Commission Trilatérale financée par Rockefeller peuvent-ils empêcher leur comparution en justice ? Il sera à jamais incompréhensible que des personnalités dirigeantes de haut niveau puissent être si peu prévoyantes. Dans un monde où la communication est transparente, il faudrait effectivement une loi martiale générale pour empêcher la propagation de ces informations à travers le monde entier et éviter qu'il leur soit demandé des comptes. La seule question est de savoir quand aura lieu cette procédure.
Dans certaines parties du monde, les souverains sont encore visibles et sont honorés par la population au travers de photos présentes en tout lieu. Les personnes les plus puissantes du monde optent pour une autre voie. Elles exercent leurs pouvoirs en secret et détestent la publicité. Le groupe Rockefeller contrôle plus de 200 sociétés pharmaceutiques, grandes et petites, sans que personne n'en fasse étalage. Le groupe Rockefeller est derrière quelques unes des institutions financières les plus influentes du monde, y compris la Chase Manhattan Bank, entre autres. Le groupe Rockefeller possède, bien évidemment, le consortium Exxon, ainsi que d'autres sociétés multinationales pétrochimiques. À eux seuls, les revenus annuels d'Exxon sont plus élevés que le produit national brut de la moitié des pays de la planète.
Le consortium Rockefeller contrôle également les médias, y compris Time Warner, CNN et tout un réseau de journaux, de stations de radio et de télévision. Dès lors, il n'est pas surprenant que l'opinion publique américaine ait pu être manipulée au point que de nombreux innocents ont été induits en erreur et ont soutenu des actes illégaux tels qu'une guerre menée au mépris de tout droit international. Et ceux qui avaient des doutes, ils ont encore été manipulés par des "sondages d'opinion" rétribués, dont les résultats ont été ouvertement remis en question dans le New York Times et ailleurs.
Le pendant du groupe Rockefeller aux États-Unis se trouve être le groupe Rothschild qui a une influence décisive dans l'industrie pharmaceutique en Grande-Bretagne, la deuxième plus grande nation exportatrice de produits pharmaceutiques au monde.
Il faudrait absolument que les gouvernements du monde portent plainte auprès de la Cour Pénale Internationale de la Haye contre George Bush, Donald Rumsfeld et d'autres ! La communauté internationale a longtemps oeuvré à la création de ce tribunal qui a été instauré pour juger les violations du Droit International, en particulier les crimes de guerre, commis lors de guerres déclenchées ou menées sans aucune légitimation internationale. Quand, si ce n'est aujourd'hui, existe-t-il une situation où ceux qui ont déclenché la guerre contre l'Irak et qui sont sur le point de créer des conflits dans d'autres pays, doivent être traduits en justice ? S'il ne leur est pas mis un frein maintenant, ils continueront à tourmenter les êtres humains du monde entier, à mettre leurs vies en danger et à courir le risque d'entraîner la planète Terre à sa propre perte. De même, la population mondiale doit comprendre que l'industrie pharmaceutique, la plus grosse industrie d'investissement au monde, est condamnée. Elle disparaîtra – et la seule question est de savoir à quel moment. Ensuite, il n'est pas question que ceux qui sont coupables d'avoir fait ce commerce sans scrupules avec la maladie et qui sont responsables de la mort inutile et prématurée de millions de personnes, ne soient pas condamnés à disparaître avec elle. Croyez-vous qu'ils abandonneront volontairement ?
Les peuples du monde et les gouvernements qu'ils ont élus doivent prendre conscience de cette situation. L'administration Bush favorise volontairement l'escalade vers une nouvelle guerre mondiale. Et c'est ce qu'elle fera si les peuples du monde ne l'en empêchent pas. Étant donné qu'il n'est pas possible de l'en empêcher militairement sans risquer une guerre mondiale, il faut l'arrêter par d'autres moyens disponibles, à savoir la voie économique et la voie politique.
La voie économique implique le blocage du "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique en réorientant les systèmes de soins nationaux des pays du monde entier vers des thérapies naturelles et en refusant de payer les droits de brevet pour un petit nombre de médicaments qui pourraient peut-être encore être nécessaires, comme par exemple les antibiotiques.
La voie politique revêt une importance légale et doit être empruntée sans retard. Les peuples du monde entier doivent forcer leurs gouvernements à entamer une procédure formelle pour crimes de guerre et violation des Droits de l'Homme contre les administrations Bush et Blair. Le tribunal qui sera saisi de ces violations et devra les juger est la Cour Pénale Internationale de La Haye aux Pays-Bas.
Des plaintes doivent être déposées pour le déclenchement et la poursuite d'une guerre au mépris du Droit International, pour massacre, pour exploitation, pillage de biens publics et privés et pour d'autres crimes contre l'humanité, ainsi que pour violations du Droit International. Si nous, peuples du monde et gouvernements de 180 pays permettons à Bush, Blair, au Cartel Rockefeller et aux membres de la Commission Trilatérale de terroriser le monde par des guerres illégales – sans leur demander des comptes -, les Nations Unies et tout son cadre juridique de Droit International, ainsi que tout son système de tribunaux n'auront plus aucune valeur.
Il ne suffit pas de citer à comparaître le gouvernement ou des sociétés. Chaque membre du gouvernement George Bush, Condolezza Rice, Donald Rumsfeld, John Ashcroft, ainsi que tous les autres doivent être cités personnellement. Tommy Franks et les généraux qui mènent cette guerre sans aucun mandat international doivent être cités nommément. Tous les membres du Groupe Rockefeller, de la Commission Trilatérale et des autres organismes encore non identifiés qui ont fomenté, favorisé le pillage de pays étrangers ou en ont tiré un profit économique doivent être cités nommément. Il en va de même pour les Britanniques. Non seulement l'administration Blair, mais également les dirigeants de la Banque Rothschild et les autres profiteurs directs et indirects de cette guerre illégale doivent être dénoncés publiquement. Cette liste doit inclure des banquiers, des politiciens et autres directeurs de sociétés, qu'ils soient originaires des États-Unis, d'Europe ou de quelque autre endroit du monde.
Une autre plainte doit être déposée contre les chefs de l'industrie pharmaceutique pour les crimes qu'ils ont commis, au nom de l'industrie d'investissement qu'est l'industrie pharmaceutique, à l'encontre des peuples et des gouvernements du monde entier. Il faut que tout cela se fasse immédiatement.
Pour faciliter ces mesures, il a été publié sur le site Internet de la Fondation un projet de plaintes, ainsi qu'une liste des principaux accusés. Chaque gouvernement est appelé à prendre des mesures immédiates pour porter plainte officiellement. L'idéal serait que ces mesures soient prises par plusieurs États en même temps, par exemple par une Union Africaine, par les pays d'Amérique du Sud et par les pays asiatiques de façon à minimiser le risque de représailles économiques par ces cartels.
Le plus important réside dans le soutien des peuples du monde entier à leurs gouvernements lors de leurs actions. J'appelle chaque personne en particulier à faire quelque chose pour inciter son propre gouvernement à porter formellement plainte contre ces groupes d'intérêt.
Soit nous, le peuple, permettons à ces forces de précipiter notre planète dans l'abîme, soit nous prenons le contrôle de la situation dès maintenant. Il se peut, bien sûr, que nous, le peuple, soyons obligés de pousser nos gouvernements à déposer une plainte officielle à La Haye. Les gouvernements sont lents et faciles à intimider, surtout lorsque ces intimidations viennent d'une puissance économique forte. Mais sommes le peuple. Y parviendrons-nous ? Bien sûr ! Et les peuples du monde doivent s'unir dans cette entreprise.
Nous devons réaliser ceci : seul le fait de démasquer ces groupes d'intérêts qui sont derrière la guerre, constitue l'étape la plus importante pour empêcher une nouvelle guerre mondiale. Le monde ne peut tout simplement pas se permettre une autre guerre, telle que celle contre l'Irak où l'on a en permanence le risque de déclencher une troisième guerre mondiale. Il est maintenant temps d'agir. Chaque politicien ayant des responsabilités, chaque citoyen de cette Terre doit prendre conscience de cette opportunité historique et agir immédiatement.
Chacun devrait se mettre au courant des percées scientifiques dans le domaine des thérapies naturelles. Chaque personne, qu'elle vive à New Delhi, au Caire, à Johannesburg, à New York, à Buenos Aires ou à Mexico, qu'elle vive dans un pays en voie de développement ou dans un pays industrialisé, devrait s'informer des découvertes dans le domaine des thérapies naturelles qui peuvent remplacer efficacement et immédiatement plus de 80% des médicaments actuellement délivrés sur ordonnance. J'estime que, suite à de nouvelles recherches dans le domaine des thérapies naturelles, 95% des produits pharmaceutiques deviendront superflus dans les prochaines années.
Cela signifie que la population mondiale a la possibilité de supprimer 95% des revenus que le cartel pharmaceutique utilise pour continuer à financer son commerce sans scrupules avec la maladie et pour continuer à soutenir des êtres humains politiques tels que Tony Blair et George Bush dans leurs campagnes électorales. Pensons-y ! Quelle magnifique opportunité pour chacun d'entre nous non seulement d'apporter de suite sa contribution à l'édification d'un monde plus sain, mais également de garantir la paix à cette génération et aux générations de nos enfants et petits-enfants.
En outre, nous devrions organiser des groupes de soutien locaux afin d'amener nos gouvernements à déposer une plainte à La Haye et auprès d'autres tribunaux pour demander des comptes à ceux qui se cachent derrière la crise mondiale actuelle et qui en bénéficient. Montrer ses forces et révéler ses actions au grand jour constituent une condition préalable pour diminuer l'influence future de ces groupes d'intérêt et protéger notre planète et sa population d'autres préjudices qu'ils pourraient causer.
On demande souvent au Dr Rath pourquoi nous n'avons pas vu ou entendu parler plus tôt des intérêts pharmaceutiques qui sous-tendent l'actuel scénario de cette guerre ? La réponse est très simple. Ces groupes d'intérêts se dissimulent derrière un voile de philanthropie et de bienfaisance à l'égard de cette planète. Avant de pouvoir comprendre le manque de conscience et la mesquinerie du modèle des activités de l'industrie pharmaceutique, il est d'abord nécessaire de déchirer le masque de philanthropie pour voir la véritable nature du caractère sans scrupules des investissements de son "commerce avec la maladie". Ceci étant fait, il n'y a plus de temps à perdre. Ce compte rendu propose une stratégie aux peuples du monde et à leurs représentants politiques pour prendre des mesures immédiates pour la sauvegarde de notre planète et pour la transmission à nos enfants d'un monde plus sain et plus pacifique.
Il ne suffit pas pour les Nations Unies de rivaliser avec les États-Unis dans la création d'un gouvernement de l'Irak d'après-guerre. Confiner à cela le rôle de l'ONU équivaut à une capitulation devant le cartel pétrochimique et le cartel pharmaceutique, ainsi que devant des responsables politiques et militaires. Cela ne doit jamais se produire.
Les Nations Unies doivent elles-mêmes être la force motrice pour demander des comptes à George Bush, Tony Blair et les autres qui ont violé le Droit International. Imaginez quelle étape importante ce serait pour notre monde que de porter plainte au nom de la majorité de l'assemblée générale des Nations Unies. Il ne fait aucun doute qu'une telle décision peut être prise et qu'elle le sera.
Les Nations Unies doivent être protégées. Toutefois, elles ne le seront pas si on cède aux intérêts du cartel pharmaceutique et si on tente d'établir un compromis avec lui. Le rôle des Nations Unies, si cette organisation veut jouer un rôle à l'avenir, doit être un rôle de confiance en soi et d'affirmation de sa propre autorité.
Personne, aucun gouvernement, pas même le gouvernement le plus puissant du monde, ne doit pouvoir faire fi des décisions des Nations Unies et espérer s'en tirer à bon compte. Ceux qui le font doivent être traduits en justice et leurs motivations doivent être dénoncées à la face du monde. Tel est le rôle le plus urgent et le plus direct des Nations Unies.
Bien entendu, il en va également de même pour les sous-organisations des Nations Unies telles que l'Organisation Mondiale de la Santé. Il faut de suite mettre sur pied un processus visant à assainir les intérêts de l'industrie pharmaceutique. Il n'est pas permis de tolérer plus longtemps que la population mondiale considère l'OMS comme un organisme qui protège sa santé alors que le statut de la mission principale de cette organisation est depuis longtemps devenu l'instrument des intérêts pharmaceutiques. Cela doit cesser. Dénoncer les intérêts pharmaceutiques comme étant le principal profiteur de la crise actuelle est un pas important permettant également de mettre un terme à une mauvaise utilisation de l'Organisation mondiale de la Santé et de lui rendre sa mission originelle, à savoir améliorer la santé au niveau mondial, notamment dans les pays en voie de développement où cette organisation est la plus nécessaire.
Grâce aux connaissances scientifiques qui sont actuellement disponibles dans le domaine de la recherche sur les vitamines et la médecine cellulaire, il est possible d'éradiquer dans une large mesure trois maladies sur quatre dans les pays industrialisés. Dans les pays en voie de développement, plus de 2 milliards de personnes souffrent de carences en substances micronutritives qui les rendent sensibles aux maladies infectieuses et sujets à d'autres problèmes de santé. Avec une bonne éducation, une meilleure hygiène et des mesures de lutte contre la faim et le chômage, les connaissances sur les bienfaits thérapeutiques des substances micronutritives constitueront un facteur clé pour l'amélioration de la santé et du bien-être des personnes dans les pays en voie de développement.
Et imaginez les capitaux qui seront libérés en faveur de l'éducation et des autres mesures sociales, si l'industrie pharmaceutique ne peut plus faire de prélèvements pour continuer ses activités largement inefficaces et peu sûres résultant de son "commerce avec la maladie". On parle, à l'échelon mondial, de milliards de dollars qui pourraient être utilisés pour prendre des mesures sanitaires préventives, pour l'éducation et pour répondre à d'autres besoins sociaux, si le commerce avec la maladie de l'industrie pharmaceutique est, en partie, banni de cette planète.
Bien sûr, il y aura encore des maladies en l'an 2020, mais les infarctus du myocarde, les attaques cérébrales, le cancer, l'ostéoporose et bien d'autres maux figurant aujourd'hui parmi les problèmes de santé les plus communs ne seront plus généralité. Le Dr Rath, quant à lui, est convaincu que sa Fondation peut apporter une grande contribution au fait que l'humanité puisse atteindre cet objectif important qu'est "la santé pour tous en 2020".
En tant que scientifique ayant dénoncé et combattu ces groupes d'intérêts qui ont, jusqu'à présent, empêché la création d'un monde de paix et de santé, le Dr Rath considère qu'il est de sa responsabilité d'apporter son aide à la population mondiale.
A l'heure actuelle, Internet constitue le principal moyen de communication de la Fondation du Dr Rath. Étant donné que l'Organisation Mondiale de la Santé n'accomplit pas sa tâche qui consiste à communiquer à la population mondiale des informations sur les thérapies naturelles, cette fondation a fait de ce devoir une de ses priorités.
Le site Web de cette Fondation est devenu la principale source mondiale d'informations sur les thérapies naturelles destinées aux patients, aux professionnels de la santé, ainsi qu'aux politiciens du monde entier en charge de ce domaine. Cette fondation travaille intensivement à traduire ces informations dans le plus grand nombre de langues possible.
Chaque personne est encouragée à entrer en contact avec cette fondation par courrier, fax ou e-mail et à leur transmettre des informations relatives à des projets pilotes déjà existants ou programmés dans leur ville, leur commune ou leur pays et faisant appel aux thérapies naturelles.
La fondation du Dr Rath sert également de bureau central pour la campagne visant à exercer une pression sur les gouvernements du monde afin de demander des comptes aux groupes d'intérêt qui profitent des maladies et des guerres. Pour faciliter cette action, un débat international à La Haye (Pays-Bas) est en préparation, qui permettra de rassembler les informations actuellement disponibles pour dénoncer ces mêmes groupes. En agissant de la sorte, l'intention est de faciliter le dépôt d'une plainte formelle par les gouvernements du monde auprès de la Cour Pénale Internationale, sise dans la même ville.
Tels sont deux des projets les plus urgents et chaque personne sur cette terre est invitée à y participer quels que soient les moyens à leur disposition.
Jamais encore dans l'histoire de l'humanité, les peuples du monde n'ont été autant unis dans leur aspiration à un monde pacifique – de la mère du soldat américain mort, à New York, au père de l'enfant tué, à Bagdad, en passant par les milliards de personnes des pays en voie de développement qui, en définitive, paient le prix de l'injustice qui règne sur notre planète.
Face à des gouvernements encore intimidés par la puissance militaire des États-Unis et trop lents à réaliser que le monde a maintenant besoin de s'unir et de faire une déclaration commune, il faut à présent que quelqu'un se lève et dise publiquement ce que pensent des millions de gens : le moment est venu pour les peuples de la terre de prendre position ensemble, de résoudre le problème qui se pose à eux et de bâtir un monde nouveau.
En sa qualité de scientifique dont les découvertes ont contribué à pousser le cartel pharmaceutique dans ses derniers retranchements, avec comme seule échappatoire, celle d'entraîner le monde dans sa chute, le Dr Rath considère qu'il est de sa responsabilité de proposer cet "Agenda 21" en tant que constitution et plan d'action pour un nouveau monde commun au service de la population mondiale. Cet "Agenda 21 des êtres humains" s'énonce comme suit.
Face à cette situation, nous, peuples du monde, avons le choix : soit nous continuons à accepter le joug de ces industries d'investissements qui nous imposent les guerres et les maladies, soit nous nous libérons de nos chaînes et commençons à bâtir un monde guidé par les principes de paix, de santé et de justice sociale.
Nous, peuples du monde, reconnaissons que jamais encore dans l'histoire de l'humanité nous n'avons été plus unis pour préserver la paix, mettre un terme au "commerce d'investissement avec la maladie" et demander des comptes à ceux qui sacrifient la paix et la santé aux profits des sociétés. Dès lors, nous, peuples de l'Est et de l'Ouest, du Nord et du Sud, des pays riches et pauvres, avons décidé de construire un monde de paix, de santé et de justice sociale pour nous-mêmes et pour les générations à venir.
Nous proclamons nos droits fondamentaux :
LE DROIT À LA PAIX. Nous, peuples du monde, sommes déterminés à défendre notre droit à la paix par tous les moyens qui sont à notre disposition. À l'ère des armes de destruction massive, la guerre n'est plus une option pour le règlement des conflits internationaux. Nous nous assurerons qu'il soit possible de demander des comptes à ceux qui mènent une guerre sans mandat explicite conforme au droit international et qu'ils soient traduits en justice pour leurs crimes. Nous n'aurons de repos que lorsqu'ils auront été sanctionnés – peu importe les conséquences économiques ou politiques – parce que nous savons que c'est le seul moyen de protéger notre planète de la destruction.
LE DROIT À LA VIE. Nous, peuples du monde, sommes déterminés à défendre notre droit à la vie par tous les moyens qui sont à notre disposition. Nous n'aurons de repos que lorsque tous les facteurs qui réduisent l'espérance de vie des êtres humains de notre planète auront été supprimés. Nous lutterons contre la faim, la malnutrition et les autres facteurs qui tuent déjà chaque année des millions d'habitants de notre planète, y compris des nouveau-nés et des enfants. Nous mettrons également un terme au "commerce d'investissement avec la maladie" qui a eu pour conséquence de faire mourir prématurément, du fait de maladies qui auraient pu être évitées, davantage de personnes que toutes les guerres de l'humanité réunies.
LE DROIT À LA SANTÉ. Nous, peuples du monde, sommes déterminés à défendre notre droit à la santé par tous les moyens qui sont à notre disposition. Nous nous assurerons que le "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique, le fait de "cultiver" sciemment les maladies pour le profit de sociétés soient proscrits dans le monde entier. Nous demanderons des comptes à ceux qui "cultivent" sciemment les maladies, ainsi qu'à ceux qui font de la rétention d'informations vitales relatives aux thérapies naturelles non brevetables. En proposant à nos communautés des programmes nationaux préventifs en matière de santé naturelle et en les introduisant, nous nous concentrerons sur des approches sûres et efficaces en matière de santé naturelle. L'objectif principal de toute stratégie prophylactique est la prévention et l'éradication des maladies.
LE DROIT À LA JUSTICE SOCIALE. Nous, peuples du monde, sommes déterminés à défendre notre droit à la justice sociale par tous les moyens qui sont à notre disposition. Nous n'acceptons plus que deux habitants de notre planète sur trois vivent dans la pauvreté et l'analphabétisme. Nous nous assurerons que les richesses du monde soient redistribuées de façon à assurer une éducation et une vie digne à chaque citoyen de notre planète. Pour financer cette redistribution, nous utiliserons les ressources financières libérées par la fin du "commerce avec la maladie" de plusieurs milliards de dollars et par la réduction des dépenses militaires.
Nous savons que, pour parvenir à nos fins, ces groupes d'intérêts commerciaux qui propagent la guerre et les maladies, doivent rendre compte de leurs actes devant des tribunaux internationaux pour avoir sacrifié la vie de millions de personnes et pour avoir commis d'autres crimes contre l'humanité.
Grâce à la dénonciation publique et à la condamnation des représentants de ces groupes d'intérêts commerciaux nous surmonterons le dernier obstacle qui permettra aux peuples du monde entier d'en finir avec les "temps sombres de la maladie, de la guerre et de l'injustice" et d'entreprendre, au XXIème siècle, la construction d'un "nouveau monde de paix, de santé et de justice sociale".
Le présent document porte sur l'industrie pharmaceutique qui contrôle les médicaments brevetés tout en combattant la reconnaissance des moyens naturels de guérison. Le Dr Mathias Rath nous décrit les actions qu'il a entreprises au nom de tous les citoyens de la planète pour que ces moyens naturels de guérison deviennent accessibles à tous les citoyens de la planète. Une opinion courageuse à considérer !
Dans son ouvrage "Pourquoi les animaux n'ont pas d'attaques cardiaques, les êtres humains si", les "lois de l'industrie pharmaceutique" sont, pour la première fois, énumérées. Ces lois identifient le commerce pharmaceutique à une industrie d'investissements et non à une industrie de la santé. Elles dévoilent le principe de brevetabilité comme étant un principe qui détourne les objectifs de la recherche de cette industrie pour gagner de l'argent et non pour répondre aux besoins de la population mondiale en matière de santé. Ce livre rend responsable l'industrie pharmaceutique du décès prématuré, au cours de ces dernières décennies, de centaines de milliers de personnes à travers le monde, ainsi que de l'effondrement financier de systèmes économiques entiers. Dénoncer la plus grande industrie d'investissements au monde comme étant un plan servant à escroquer plusieurs milliards de dollars fut un acte courageux. Lorsque le 21 juin 1997, le Dr Rath fis un discours devant 3500 personnes en Allemagne et que, pour la première fois, nommait les choses par leur nom, l'impact s'est fait ressentir aux quatre coins du monde.
La seule raison qui a fait que l'industrie pharmaceutique n'a pas riposté, repose dans le fait qu'il a comparé ce "commerce sans scrupules avec la maladie" avec les plus grands crimes contre l'humanité commis au XXe siècle : les massacres au cours de la seconde guerre mondiale. Il est historiquement reconnu que le plus important cartel pétrochimique et pharmaceutique du monde a financé, il y 70 ans, la prise de pouvoir de Hitler. La Seconde Guerre mondiale avait avant tout pour but la conquête des ressources naturelles en Europe de l'Est et en Asie.
Le Tribunal de guerre de Nuremberg a reconnu en 1946 et 1947 que la Seconde Guerre mondiale aurait été impossible sans le soutien du cartel pétrochimique I.G. Farben. Suite à ce procès, I.G. Farben est devenu Bayer, BASF et Hoechst. Quelques uns de ses directeurs ont été condamnés pour avoir entrepris une guerre dans le non-respect du droit international, pour génocide, exploitation et pillage de biens privés et publics dans des pays étrangers, ainsi que pour d'autres crimes contre l'humanité. L'histoire de l'implication de cette société dans la Seconde Guerre mondiale est retracée dans un ouvrage de Josef Borkin "The Crime And Punishment Of I.G. Farben".
Ainsi, l'industrie pharmaceutique a été sur la défensive dès le début de la stratégie visant à les démasquer. Pas étonnant donc qu'elle n'ait jamais osé riposter ou intenter un procès pour diffamation. Entre-temps, les efforts fournis depuis dix ans pour dénoncer l'industrie pharmaceutique comme étant une escroquerie de plusieurs milliards de dollars ont été confirmés dans un éditorial du "Spiegel", le plus grand magazine d'informations européen. Cet article accuse ouvertement l'industrie pharmaceutique d'escroquerie, de fraude, de mettre la vie des gens en danger, de porter préjudice aux économies des pays à hauteur de plusieurs milliards de dollars, ainsi que de nombreux autres faits que le Dr Rath avait avancés les années précédentes. Plus de 5 ans se sont écoulés entre ma première condamnation publique de l'affairisme de l'industrie pharmaceutique avec les maladies et la vaste couverture médiatique qui confirme aujourd'hui ces faits. Rien de surprenant non plus qu'il existe une étroite relation entre l'industrie pharmaceutique et les décideurs politiques les plus haut placés. Cet article révèle également que, même aujourd'hui, lorsqu'un gouvernement veut aller à l'encontre du commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie, les ambassades américaines interviennent directement au nom du gouvernement américain !
Il est tout simplement inacceptable que la santé de millions de personnes, ainsi que les économies des pays soient sacrifiées au profit d'une poignée d'investisseurs qui se renouvellent constamment et soutiennent de plus en plus de politiciens sans scrupules, parmi lesquels figurent des membres des gouvernements actuels des États-Unis et de Grande-Bretagne, dont le seul but est de préserver de manière artificielle et partout dans le monde ce commerce frauduleux de plusieurs milliards de dollars.
Pourquoi n'avons-nous auparavant rien su de ces percées ? La réponse est évidente. L'industrie pharmaceutique n'est pas une industrie qui a évolué de manière naturelle. Elle a été créée par des investisseurs qui, pour gagner de l'argent avec les maladies, ont dû empêcher, au niveau mondial, l'accès aux traitements naturels non brevetables.
Au début du XXe siècle, le groupe Rockefeller contrôlait déjà la majeure partie de l'industrie pétrolière aux États-Unis et dans de nombreux autres pays. Grâce à ces revenus de plusieurs milliards de dollars, ce groupe d'investissements s'est trouvé un nouveau marché : le corps humain. Les gains ou les taux de capitalisation de cet investissement dépendaient de la brevetabilité des médicaments mis au point. Les milliards de dollars de bénéfice enregistrés par cette nouvelle industrie d'investissements ont été utilisés pour transformer de façon systématique la médecine en une branche d'investissements dirigée par l'industrie pharmaceutique. En l'espace de quelques décennies, la médecine a été placée sous le contrôle de ces groupes d'intérêts grâce à leur influence dans les facultés de médecine, les médias et la politique.
La concurrence des produits de soins naturels représentait l'un des principaux problèmes auquel cette industrie fut confrontée. C'est entre 1920 et 1935 qu'ont été découverts la plupart des vitamines et des principaux nutriments nécessaires à un métabolisme cellulaire optimal. Il était clair pour le monde scientifique que les cellules ne fonctionnent pas correctement sans ces molécules essentielles à leur métabolisme et qu'elles étaient à l'origine des maladies.
Les stratèges en matière d'investissement au service de l'industrie pharmaceutique ont pris conscience de cela et ont lancé une campagne mondiale pour empêcher que les êtres humains du monde entier ne disposent de ces informations vitales. Réprimer l'accès à ces informations ne constituait toutefois qu'un premier pas. D'autres étapes stratégiques visant à mettre en place un plan pour les activités frauduleuses de l'industrie pharmaceutique consistèrent à discréditer les informations de santé concernant les thérapies naturelles non brevetables et enfin à déclarer les témoignages relatifs aux effets préventifs et thérapeutiques des traitements naturels comme étant illégaux.
Toutes ces mesures n'avaient qu'un seul but : protéger l'industrie pharmaceutique qui dépend des médicaments brevetables, mais ne traitant que les symptômes, face aux thérapies naturelles non brevetables, mais essentielles à la santé des cellules. Les réalités scientifiques concernant les molécules naturelles indispensables au fonctionnement de base des cellules et qui sont décrites dans les manuels de biologie, sont devenues une question de vie ou de mort pour l'ensemble de cette industrie d'investissements. S'il était possible de prévenir les maladies en optimisant la santé des cellules grâce à des molécules non brevetables, cela risquait précisément de mettre en péril les fondements de ce commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie. Une maladie dont on peut faire la prévention ou qui peut être éradiquée n'est plus source de profit.
Il est particulièrement important de noter l'influence de l'industrie pharmaceutique sur la profession médicale. En créant des facultés de médecine aux États-Unis, y compris les universités de la soi-disant "Ivy League", dont font partie Harvard, Yale, Mayo Clinic entre autres, la branche d'investissements de l'industrie pharmaceutique a tout simplement acheté des options médicales dans le monde entier. L'enseignement des thérapies médicales s'est de plus en plus concentré sur les médicaments et, parallèlement, les traitements naturels ont été bannis, car considérés comme "dépassés" sur le plan de l'efficacité.
Presque aucun des médecins ayant terminé leurs études au cours des dernières décennies, ne sait que le premier prix Nobel a récompensé, en 1937, les recherches menées sur le rôle de la vitamine C dans le métabolisme cellulaire. Ainsi, durant plus d'un demi-siècle, des générations de médecins, des millions donc à travers le monde, ont quitté la faculté de médecine sans jamais avoir entendu parler du rôle vital et des bienfaits pour la santé des vitamines, des minéraux et des oligo-éléments.
Chacun peut immédiatement imaginer les conséquences dévastatrices de cette stratégie d'investissements sur la santé humaine mondiale si l'on tient compte des faits suivants. Peu de personnes parmi les six milliards d'êtres humains vivant sur Terre savent que notre corps ne produit pas de vitamine C. Aujourd'hui, il est scientifiquement prouvé que c'est cette même molécule (connue pour protéger les artères contre le scorbut, "la maladie des marins") qui est le premier facteur de prévention contre les infarctus, les attaques d'apoplexie et d'autres problèmes cardio-vasculaires. Ainsi, l'exclusion de ces connaissances vitales durant la formation professionnelle des médecins, et ce dans l'intérêt de l'industrie pharmaceutique, a délibérément entraîné une épidémie de maladies cardio-vasculaires, l'épidémie la plus répandue dans les pays industrialisés, ainsi que dans les zones urbaines des pays en voie de développement.
Presque personne sur Terre aujourd'hui ne sait que le corps humain ne produit pas de lysine, un acide aminé naturel et élément essentiel des protéines. Maintenant, on sait que la lysine, cette molécule naturelle, est l'un des facteurs les plus importants pour empêcher la propagation des cellules cancéreuses dans le corps. Le cancer est, par ordre d'importance, la deuxième épidémie dans les pays industrialisés et les médicaments vendus au cours des derniers mois de la vie d'une personne atteinte de cette maladie constituent l'un des marchés les plus rentables du "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique.
En ce début du XXIe siècle, l'humanité sort donc d'un cauchemar. Avec la diffusion d'informations simples en matière de santé concernant des molécules que le corps ne produit pas, mais qui sont indispensables au fonctionnement optimal des cellules, deux vies sur trois dans les pays industrialisés et dans les pays en voie de développement auraient pu être sauvées.
Et nous devons nous rendre compte que tous les êtres humains de la Terre ne sont pas "restés plantés là" un siècle durant, comme s'ils avaient été idiots. Nous devons savoir que l'industrie pharmaceutique a dépensé des milliards de dollars pour pouvoir vivre, pour frauder et pour se faire une façade artificielle de "bienfaiteurs de l'humanité". Pour atteindre cet objectif, cette industrie a dépensé deux fois plus pour faire du "marketing" que ce qu'elle a investi dans la recherche.
Donald Rumsfeld, l'actuel ministre américain de la Défense, était le président-directeur général de plusieurs multinationales pharmaceutiques. Il a reçu plusieurs distinctions pour ses bons et loyaux services dans cette industrie, avant d'être nommé au poste qu'il occupe actuellement dans l'administration Bush. Il ne fait aucun doute que Rumsfeld et tous les cadres de cette industrie – y compris le groupe d'investissements Rockefeller – sont au courant de ces faits. Ils ont une peur bleue que la vérité sur ce commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie ne se propage dans le monde entier comme une traînée de poudre. Si ce devait être le cas, leur sort serait tout tracé : ils seraient tenus pour responsables de la mort de millions de personnes qui auraient pu être soignées s'ils n'avaient pas pris intentionnellement de telles décisions. Ils savent que soit ils détruisent l'humanité par une guerre et dans un scénario mondial du "Big Brother", ou c'est l'humanité qui les détruira. Il n'y a pas de solution intermédiaire. Voilà la toile de fond de la guerre actuelle. C'est pourquoi ils s'attaquent à la planète entière.
La condition pour la réalisation du plan frauduleux de plusieurs milliards de dollars de l'industrie pharmaceutique, a été, pendant plus d'un siècle, la prohibition des informations essentielles et non brevetables en matière de santé naturelle et de prévention des maladies endémiques actuelles. Il n'est donc pas surprenant de voir ce qu'ils ont fait et de constater que nous n'ayons rien su de ces avancées plus tôt.
Mais qu'en est-il du rôle de l'Organisation Mondiale de la Santé ? N'a-t-elle pas encouragé une bonne alimentation ? L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a été créée, il y a plus de 50 ans, dans le but d'améliorer l'état de santé des gens dans le monde entier. L'une de ses tâches principales était la diffusion d'informations sur la nutrition. En collaboration avec l'Organisation pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), l'OMS a publié, chaque année, des "rapports communs sur la nutrition", pendant une dizaine d'années environ.
Ensuite, l'industrie pharmaceutique, dans l'intérêt de ses investissements, a complètement pris le contrôle de l'OMS. Depuis lors, elle est devenue le parfait contraire de ce qu'elle était. En 1963, 15 ans seulement après sa création dans le but d'aider l'humanité, l'OMS est devenue l'instrument de l'ensemble du cartel pharmaceutique. En 1963, une nouvelle commission a été spécialement créée pour empêcher que les micronutriments (vitamines, minéraux et acides aminés) soient utilisés en prévention, traitement et éradication des maladies. L'objectif de ce que l'on appelle la commission "Codex Alimentarius" de l'OMS/FAO (normes dans le domaine de l'alimentation) était d'imposer des "limites supérieures" artificielles pour empêcher les gens dans le monde d'utiliser ces composants de santé naturelle à des fins thérapeutiques. Cette commission s'est également engagée dans une "guerre sainte" contre la diffusion des informations de santé naturelle concernant les avantages scientifiquement prouvés de ces micronutriments. Ainsi le cartel pharmaceutique a manipulé l'OMS et en a fait son instrument global pour instaurer les premières lois sur la mondialisation – des lois protectionnistes pour garantir de manière artificielle le monopole mondial des médicaments brevetés en matière de santé.
Ainsi, pendant plus de 40 ans, l'organisation créée pour améliorer la santé des gens a été manipulée par l'appât du gain d'une poignée d'investisseurs pour qu'elle fasse exactement le contraire de son objectif premier : maintenir les peuples dans leur ignorance vis-à-vis des informations vitales et de la prévention des maladies endémiques actuelles.
La publication du programme du Dr Rath en 10 points "La santé pour tous d'ici l'an 2020" lors du sommet mondial de Johannesburg en août 2002, a marqué un tournant pour cette organisation. En attirant l'attention de plus de 100 chefs d'Etat sur la nature frauduleuse du commerce de l'industrie pharmaceutique et sur les alternatives de la santé naturelle, une lutte s'est engagée afin d'amener l'OMS à retravailler dans l'intérêt de l'humanité. Ce sont les pays en voie de développent d'Afrique, d'Amérique du Sud et d'Asie qui mènent ce combat historique. Mais il ne faut pas perdre de vue que les forces du cartel pharmaceutique, qui ont pris racine à l'intérieur de l'OMS, n'abandonneront pas facilement la lutte.
Le monde entier doit prendre conscience du fait que les groupes d'intérêts qui ont transformé l'OMS en son contraire, sont les mêmes que ceux qui ont imposé cette guerre contre l'Irak et qui sont responsables de la crise internationale actuelle que nous connaissons. Ainsi, la guerre pour le contrôle de l'OMS est menée avec la même brutalité qu'une guerre militaire. La comparaison est permise car, après tout, dans les deux cas, on compte les victimes par milliers.
L'issue de ce combat pour le contrôle de l'OMS est certaine : les peuples du monde gagneront ce combat pour eux et pour les générations à venir et reprendront le contrôle de cette institution internationale. Le temps que cela prendra dépend en fin de compte du fait que les populations soient informées de ces nouveaux développements et qu'elles demandent à leur gouvernement de prendre des mesures au niveau national et international. Entre-temps, il est vraiment indispensable qu'il y ait des organisations qui ne puissent être achetées, corrompues ou influencées de quelque manière que ce soit. La Dr Rath Health Foundation a été créée pour apporter sa contribution à cet édifice.
Le Codex Alimentarius est une commission de l'OMS et de la FAO. Plus de la moitié de ses membres sont plus ou moins directement liés à l'industrie pharmaceutique. Le Codex Alimentarius s'occupe certes d'un grand nombre de questions concernant la protection alimentaire, mais elle gaspille la majeure partie de son temps, de ses efforts et de ses ressources dans la bataille du cartel pharmaceutique pour empêcher la diffusion d'informations sur la santé naturelle avec les vitamines, les minéraux et d'autres nutriments essentiels.
Après mes découvertes sur le lien entre le scorbut et les maladies cardiaques, le succès de mon livre "Pourquoi les animaux n'ont pas d'attaque cardiaque... les êtres humains si !" et après l'échec, en 1994, de la première tentative aux États-Unis de faire passer les thérapies naturelles comme illégales, les entreprises pharmaceutiques ont remis le "Codex Alimentarius" à l'ordre du jour en 1995. Depuis lors, elles ont violemment essayé de protéger le commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie contre les micronutriments efficaces, naturels et non brevetables. Cette commission se réunit chaque année à huis clos. Son principal objectif est de faire passer pour illégale toute déclaration en matière de santé relative à la prévention et aux thérapies par les vitamines, les minéraux et autres nutriments essentiels. Ces recommandations peu scrupuleuses doivent être présentées, au nom du cartel pharmaceutique, à l'Assemblée générale des Nations Unies et deviendront obligatoires pour tous les états membres des Nations Unies, c'est-à-dire dans le monde entier. C'est, en tout cas, l'objectif du cartel pharmaceutique.
Au cours des dernières années, il a été organisé régulièrement des manifestations contre les projets du Codex de l'industrie pharmaceutique, y compris des conférences scientifiques, des meetings et des campagnes de protestation visant les membres de la commission du Codex et les gouvernements qui la soutiennent encore. Lors de la dernière campagne, les gouvernements et les membres de Parlement qui soutiennent toujours ce projet éhonté ont reçu plus de 600 millions (!) de lettres de protestation.
A la veille de la réunion du Codex en novembre 2002 à Berlin, s'est tenue une conférence de spécialistes de la santé venus du monde entier, y compris d'Afrique du Sud. Il n'est pas surprenant que, à l'occasion de cette réunion du Codex, la délégation officielle d'Afrique du Sud ait révélé pour la première fois l'hypocrisie du Codex Alimentarius. Pour mieux comprendre l'importance de cette étape, il convient de préciser les faits suivants.
Aucune personne saine d'esprit ne soutiendrait d'emblée l'interdiction de la santé naturelle. Le cartel pharmaceutique devait donc trouver un prétexte pour que les politiciens encore indécis déclarent les thérapies naturelles comme étant illégales. L'existence imaginaire d'effets secondaires dus aux vitamines a été ce prétexte. Bien sûr, ces effets secondaires n'existent que dans la fiction des groupes d'intérêts de l'industrie pharmaceutique et sur les planches à dessin où s'échafaude leur machination générale de communication. Les vitamines, les minéraux et les acides aminés sont des composants essentiels à la vie et le corps peut éliminer tout surplus sans aucun problème.
Ceci est tout à fait le contraire des médicaments synthétiques. Parce qu'ils sont synthétiques, le corps ne les reconnaît pas et ceci explique pourquoi presque tous les produits pharmaceutiques ont des effets secondaires graves. Selon l'édition du Journal of the American Medical Association du 15 avril 1998, les effets secondaires des produits pharmaceutiques sont devenus la quatrième cause de décès dans les pays industrialisés. Faisant fi de ces faits, la machinerie de communication de l'industrie pharmaceutique essaie de manipuler l'opinion publique mondiale et de forcer la main des politiciens, dont elle a besoin, pour faire adopter les recommandations scandaleuses du Codex Alimentarius.
C'est dans ce contexte que nous devons apprécier la prise de position du gouvernement sud-africain lors de l'assemblée du "Codex" en 2002, en dévoilant les agissements hypocrites durant plusieurs décennies du cartel pharmaceutique au sein de ce dernier et en soutenant nos arguments de manière officielle. Mais ce n'était pas un hasard. Deux ans auparavant, le gouvernement sud-africain avait entrepris une lutte contre le cartel pharmaceutique en refusant de payer des droits de licence pour des médicaments contre le sida.
Leur argument était simple : payer des taxes exorbitantes pour ces médicaments empêcherait la plus grande majorité des habitants d'Afrique du Sud et des pays en voie de développement de se les procurer. Ainsi, l'industrie pharmaceutique, en exigeant ces énormes marges bénéficiaires, met en péril, en toute connaissance de cause, la vie de millions de personnes en Afrique et partout dans le monde. Le cartel pharmaceutique – c'est-à-dire la Fédération Internationale des Fabricants de Produits Pharmaceutiques – a eu l'arrogance de porter plainte contre le gouvernement sud-africain auprès du tribunal de Pretoria. Comme on pouvait s'y attendre, cette guerre ne s'est pas gagnée dans la salle d'audience, mais devant le tribunal de l'opinion publique.
Des protestations venues du monde entier contre "le meurtre dans l'intérêt du commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie" a empêché le cartel pharmaceutique de poursuivre ce litige. En janvier 2001, quelques semaines seulement après avoir porté plainte contre le gouvernement sud-africain, le cartel pharmaceutique a reconnu son échec et a retiré sa plainte. Le gouvernement sud-africain venait de remporter une victoire historique sur le cartel pharmaceutique. Entre-temps, beaucoup d'autres pays ont suivi l'exemple du gouvernement sud-africain et produisent leurs propres médicaments sans devoir payer des droits de brevet exorbitants.
Il existe une alternative naturelle à ces médicaments contre le sida. C'est un fait scientifique que presque tous les principaux virus peuvent être en partie ou complètement stoppés par des thérapies naturelles. L'acide ascorbique (la vitamine C) réduit la multiplication (réplication) des virus. Une étude publiée en 1990 dans le très influant Proceedings of the National Academy of Science USA a montré que la vitamine C, prise quotidiennement et en grande quantité, peut empêcher la réplication du virus VIH à plus de 99,9% ! Le Proceedings of the National Academy of Sciences est l'une des publications les plus lues dans le monde. Ainsi, depuis plus de dix ans, l'industrie pharmaceutique, l'Organisation Mondiale de la Santé et le monde médical savaient qu'il existait une alternative naturelle et non brevetable aux médicaments. En outre, ces traitements naturels sont plus efficaces pour enrayer la maladie que tous les produits pharmaceutiques actuels.
Une seconde substance très importante pour empêcher la propagation des virus est un acide aminé, la lysine. Étant donné que tous les virus se propagent en digérant le tissu environnant (collagène) grâce à des enzymes (les collagénases), neutraliser ces enzymes contribue à réduire ou à empêcher la propagation du virus. Il a été prouvé que la lysine et la proline, des acides aminés naturels, avaient cette faculté. En outre, des travaux prouvent que la vitamine A et d'autres nutriments essentiels améliorent le système immunitaire et contribuent ainsi, de façon efficace, à la prévention et au traitement du sida.
Bon nombre de ces études sont présentées sur le site Internet de La Dr Rath Health Foundation, afin que chacun, qu'il s'agisse de patients, de professionnels de la santé ou de politiciens, puisse bénéficier immédiatement de ces connaissances essentielles à la vie et contribuer à les diffuser.
Le programme des Nations Unies sur le sida profite à l'industrie pharmaceutique. La plupart des programmes des Nations Unies sont sous l'influence des groupes d'intérêts pharmaceutiques. Cela concerne également le programme des Nations Unies sur le sida. Nous devons comprendre que l'industrie pharmaceutique a engagé, dans les pays en voie de développement et dans les pays industrialisés, une bataille pour sa crédibilité. Ces pays prennent de plus en plus conscience qu'il existe des alternatives aux médicaments, qui non seulement sont plus efficaces, mais qui sont également infiniment moins chères et que l'on peut se procurer sans devoir payer des droits de brevet exubérants. C'est ainsi que de nombreux gouvernements du monde ont donc découvert le manque de scrupules et le caractère frauduleux du commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie et réorientent leurs politiques nationales de santé et prônent l'utilisation de produits de santé naturelle.
Nous devons comprendre que chaque pays qui décide de se défaire du commerce de l'industrie pharmaceutique avec la maladie, enfonce un clou dans le cercueil de cette industrie d'investissements. Une telle décision ne signifie pas uniquement que les revenus de l'industrie pharmaceutique ne seront réduits, dans ce pays, qu'à une portion congrue. Il y a une conséquence beaucoup plus importante : chaque pays qui tourne le dos au commerce pharmaceutique avec la maladie, permet au monde d'ouvrir les yeux sur ce commerce frauduleux avec la maladie qui, depuis un siècle, est soutenu et encouragé par les groupes d'investissements de l'industrie pharmaceutique.
Si de plus en plus de pays se libèrent du joug du cartel pharmaceutique, cela aura des conséquences dévastatrices pour ce secteur. Imaginez ce qui se passera lorsque de plus en plus de pays se rendront compte que l'épidémie du sida peut être enrayée grâce à un apport suffisant en vitamine C et autres thérapies naturelles non brevetables. Imaginez la réaction des gens lorsqu'ils se rendront compte que l'industrie pharmaceutique a fait sciemment de la rétention d'informations vitales en ce qui concerne ces substances naturelles.
En ce moment même, nous assistons, au niveau mondial, au rejet des industries pharmaceutiques. Les gouvernements de Jordanie, des Emirats Arabes Unis, du Nigeria, d'Afrique du Sud, de l'Angola, du Malawi et de bien d'autres gouvernements africains, ainsi que la République Populaire de Chine ont décidé d'opter pour une stratégie de soins naturels de santé. L'industrie pharmaceutique ne se trouve pas uniquement face à un effet domino, c'est l'équivalent de l'effondrement du mur de Berlin pour le "commerce mondial de l'industrie pharmaceutique avec la maladie".
Afin de servir les intérêts des nations et des peuples les plus touchés par le sida, les Nations Unies et toutes ses organisations doivent profiter de ces avancées dans le domaine de la santé naturelle et mettre, le plus vite possible, ce savoir et ces thérapies à disposition des peuples du monde entier.
Le Dr Rath a à faire à ces groupes d'intérêts aussi puissants que l'industrie pharmaceutique depuis le jour où il est devenu le successeur du double prix Nobel Linus Pauling. Dès le début, il était pleinement conscient que, à elle seule, la découverte sur le lien entre le scorbut et les maladies cardiaques allait déstabiliser pour toujours le marché de plusieurs millions de dollars de l'industrie pharmaceutique. C'est donc en toute connaissance de cause qu'il a pris la décision de reprendre le combat pour libérer l'humanité du joug de cette industrie de nature frauduleuse et immorale.
Avec du recul, il y a quelques leçons importantes à tirer. Si un scientifique, un être humain peut avoir une influence telle sur le cours des évènements et s'il peut faire plier la plus grande industrie d'investissements du monde, cela ne tient pas uniquement à sa force. Si le Dr Rath a pu, avec quelques autres, préparer le déclin de la plus grande industrie d'investissements du XXe siècle, c'est parce que sa nature même était basée sur un leurre : promettre la "santé" et vendre encore plus de maladies.
Une fois l'artifice dévoilé, il n'y avait plus de défense pour empêcher son déclin. Ainsi, pendant toutes les années au cours desquelles le Dr Rath a confronté l'industrie pharmaceutique et où il l'a accusée publiquement de frauder et de mettre en péril la vie de millions de personnes, elle n'a jamais osé répliquer ouvertement. Et elle n'a jamais remis en question les découvertes scientifiques du Dr Rath.
En revanche, quelques faiseurs d'opinion du domaine médical et médiatique, dépendants de l'industrie pharmaceutique, se sont efforcés de me discréditer en tant que personne. Mais tel est le destin de toute personne qui ose se battre pour ce qui est juste. Le Dr Rath espère que de nombreux jeunes, ainsi que les générations futures pourront tirer des leçons de cet exemple et, quand leur temps sera venu, auront le courage de se battre pour ce qu'ils considéreront comme juste.
En ce qui concerne la sécurité personnelle du Dr Rath, beaucoup de personnes me demandent si il ne craint pas pour sa vie. Ils font référence au tout dernier livre de John le Carré La constance du jardinier et au fait que le modèle commercial de l'industrie pharmaceutique n'a aucun respect pour la vie. John le Carré a lui-même écrit dans l'épilogue de son livre que, en travaillant à son oeuvre, il s'était rendu compte que "au regard de la réalité avec l'industrie pharmaceutique, ce livre se lisait comme une carte postale de vacances".
Lorsque l'on se trouve, comme le Dr Rath, dans une situation privilégiée de pouvoir faire bouger quelque chose en faveur de la vie de millions de personnes pour les générations à venir, on prend la bonne décision. Proclamer la vérité haut et fort et partout est la meilleure façon de se protéger des groupes d'intérêts à qui on s'oppose. La série de lettres ouvertes qu'il a publiées au nom de sa fondation dans de nombreux pays n'était qu'une nouvelle étape dans ce processus.
Depuis le tout début de la crise internationale actuelle, les êtres humains du monde entier considéraient avec méfiance la soi-disant "guerre contre le terrorisme" annoncée par l'administration Bush. Dans chaque manifestation contre cette guerre, peu importe l'endroit où elle avait lieu, on voyait des affiches qui révélaient les vrais motifs de cette guerre : le pétrole.
Si le pétrole est l'unique objectif, il n'est pas nécessaire d'attiser partout une hystérie collective; il est inutile de transformer les États-Unis en état paramilitaire et il est inutile de créer un service "Big Brother" comprenant 67 000 employés espionnant leurs concitoyens – tout cela sous le prétexte de la "sécurité intérieure de la patrie". Cela n'a de sens que si l'on a peur de quelque chose dans son pays et que la population tout entière représente un danger potentiel pour ses intérêts économiques et menace son rôle politique.
Comme le Dr Rath l'a expliqué, à plusieurs reprises, dans ses lettres ouvertes, le principal bénéficiaire de la crise actuelle, de la guerre contre l'Irak et d'une possible troisième guerre mondiale est l'industrie pharmaceutique. En août 2001, alors qu'elle s'attendait à être confrontée, partout dans le monde, à des procès, qui l'auraient affaiblie, l'industrie pharmaceutique n'a pas été seulement le principal bénéficiaire des évènements tragiques du 11 septembre. Dans un dernier effort pour stabiliser la perte en crédibilité de leur affairisme frauduleux, les groupes d'investissements, qui soutiennent cette industrie, devaient s'attendre à la perte de tous leurs investissements.
Il faut comprendre qu'il n'y a pas un seul secteur de la société qui ne soit concerné, quand on est capable de créer, selon un modèle basé sur la fraude, la plus grande industrie d'investissements au monde et que cette dernière est dévoilée. C'est exactement ce à quoi est actuellement confronté le groupe Rockefeller. C'est pour cette raison que Donald Rumsfeld, un ancien cadre d'entreprises pharmaceutiques multinationales, a été nommé au poste de ministre de la Défense, une fonction qui décide essentiellement du lieu et de la durée des bombardements. C'est pour cette raison que l'industrie pharmaceutique a été la seule grande source de financement de la compagne électorale de George Bush, y compris celle des élections législatives de novembre 2002 qui ont eu lieu à la moitié de son mandat, et qui ont été largement dominées par le thème de la guerre.
Il ne faut pas se laisser tromper par ces groupes d'intérêts qui, confrontés à leur propre fin, sont prêts à entraîner l'humanité entière avec eux. Il y a 500 ans, une situation similaire a provoqué, en Europe, la transition entre les temps médiévaux et les temps modernes. Confrontés à leur propre fin, les dirigeants de l'époque se sont lancés dans une guerre contre leur propre peuple. Au cours de la "guerre de 30 ans" (1618 – 1648), un tiers de l'Europe a été détruite et des dizaines de millions de vies ont été sacrifiées.
Il y a 400 ans, des millions de gens simples ont pu, en Europe, apprendre à lire et à écrire grâce à l'invention de l'imprimerie et aux premiers livres traduits du latin. Cette "libération de l'analphabétisme" a mis fin au Moyen âge en Europe et a été à l'origine de ce que l'on appelle aujourd'hui les temps modernes. Aucune force armée, aucune guerre, aucun dictateur ne pouvait empêcher ces millions de gens simples de faire usage de leur droit d'apprendre à lire, à écrire, de leur droit au savoir et à une vie digne.
De même, aujourd'hui, aucune guerre, aucun renoncement aux droits civils, aucun Etat "Big Brother" ne pourra empêcher l'humanité de se libérer du joug du cartel pharmaceutique. Beaucoup trop de personnes sont déjà mortes sans raison, beaucoup trop d'économies politiques ont déjà été ruinées par les intérêts de ces entreprises; maintenant les peuples du monde comprennent ce qui se passe et continueront à lutter pour leur droit à la santé naturelle.
La campagne du Dr Rath, "Make Health – Not War" (oui à la santé, non à la guerre), dévoile les intérêts de l'industrie pharmaceutique dans cette guerre actuelle et ceux qu'elle aura dans la prochaine guerre mondiale, déjà annoncée par l'ancien directeur de la CIA James Woolsey. C'est également un appel à des actions pour empêcher que cela ne se produise. Chacun peut, partout dans le monde, bénéficier tout de suite des grandes avancées dans le domaine de la santé naturelle. Chaque foyer, chaque cabinet médical, chaque hôpital et chaque organisme de prévention qui profitent des avantages de la santé naturelle privent les groupes d'intérêts pharmaceutiques de l'argent dont ils ont besoin pour financer la prochaine guerre. C'est la raison pour laquelle ces deux secteurs sont si étroitement liés.
La population mondiale prend conscience que les groupes d'intérêts qui tolèrent encore, pour des raisons financières, que des millions de personnes meurent de maladies et ceux qui entraînent désormais l'humanité vers une troisième guerre mondiale sont les mêmes. Et la population mondiale se rend compte que ce secteur de la santé est l'unique point stratégique qui permet de changer le sort de notre planète et de la faire évoluer vers un destin plus sain et plus pacifique. L'équation est simple. Il y a une poignée d'investisseurs qui veulent continuer à tirer profit des maladies et de la guerre et il y a les intérêts de plus de 6 milliards de personnes qui veulent vivre dans un monde sans maladie et sans guerre. L'issue de cette bataille est certaine. Les êtres humains du monde la gagneront.
La campagne "Make Health – Not War" a pu voir le jour grâce à la contribution des gens que les thérapies naturelles ont déjà aidés. Cet institut de recherches fournit le savoir et les programmes de santé naturelle qui permettent aux personnes ayant fait un infarctus, souffrant de défaillances cardiaques, faisant de l'hypertension, ayant des problèmes circulatoires dus au diabète, un cancer, de l'ostéoporose ou souffrant d'autres maladies de bénéficier des avancées de la recherche sur les vitamines et de la médecine cellulaire en matière de santé naturelle. Des centaines de milliers de personnes et de patients, sur les 5 continents, profitent déjà de ces avancées. Dans beaucoup de cas, les avantages qu'ils en retirent sur le plan de leur santé dépassent de beaucoup tout ce qu'ils ont connu avec les produits pharmaceutiques.
Par conséquent, non seulement ils tirent profit de l'utilisation de ces produits naturels, mais ils souhaitent également, afin d'aider ceux qui ne connaissent pas encore ces avancées, que ce savoir soit diffusé dans le monde entier. Cette campagne à donc été soutenu par des personnes qui, dans la plupart des cas, ont eux-mêmes bénéficié des avantages de ce en quoi ils croient et ce pour quoi ils luttent dans leur propre vie et dans leur propre corps. Sans cela, cette campagne d'informations mondiale n'aurait pas été possible.
Les résultats les plus importants de la campagne "Make Health – Not War ont été de dénoncer l'industrie pharmaceutique comme l'instigateur et le principal bénéficiaire de la crise internationale actuelle et de la guerre, et d'avoir apporté une contribution importante au fait qu'aucune légitimité et aucun mandat n'ait été accordés à cette guerre par la communauté internationale. Ceux qui l'ont menée peuvent, si les peuples du monde s'unissent pour le réclamer, être tenus pour responsables devant des tribunaux internationaux pour le restant de leur vie.
La publication des lettres ouvertes du Dr Rath dans le "New York Times" a été choisie à dessein. Le New York Times paraît dans la ville qui héberge les Nations Unies. Rarement dans l'histoire de cette institution, autant de politiciens, de chefs d'Etat et de représentants de gouvernement ne se sont réunis au siège des Nations Unies qu'en février et en mars derniers (2007). Les informations contenues dans ces lettres ouvertes et la dénonciation de l'industrie pharmaceutique en tant que principal profiteur de cette guerre sont connues dans presque tous les pays du monde. En outre, de nombreux journaux, surtout dans les plus petits pays ayant un siège au Conseil de Sécurité des Nations Unies comme le Chili, le Pakistan, le Cameroun etc. – mais également la Turquie – ont publié ces lettres ouvertes dans leur pays. Le fait que des millions de personnes dans ces petits pays ont été sensibilisés et informés sur les véritables raisons de cette guerre, a été un facteur déterminant dans le fait que leurs gouvernements ont résisté à l'énorme pression politique et aux tentatives de corruption économique des États-Unis et de la Grande-Bretagne.
Ces deux pays sont les plus grandes nations exportatrices de produits pharmaceutiques du monde. Le produit de la vente de deux cachets sur trois revient dans ces pays, quel que soit l'endroit où ils sont vendus. Et c'est précisément cet argent qui fait que des politiciens de la Maison Blanche et du Downing Street sont corrompus et dépendants; et c'est encore cet argent qui sert, aujourd'hui, au financement de la guerre au Moyen-Orient, ainsi que de la "guerre mondiale" déjà annoncée. Le second objectif atteint réside dans le fait que cette guerre contre l'Irak ne s'est pas transformée en un holocauste nucléaire ou biochimique. En dénonçant les intérêts cachés de cette guerre, il a été également dénoncé le fait qu'une guerre avec des armes de destruction massive aurait automatiquement servi de base stratégique à l'industrie pharmaceutique pour établir des lois martiales partout dans le monde et abolir des droits civils dans les tous les pays, afin de consolider son monopole.
La survie de l'industrie pharmaceutique était, et continue d'être tributaire d'une guerre faisant intervenir des armes de destruction massive sur le champ de bataille ou par le biais d'attaques organisées sur le territoire national et ce dans les plus brefs délais. Il est également un fait historique que chaque jour, chaque semaine qui passe sans que rien ne se produise, prive l'industrie pharmaceutique de la possibilité d'imposer des lois muselières globales et ainsi de consolider son monopole sur le "commerce avec la maladie" en général. En dénonçant mondialement ces plans, les milieux d'investissements de l'industrie pharmaceutique ont été empêchés d'atteindre leurs objectifs.
Soit dit en passant, la publication de ces lettres ouvertes se lit comme un roman d'espionnage ou un épisode de l'inspecteur Colombo. Lorsque l'officier de police n'est pas certain du crime d'un suspect éventuel, il le confronte avec quelques pièces à conviction afin de tester sa réaction. Telle était également l'intention du Dr Rath lorsqu'il a publié ses lettres ouvertes. Si il avait raison, et il savait que c'était le cas, les "criminels" se devaient d'agir.
Et quelle ne fut pas leur réaction ! A peine 24 heures (1 jour) après que l'industrie pharmaceutique ait été dénoncée comme étant le plus grand profiteur économique de la tragédie du 11 septembre et de la guerre actuelle, le soi-disant "cerveau" du 11 septembre a été présenté à l'opinion publique mondiale stupéfaite. Après la traque des prétendus cerveaux à l'origine de la tragédie du 11 septembre, menée par les armées de plusieurs pays à travers les monts de l'Hindukush pendant un an et demi, un cheik a soudain été trouvé, dormant paisiblement dans un appartement au Pakistan, et a été arrêté.
Pendant toute une semaine, la presse américaine s'est alimentée de cette "capture sensationnelle" – qui, de toute évidence, était une distraction organisée par les médias. Mais presque personne en dehors des États-Unis n'a de toute façon cru à ce coup monté médiatique. La presse internationale soupçonnait déjà un plan caché – et cela, même dans la presse des "alliés". Le journal britannique "The Independent" a titré, à propos du cheik soudainement découvert : "What a convenient discovery" (Quelle découverte opportune).
Les réactions au Congrès américain et dans les administrations du pouvoir exécutif ont été encore plus significatives. De nombreuses personnes douées de bon sens en Amérique avaient déjà soupçonné l'existence d'un plan secret derrière l'attaque du 11 septembre. Elles ont noté avec stupéfaction que des avertissements précis émanant du FBI et concernant l'agression avaient été ignorés, que des dirigeants du FBI avaient contraint au silence ceux qui voulaient s'exprimer au sujet de cette attaque. Plus suspect encore a été le fait que, pendant plus d'un an, les parents des victimes tuées dans le World Trade Center se sont vus refuser une enquête officielle sur le contexte de cette tragédie. Les autorités qui ont bloqué cette enquête n'étaient rien d'autre que la Maison Blanche et le Président Bush lui-même. Les parents de ces victimes ne voulaient rien d'autre que la vérité. Si cette attaque avait réellement été l'oeuvre de "terroristes", n'importe quel gouvernement aurait eu intérêt à mener une enquête, sans perdre de temps et avec tous les moyens disponibles, pour connaître la vérité – non seulement dans l'intérêt des proches, mais aussi dans celui de l'opinion publique mondiale. Vous vous demandez ce que l'administration Bush pouvait avoir à cacher en bloquant une enquête officielle ?
Ces soupçons ont encore été renforcés par les lettres ouvertes du Dr Rath exposant aux membres du Congrès américain ébahis, au pouvoir exécutif américain et à une large opinion publique que, 70 ans auparavant, un évènement semblable avait déjà eu lieu. Le 28 février 1933, le parlement allemand a été incendié. Cet évènement aussi a immédiatement été utilisé pour supprimer des droits civils et faire voter des pleins pouvoirs (Loi sur la sécurité intérieure) qui sont devenus le fondement légal d'une dictature économique et politique, ainsi que le fondement de la seconde guerre mondiale.
Aujourd'hui, il est un fait historiquement établi que cette attaque du parlement allemand ("Reichstag") avait été soigneusement planifiée d'avance par les groupes d'intérêts qui s'en sont servi afin de préparer la société allemande à leur guerre de conquête – la seconde guerre mondiale. Il est également un fait établi que la loi des pleins pouvoirs qui supprimait la plupart des droits civils, avait déjà été préparée à l'avance. Aujourd'hui, 70 ans plus tard, la communauté politique américaine a appris qu'elle a été trompé exactement de la même façon. Et ceux qui ont mis au point ce projet, ne se sont même pas donnés la peine d'en changer la formulation. Il y a 70 ans, le principe légal visant à abolir les droits civils était appelé "Gesetz zum Schutz von Heim und Reich" (Loi pour la protection de la Patrie et du Reich). Ceux qui ont tiré parti de la tragédie du 11 septembre l'ont baptisé, analogie frappante, "Loi sur la sécurité intérieure". Ces "législateurs" ont-ils réellement cru que la population mondiale ne serait pas capable de regarder 70 ans en arrière et de voir ce que dissimule un tel plan ?
Un tollé s'est élevé dans les rangs du Congrès, dans le monde politique et au sein des pouvoirs exécutifs. Ils n'avaient soutenu l'administration Bush que parce qu'ils croyaient à une "guerre contre le terrorisme". À présent, ils apprenaient l'existence d'un plan secret, échafaudé par ceux qui dirigent actuellement à la Maison Blanche. De plus, les politiciens américains et les administrations du pouvoir exécutif américain savaient que la population américaine – leurs électeurs – lisent également le New York Times et leur poserait des questions auxquelles ils ne pourraient peut-être pas répondre.
Les téléphones ne sont pas restés silencieux à la Maison Blanche et au ministère de la justice des États-Unis. Anxieux, les politiciens et les législateurs signifiaient clairement qu'ils ne voulaient pas être mêlés à un "coup" de ce genre au nom du Groupe Rockefeller et de ses marionnettes politiques à la Maison Blanche.
La réaction n'a pas tardé. Quatre jours plus tard, – dans une manoeuvre surprise -, le ministre de la Justice américain John Ashcroft a dû présenter à l'opinion publique la Loi baptisée "Patriot Act N° 2". Le public américain, stupéfait, a ainsi appris que les lois en vigueur contre le terrorisme étaient soit disant insuffisantes et devaient être étendues. Le point central de ces modifications n'était rien d'autre qu'une immunité générale pour toutes les administrations du pouvoir exécutif des États-Unis, qui exécutaient les ordres de l'administration Bush.
Ainsi, d'un trait de plume, Bush, Ashcroft et les autres marionnettes politiques du Cartel ont tenté d'assurer l'immunité à tous ceux soutiendraient leurs actes malhonnêtes et leurs crimes de guerre. S'il restait encore la moindre interrogation concernant la véritable toile de fond du 11 septembre et le véritable objectif de la crise internationale actuelle, les réactions de l'administration Bush aux informations contenues dans les lettres ouvertes du Dr Rath devraient ouvrir les yeux de toute personne douée de bon sens en ce monde.
Il y a eu des réactions venues du monde entier, d'universités réputées, d'organisations gouvernementales, de médecins et, bien sûr, de nombreux patients et de bien d'autres personnes. La réaction la plus courante a été un geste de remerciement pour leur avoir ouvert les yeux sur le lien entre la lutte pour la survie de l'industrie pharmaceutique et la crise internationale actuelle. De nombreuses personnes ont demandé de plus amples informations, soit dans le domaine des thérapies naturelles alternatives, soit des informations relatives aux dessous du "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique.
Il convient de noter tout particulièrement les réactions en provenance des États-Unis où de nombreuses personnes ont réalisé que leur propre gouvernement ne représentait plus les intérêts de la majeure partie de la population, mais essentiellement ceux d'un petit groupe d'entreprises, parties prenantes dans les intérêts pétrochimiques et pharmaceutiques Rockefeller. Si vous viviez à New York et si vous aviez constamment pensé qu'il y avait quelque chose qui ne collait pas dans la version officielle de la tragédie du 11 septembre, vous seriez reconnaissant que quelqu'un vous explique enfin les raisons pour lesquelles votre propre gouvernement bloque une enquête officielle indépendante.
Je pense qu'il est grand temps que non seulement la population de New York, mais également la population du monde entier apprennent la vérité sur les dessous de la tragédie du 11 septembre. D'autant plus qu'elle a été utilisé pour réitérer ce coup monté à l'échelon planétaire en contraignant le monde entier à se lancer dans une croisade contre des terroristes illusoires.
Des personnes ont demandé au Dr Rath si il pensait réellement que Bush et son entourage auraient délibérément risqué la vie de 3000 personnes le 11 septembre. Sa réponse est simple : il s'agit à peu près du même nombre de personnes qui meurent tous les 10 jours (!) à cause des effets secondaires mortels et inconnus des médicaments.
Étant donné que, d'une part, la Maison Blanche bloque une telle enquête et que, d'autre part, elle utilise constamment cet évènement pour entreprendre une guerre mondiale, ce sujet n'est plus une question nationale propre aux États-Unis. Il est du devoir des Nations Unies d'exiger et d'entreprendre une enquête indépendante sur cette tragédie. Cette demande est légitime parce que New York est non seulement le siège des Nations Unies, mais aussi parce que l'ensemble des discussions et des débats dans ce forum mondial ont, pendant un an et demi, été éclipsés par cette tragédie. Il est temps que les êtres humains et les gouvernements du monde entier réagissent et que les questions relatives aux dessous du 11 septembre trouvent une réponse. Et il serait préférable pour le gouvernement des États-Unis de coopérer davantage dans le cadre de cette enquête internationale – sous peine d'y perdre sa crédibilité.
On peut se demander si l'attaque du 11 septembre transformera les États-Unis en une dictature. En fait, c'est déjà le cas. Nous ne parlons pas de la dictature d'un seul être humain ou d'un parti politique. Nous parlons de la dictature d'un petit groupe d'intérêts économiques qui utilise le gouvernement actuel comme une marionnette pour consolider ses intérêts mondiaux. Déjà en janvier de cette année (2007), un groupe de citoyens inquiets, rassemblés autour de Ralph Nader, de l'actrice Susan Sarandon et de représentants de l'organisation écologique Green Peace, a publié une mise en garde de toute une page dans le New York Times intitulée : "Big brother is not coming – He is already here" ("Big Brother n'est pas en train de s'installer – Il est déjà là"). Les termes "Big Brother" font référence au roman de George Orwell, "1984", dans lequel il décrit une société contrôlée, manipulée et abusée par un petit groupe d'intérêts particuliers ayant directement accès à chaque aspect de la vie privée. En effet, une grande partie de ce scénario est déjà réalité aux États-Unis. Il est possible, sans qu'aucune ordonnance d'un tribunal soit nécessaire, de passer au crible les comptes bancaires, de lire les e-mails, de mettre les gens sur table d'écoute, d'ouvrir des lettres, de perquisitionner dans les maisons et de violer d'autres droits civils élémentaires. Toutes ces lois ahurissantes ont été justifiées par les évènements organisés du "11 septembre" et sous le prétexte d'une "Guerre contre le terrorisme".
L'un des droits de l'être humain les plus fondamentaux que l'actuelle administration américaine s'efforce de retirer à la population américaine est le droit d'accéder librement aux informations sur les thérapies naturelles. La loi garantit ce droit civil au peuple américain depuis l'adoption à l'unanimité de la "Dietary Supplement Health and Education Act" en août 1994. L'accès aux thérapies naturelles et aux informations sur les moyens naturels de prévention et de traitement des maladies est un objectif si sacré pour le peuple américain qu'il n'en tolérerait pas sa restriction en temps de paix. Plus de 50% de la population américaine absorbe quotidiennement des substances micronutritives pour améliorer son état de santé. La seule façon de supprimer ce droit est donc de l'imposer dans le cadre d'une "loi martiale".
Et c'est précisément pour cette raison que l'administration Bush ne cherchera pas à établir la paix au Moyen-Orient – bien au contraire. Elle utilisera l'Irak de l'après-guerre comme tremplin pour intensifier une crise internationale et provoquer d'autres guerres où il sera fait usage d'armes de destruction massive. Sans le règne d'une terreur mondiale de cette ampleur, il lui serait impossible d'atteindre ces objectifs !
La population américaine et le monde entier doivent se montrer extrêmement vigilants et essayer de déchiffrer cet imbroglio subtil de tactiques et d'astuces, employées par le cartel et ses actionnaires politiques pour atteindre leurs vrais objectifs sous la mascarade d'une prétendue "Guerre contre le terrorisme".
Le cartel pharmaceutique veut tirer profit d'une guerre où interviendraient des armes de destruction massive. Quand vous voyez qu'un évènement tel que la destruction de deux édifices à New York et la mort de 3.000 personnes a pu être utilisé abusivement pour plonger tout un pays dans un état de peur, permettant la suppression de presque tous les droits civils, vous pouvez en tirer vos propres conclusions. Les intérêts du cartel pharmaceutique sont de nature mondiale. Il ne peut tolérer qu'un continent ou même seulement quelques pays échappent à ses mécanismes de contrôle.
Si, par exemple, les pays de l'Amérique du Sud venaient à montrer la supériorité des thérapies naturelles sur les produits pharmaceutiques, il s'ensuivrait l'anéantissement de tout le monopole mondial des activités frauduleuses de l'industrie pharmaceutique. À l'ère de l'Internet et de la communication mondiale instantanée, l'éradication de maladies par des moyens naturels, et quel que soit l'endroit, serait immédiatement diffusée à tous les autres coins du monde. Dès lors, toute contre-mesure imposée par le Cartel pharmaceutique – dans ses stratégies – se doit d'être, de par sa nature, mondiale.
Le plan du cartel pharmaceutique consiste dès lors à multiplier, à l'échelle mondiale, le facteur psychologique de la peur né du 11 septembre. La meilleure façon d'y parvenir est une guerre au cours de laquelle des armes de destruction massive seront utilisées. Et la meilleure façon de provoquer une telle guerre est de la débuter dans une région où les pays sont supposés posséder de telles armes et seront prêts à les utiliser s'ils sont menacés de disparition. Toute utilisation d'armes de destruction massive, sur le champ de bataille ou dans le métro de New York ou de Londres, du fait de la vengeance provoquée chez certains par la brutalité de la guerre, servirait à légitimer l'exigence du cartel pharmaceutique de l'application au niveau mondial d'une loi martiale. Cette situation aurait à son tour pour effet de créer une atmosphère internationale permettant d'étendre, au niveau mondial, le régime "Big Brother", actuellement en vigueur aux États-Unis.
À présent que les révélations de ce plan dans les lettres ouvertes du Dr Rath ont eu pour effet principal d'anéantir cette stratégie, un plan alternatif a été élaboré. Ce n'est pas un hasard si la nouvelle épidémie, le SARS (Syndrome respiratoire aigu sévère), est devenue un facteur de peur générale durant la semaine même où les stratèges à l'origine de la guerre en Irak ont reconnu qu'ils ne pourraient pas matérialiser leur plan favori, à savoir provoquer une guerre avec des armes de destruction massive.
L'hystérie mondiale relative au SARS, attisée par les médias, n'a rien de commun avec le danger réel présenté par cette épidémie. Le SARS est simplement une maladie virale qu'il est possible, comme pour n'importe quelle autre maladie virale, de contenir et de prévenir en prenant des quantités optimales d'acide ascorbique (vitamine C) et certaines autres molécules naturelles. Toutefois, ces molécules ne sont pas brevetables et ne sont, de ce fait, pas recommandées. Par contre, ce qui fait l'objet d'une promotion au niveau mondial, c'est la crainte d'une certaine épidémie mystérieuse et cette menace ne sert que les intérêts du Cartel : elle ramène ainsi l'esprit des gens dans un état de dépendance à l'égard de l'industrie pharmaceutique et favorise un climat dans lequel il est possible d'expédier le vote, tout au moins pour certaines, de lois plénipotentiaires.
Il n'y a aucune raison de redouter le SARS. Elle est causée par le corona virus, lequel est connu depuis longtemps. Deux cuillerées de vitamine C en poudre par jour, associées à quelques autres vitamines qui renforcent le système immunitaire, constituent la mesure appropriée pour contrôler le SARS, comme toute autre maladie virale. L'ascorbate (vitamine C) étant réputé pour bloquer à plus de 99% les virus les plus agressifs qui soient connus à ce jour – le virus HIV du SIDA -, il peut également endiguer efficacement le virus du SARS.
Au lieu d'alimenter une crainte mystérieuse qui ne sert que les groupes d'intérêts particuliers, les politiciens, les professionnels en charge de la santé, tout le monde en général devraient contribuer à faire connaître à d'autres personnes les moyens naturels et disponibles dès maintenant pour endiguer le SARS, ainsi que d'autres problèmes de santé.
Dans l'une de ses lettres ouvertes, le Dr Rath a mentionné le groupe Rockefeller et la Commission Trilatérale financée par Rockefeller comme étant l'organisation clé derrière George Bush et son administration. Le 13 septembre 1998, deux ans avant l'élection de George Bush, le New York Times a publié un grand article de recherche intitulé "Existe-t-il un rôle pour un autre Bush ?" Cet article met en évidence les liens reliant la dynastie Bush au groupe Rockefeller, à l'industrie pétrochimique, ainsi que d'autres liaisons nationales et internationales. L'article déclarait qu'avec George Bush junior, la "Commission Trilatérale financée par Rockefeller" ferait à nouveau son entrée à la Maison Blanche. Cet article souligne également le fait que George Bush senior, vice-président sous Reagan et président pendant la première guerre contre l'Irak, avait fait partie de cette Commission Trilatérale.
Le consortium Rockefeller a, pendant la première moitié du vingtième siècle, étendu son pouvoir du secteur pétrochimique au secteur pharmaceutique. Avec toujours plus de capital pour administrer et à réinvestir, il était évident que le cadre national du groupe Rockefeller ne suffirait plus aux besoins d'un organisme d'investissement mondial. Dès lors, en 1972, le groupe Rockefeller décida de fonder un groupe informel de personnes chargées de coordonner ses intérêts financiers dans le monde entier.
Les trois piliers de l'organisation devaient représenter les trois centres de puissance économique de notre époque; les États-Unis, l'Europe et le Japon – d'où l'appellation "Trilatérale". Le premier président de la commission, qui en est encore à ce jour président honoraire, se trouve être David Rockefeller lui-même. Ce groupe se compose de banquiers, de directeurs de sociétés et autres "acteurs mondiaux" qui ne peuvent rejoindre ce groupe "que sur invitation". Leurs réunions se tiennent à huis clos; mais curieusement, ils ont un site Internet officiel : trilateral.org. Ce site présente également la liste des membres du groupe et se lit comme un "Who's Who" de la haute finance.
Aucune organisation de ce genre n'est fondée sans poursuivre un but précis. La Commission Trilatérale a pour objectif de créer un "Nouvel ordre mondial" qui, pour l'essentiel, doit assujettir la planète Terre aux intérêts du Cartel pétrochimique et pharmaceutique. Cette commission n'a fait aucun secret de cela et ses idées ont été reprises par ses "maîtres à penser", tels que Richard Perle, Paul Wolfewitz, Donald Rumsfeld et quelques autres qui se trouvent actuellement au Pentagone et dans l'administration Bush ou gravitent autour.
Il n'est point besoin d'être diplômé d'histoire ou de sciences politiques pour savoir que un et un font deux. Les craintes évoquées, en 1998, dans l'article du New York Times sont devenues réalité; avec l'administration Bush, la "Commission Trilatérale financée par Rockefeller" a fait son entrée à la Maison Blanche et au Pentagone, les centres politiques et militaires les plus puissants qui soient au monde. Il n'y a jamais eu le moindre doute quant au fait que les marionnettes politiques de la Commission Trilatérale profiteraient de cette opportunité et poursuivraient, de façon brutale et sans scrupules, leur objectif consistant à établir un Nouvel ordre mondial.
Quiconque éprouverait des doutes à ce sujet devrait se souvenir de la force avec laquelle l'administration actuelle a faussé, en sa faveur, les résultats des élections de 2000 et a mis, à tous les postes stratégiques de l'administration, des "faucons" de nature inflexible pour édifier le "Nouvel ordre mondial" du groupe Rockefeller. Le Dr Rath a jugé qu'il était nécessaire et important de dénoncer, dans l'une de ses lettres ouvertes parues dans le New York Times, la connexion Rockefeller qui se cache derrière la recherche d'une guerre mondiale. Richard Perle, "le maître à penser" de Rockefeller n'a "survécu" que quelques jours à la dénonciation, dans une lettre ouverte, de cette Commission Trilatérale. Il a ensuite dû démissionner de son poste au Pentagone sous un prétexte quelconque.
Il va sans dire que le cours de l'histoire, l'avenir de cette planète, ne peut changer et ne changera pas tant que ces connexions ne seront pas dénoncées et montrées à la population mondiale. Les groupes d'intérêts qui tirent profit de la pérennité des maladies et d'une troisième guerre mondiale ont des noms et des visages. Ces noms et ces visages doivent être connus de la population mondiale.
Ces personnes sont connues du monde entier. Aussi longtemps qu'elles sont actives dans la Commission Trilatérale de Rockefeller, elles sont responsables de tout ce qui se produit au nom du Cartel Rockefeller. Elles doivent être, par conséquent, tenues pour responsables de tous les agissements actuels de l'administration Bush. À présent que cette dernière a mené une guerre au mépris de tout droit international, ces groupes d'intérêts doivent également être tenus pour responsables des crimes de guerre qui ont été commis. Tous ceux "qui ont fait George Bush" doivent également être inculpés pour massacre, crime de guerre, exploitation, pillage et pour tout autre acte illégal exercé par l'administration Bush. Et toutes ces personnalités dirigeantes doivent en être informés.
C'est seulement au mois de mars dernier (2007) que la Cour Pénale Internationale a été instaurée à La Haye, Pays-Bas. Il n'est pas étonnant que l'administration Bush ait vigoureusement combattu la création de cette Cour. Elle savait que ses membres pourraient être les premiers à y être traduits en justice, que leurs actes y seraient minutieusement examiner devant le monde entier et que les responsables devraient y rendre des comptes. Au Tribunal de guerre de Nuremberg, en 1947, les dirigeants des industries qui avaient fomenté la deuxième guerre mondiale – les cadres du cartel pétrochimique et du cartel pharmaceutique I.G. Farben – ont également été condamnés pour de tels crimes de guerre.
Avec une population mondiale unanimement solidaire dans la condamnation de cette guerre contre l'Irak et de toute guerre future, comment les membres de cette Commission Trilatérale financée par Rockefeller peuvent-ils empêcher leur comparution en justice ? Il sera à jamais incompréhensible que des personnalités dirigeantes de haut niveau puissent être si peu prévoyantes. Dans un monde où la communication est transparente, il faudrait effectivement une loi martiale générale pour empêcher la propagation de ces informations à travers le monde entier et éviter qu'il leur soit demandé des comptes. La seule question est de savoir quand aura lieu cette procédure.
Dans certaines parties du monde, les souverains sont encore visibles et sont honorés par la population au travers de photos présentes en tout lieu. Les personnes les plus puissantes du monde optent pour une autre voie. Elles exercent leurs pouvoirs en secret et détestent la publicité. Le groupe Rockefeller contrôle plus de 200 sociétés pharmaceutiques, grandes et petites, sans que personne n'en fasse étalage. Le groupe Rockefeller est derrière quelques unes des institutions financières les plus influentes du monde, y compris la Chase Manhattan Bank, entre autres. Le groupe Rockefeller possède, bien évidemment, le consortium Exxon, ainsi que d'autres sociétés multinationales pétrochimiques. À eux seuls, les revenus annuels d'Exxon sont plus élevés que le produit national brut de la moitié des pays de la planète.
Le consortium Rockefeller contrôle également les médias, y compris Time Warner, CNN et tout un réseau de journaux, de stations de radio et de télévision. Dès lors, il n'est pas surprenant que l'opinion publique américaine ait pu être manipulée au point que de nombreux innocents ont été induits en erreur et ont soutenu des actes illégaux tels qu'une guerre menée au mépris de tout droit international. Et ceux qui avaient des doutes, ils ont encore été manipulés par des "sondages d'opinion" rétribués, dont les résultats ont été ouvertement remis en question dans le New York Times et ailleurs.
Le pendant du groupe Rockefeller aux États-Unis se trouve être le groupe Rothschild qui a une influence décisive dans l'industrie pharmaceutique en Grande-Bretagne, la deuxième plus grande nation exportatrice de produits pharmaceutiques au monde.
Il faudrait absolument que les gouvernements du monde portent plainte auprès de la Cour Pénale Internationale de la Haye contre George Bush, Donald Rumsfeld et d'autres ! La communauté internationale a longtemps oeuvré à la création de ce tribunal qui a été instauré pour juger les violations du Droit International, en particulier les crimes de guerre, commis lors de guerres déclenchées ou menées sans aucune légitimation internationale. Quand, si ce n'est aujourd'hui, existe-t-il une situation où ceux qui ont déclenché la guerre contre l'Irak et qui sont sur le point de créer des conflits dans d'autres pays, doivent être traduits en justice ? S'il ne leur est pas mis un frein maintenant, ils continueront à tourmenter les êtres humains du monde entier, à mettre leurs vies en danger et à courir le risque d'entraîner la planète Terre à sa propre perte. De même, la population mondiale doit comprendre que l'industrie pharmaceutique, la plus grosse industrie d'investissement au monde, est condamnée. Elle disparaîtra – et la seule question est de savoir à quel moment. Ensuite, il n'est pas question que ceux qui sont coupables d'avoir fait ce commerce sans scrupules avec la maladie et qui sont responsables de la mort inutile et prématurée de millions de personnes, ne soient pas condamnés à disparaître avec elle. Croyez-vous qu'ils abandonneront volontairement ?
Les peuples du monde et les gouvernements qu'ils ont élus doivent prendre conscience de cette situation. L'administration Bush favorise volontairement l'escalade vers une nouvelle guerre mondiale. Et c'est ce qu'elle fera si les peuples du monde ne l'en empêchent pas. Étant donné qu'il n'est pas possible de l'en empêcher militairement sans risquer une guerre mondiale, il faut l'arrêter par d'autres moyens disponibles, à savoir la voie économique et la voie politique.
La voie économique implique le blocage du "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique en réorientant les systèmes de soins nationaux des pays du monde entier vers des thérapies naturelles et en refusant de payer les droits de brevet pour un petit nombre de médicaments qui pourraient peut-être encore être nécessaires, comme par exemple les antibiotiques.
La voie politique revêt une importance légale et doit être empruntée sans retard. Les peuples du monde entier doivent forcer leurs gouvernements à entamer une procédure formelle pour crimes de guerre et violation des Droits de l'Homme contre les administrations Bush et Blair. Le tribunal qui sera saisi de ces violations et devra les juger est la Cour Pénale Internationale de La Haye aux Pays-Bas.
Des plaintes doivent être déposées pour le déclenchement et la poursuite d'une guerre au mépris du Droit International, pour massacre, pour exploitation, pillage de biens publics et privés et pour d'autres crimes contre l'humanité, ainsi que pour violations du Droit International. Si nous, peuples du monde et gouvernements de 180 pays permettons à Bush, Blair, au Cartel Rockefeller et aux membres de la Commission Trilatérale de terroriser le monde par des guerres illégales – sans leur demander des comptes -, les Nations Unies et tout son cadre juridique de Droit International, ainsi que tout son système de tribunaux n'auront plus aucune valeur.
Il ne suffit pas de citer à comparaître le gouvernement ou des sociétés. Chaque membre du gouvernement George Bush, Condolezza Rice, Donald Rumsfeld, John Ashcroft, ainsi que tous les autres doivent être cités personnellement. Tommy Franks et les généraux qui mènent cette guerre sans aucun mandat international doivent être cités nommément. Tous les membres du Groupe Rockefeller, de la Commission Trilatérale et des autres organismes encore non identifiés qui ont fomenté, favorisé le pillage de pays étrangers ou en ont tiré un profit économique doivent être cités nommément. Il en va de même pour les Britanniques. Non seulement l'administration Blair, mais également les dirigeants de la Banque Rothschild et les autres profiteurs directs et indirects de cette guerre illégale doivent être dénoncés publiquement. Cette liste doit inclure des banquiers, des politiciens et autres directeurs de sociétés, qu'ils soient originaires des États-Unis, d'Europe ou de quelque autre endroit du monde.
Une autre plainte doit être déposée contre les chefs de l'industrie pharmaceutique pour les crimes qu'ils ont commis, au nom de l'industrie d'investissement qu'est l'industrie pharmaceutique, à l'encontre des peuples et des gouvernements du monde entier. Il faut que tout cela se fasse immédiatement.
Pour faciliter ces mesures, il a été publié sur le site Internet de la Fondation un projet de plaintes, ainsi qu'une liste des principaux accusés. Chaque gouvernement est appelé à prendre des mesures immédiates pour porter plainte officiellement. L'idéal serait que ces mesures soient prises par plusieurs États en même temps, par exemple par une Union Africaine, par les pays d'Amérique du Sud et par les pays asiatiques de façon à minimiser le risque de représailles économiques par ces cartels.
Le plus important réside dans le soutien des peuples du monde entier à leurs gouvernements lors de leurs actions. J'appelle chaque personne en particulier à faire quelque chose pour inciter son propre gouvernement à porter formellement plainte contre ces groupes d'intérêt.
Soit nous, le peuple, permettons à ces forces de précipiter notre planète dans l'abîme, soit nous prenons le contrôle de la situation dès maintenant. Il se peut, bien sûr, que nous, le peuple, soyons obligés de pousser nos gouvernements à déposer une plainte officielle à La Haye. Les gouvernements sont lents et faciles à intimider, surtout lorsque ces intimidations viennent d'une puissance économique forte. Mais sommes le peuple. Y parviendrons-nous ? Bien sûr ! Et les peuples du monde doivent s'unir dans cette entreprise.
Nous devons réaliser ceci : seul le fait de démasquer ces groupes d'intérêts qui sont derrière la guerre, constitue l'étape la plus importante pour empêcher une nouvelle guerre mondiale. Le monde ne peut tout simplement pas se permettre une autre guerre, telle que celle contre l'Irak où l'on a en permanence le risque de déclencher une troisième guerre mondiale. Il est maintenant temps d'agir. Chaque politicien ayant des responsabilités, chaque citoyen de cette Terre doit prendre conscience de cette opportunité historique et agir immédiatement.
Chacun devrait se mettre au courant des percées scientifiques dans le domaine des thérapies naturelles. Chaque personne, qu'elle vive à New Delhi, au Caire, à Johannesburg, à New York, à Buenos Aires ou à Mexico, qu'elle vive dans un pays en voie de développement ou dans un pays industrialisé, devrait s'informer des découvertes dans le domaine des thérapies naturelles qui peuvent remplacer efficacement et immédiatement plus de 80% des médicaments actuellement délivrés sur ordonnance. J'estime que, suite à de nouvelles recherches dans le domaine des thérapies naturelles, 95% des produits pharmaceutiques deviendront superflus dans les prochaines années.
Cela signifie que la population mondiale a la possibilité de supprimer 95% des revenus que le cartel pharmaceutique utilise pour continuer à financer son commerce sans scrupules avec la maladie et pour continuer à soutenir des êtres humains politiques tels que Tony Blair et George Bush dans leurs campagnes électorales. Pensons-y ! Quelle magnifique opportunité pour chacun d'entre nous non seulement d'apporter de suite sa contribution à l'édification d'un monde plus sain, mais également de garantir la paix à cette génération et aux générations de nos enfants et petits-enfants.
En outre, nous devrions organiser des groupes de soutien locaux afin d'amener nos gouvernements à déposer une plainte à La Haye et auprès d'autres tribunaux pour demander des comptes à ceux qui se cachent derrière la crise mondiale actuelle et qui en bénéficient. Montrer ses forces et révéler ses actions au grand jour constituent une condition préalable pour diminuer l'influence future de ces groupes d'intérêt et protéger notre planète et sa population d'autres préjudices qu'ils pourraient causer.
On demande souvent au Dr Rath pourquoi nous n'avons pas vu ou entendu parler plus tôt des intérêts pharmaceutiques qui sous-tendent l'actuel scénario de cette guerre ? La réponse est très simple. Ces groupes d'intérêts se dissimulent derrière un voile de philanthropie et de bienfaisance à l'égard de cette planète. Avant de pouvoir comprendre le manque de conscience et la mesquinerie du modèle des activités de l'industrie pharmaceutique, il est d'abord nécessaire de déchirer le masque de philanthropie pour voir la véritable nature du caractère sans scrupules des investissements de son "commerce avec la maladie". Ceci étant fait, il n'y a plus de temps à perdre. Ce compte rendu propose une stratégie aux peuples du monde et à leurs représentants politiques pour prendre des mesures immédiates pour la sauvegarde de notre planète et pour la transmission à nos enfants d'un monde plus sain et plus pacifique.
Il ne suffit pas pour les Nations Unies de rivaliser avec les États-Unis dans la création d'un gouvernement de l'Irak d'après-guerre. Confiner à cela le rôle de l'ONU équivaut à une capitulation devant le cartel pétrochimique et le cartel pharmaceutique, ainsi que devant des responsables politiques et militaires. Cela ne doit jamais se produire.
Les Nations Unies doivent elles-mêmes être la force motrice pour demander des comptes à George Bush, Tony Blair et les autres qui ont violé le Droit International. Imaginez quelle étape importante ce serait pour notre monde que de porter plainte au nom de la majorité de l'assemblée générale des Nations Unies. Il ne fait aucun doute qu'une telle décision peut être prise et qu'elle le sera.
Les Nations Unies doivent être protégées. Toutefois, elles ne le seront pas si on cède aux intérêts du cartel pharmaceutique et si on tente d'établir un compromis avec lui. Le rôle des Nations Unies, si cette organisation veut jouer un rôle à l'avenir, doit être un rôle de confiance en soi et d'affirmation de sa propre autorité.
Personne, aucun gouvernement, pas même le gouvernement le plus puissant du monde, ne doit pouvoir faire fi des décisions des Nations Unies et espérer s'en tirer à bon compte. Ceux qui le font doivent être traduits en justice et leurs motivations doivent être dénoncées à la face du monde. Tel est le rôle le plus urgent et le plus direct des Nations Unies.
Bien entendu, il en va également de même pour les sous-organisations des Nations Unies telles que l'Organisation Mondiale de la Santé. Il faut de suite mettre sur pied un processus visant à assainir les intérêts de l'industrie pharmaceutique. Il n'est pas permis de tolérer plus longtemps que la population mondiale considère l'OMS comme un organisme qui protège sa santé alors que le statut de la mission principale de cette organisation est depuis longtemps devenu l'instrument des intérêts pharmaceutiques. Cela doit cesser. Dénoncer les intérêts pharmaceutiques comme étant le principal profiteur de la crise actuelle est un pas important permettant également de mettre un terme à une mauvaise utilisation de l'Organisation mondiale de la Santé et de lui rendre sa mission originelle, à savoir améliorer la santé au niveau mondial, notamment dans les pays en voie de développement où cette organisation est la plus nécessaire.
Grâce aux connaissances scientifiques qui sont actuellement disponibles dans le domaine de la recherche sur les vitamines et la médecine cellulaire, il est possible d'éradiquer dans une large mesure trois maladies sur quatre dans les pays industrialisés. Dans les pays en voie de développement, plus de 2 milliards de personnes souffrent de carences en substances micronutritives qui les rendent sensibles aux maladies infectieuses et sujets à d'autres problèmes de santé. Avec une bonne éducation, une meilleure hygiène et des mesures de lutte contre la faim et le chômage, les connaissances sur les bienfaits thérapeutiques des substances micronutritives constitueront un facteur clé pour l'amélioration de la santé et du bien-être des personnes dans les pays en voie de développement.
Et imaginez les capitaux qui seront libérés en faveur de l'éducation et des autres mesures sociales, si l'industrie pharmaceutique ne peut plus faire de prélèvements pour continuer ses activités largement inefficaces et peu sûres résultant de son "commerce avec la maladie". On parle, à l'échelon mondial, de milliards de dollars qui pourraient être utilisés pour prendre des mesures sanitaires préventives, pour l'éducation et pour répondre à d'autres besoins sociaux, si le commerce avec la maladie de l'industrie pharmaceutique est, en partie, banni de cette planète.
Bien sûr, il y aura encore des maladies en l'an 2020, mais les infarctus du myocarde, les attaques cérébrales, le cancer, l'ostéoporose et bien d'autres maux figurant aujourd'hui parmi les problèmes de santé les plus communs ne seront plus généralité. Le Dr Rath, quant à lui, est convaincu que sa Fondation peut apporter une grande contribution au fait que l'humanité puisse atteindre cet objectif important qu'est "la santé pour tous en 2020".
En tant que scientifique ayant dénoncé et combattu ces groupes d'intérêts qui ont, jusqu'à présent, empêché la création d'un monde de paix et de santé, le Dr Rath considère qu'il est de sa responsabilité d'apporter son aide à la population mondiale.
A l'heure actuelle, Internet constitue le principal moyen de communication de la Fondation du Dr Rath. Étant donné que l'Organisation Mondiale de la Santé n'accomplit pas sa tâche qui consiste à communiquer à la population mondiale des informations sur les thérapies naturelles, cette fondation a fait de ce devoir une de ses priorités.
Le site Web de cette Fondation est devenu la principale source mondiale d'informations sur les thérapies naturelles destinées aux patients, aux professionnels de la santé, ainsi qu'aux politiciens du monde entier en charge de ce domaine. Cette fondation travaille intensivement à traduire ces informations dans le plus grand nombre de langues possible.
Chaque personne est encouragée à entrer en contact avec cette fondation par courrier, fax ou e-mail et à leur transmettre des informations relatives à des projets pilotes déjà existants ou programmés dans leur ville, leur commune ou leur pays et faisant appel aux thérapies naturelles.
La fondation du Dr Rath sert également de bureau central pour la campagne visant à exercer une pression sur les gouvernements du monde afin de demander des comptes aux groupes d'intérêt qui profitent des maladies et des guerres. Pour faciliter cette action, un débat international à La Haye (Pays-Bas) est en préparation, qui permettra de rassembler les informations actuellement disponibles pour dénoncer ces mêmes groupes. En agissant de la sorte, l'intention est de faciliter le dépôt d'une plainte formelle par les gouvernements du monde auprès de la Cour Pénale Internationale, sise dans la même ville.
Tels sont deux des projets les plus urgents et chaque personne sur cette terre est invitée à y participer quels que soient les moyens à leur disposition.
Jamais encore dans l'histoire de l'humanité, les peuples du monde n'ont été autant unis dans leur aspiration à un monde pacifique – de la mère du soldat américain mort, à New York, au père de l'enfant tué, à Bagdad, en passant par les milliards de personnes des pays en voie de développement qui, en définitive, paient le prix de l'injustice qui règne sur notre planète.
Face à des gouvernements encore intimidés par la puissance militaire des États-Unis et trop lents à réaliser que le monde a maintenant besoin de s'unir et de faire une déclaration commune, il faut à présent que quelqu'un se lève et dise publiquement ce que pensent des millions de gens : le moment est venu pour les peuples de la terre de prendre position ensemble, de résoudre le problème qui se pose à eux et de bâtir un monde nouveau.
En sa qualité de scientifique dont les découvertes ont contribué à pousser le cartel pharmaceutique dans ses derniers retranchements, avec comme seule échappatoire, celle d'entraîner le monde dans sa chute, le Dr Rath considère qu'il est de sa responsabilité de proposer cet "Agenda 21" en tant que constitution et plan d'action pour un nouveau monde commun au service de la population mondiale. Cet "Agenda 21 des êtres humains" s'énonce comme suit.
"Constitution pour un nouveau monde commun de paix, de santé et de justice sociale"
A l'aube du troisième millénaire, l'humanité se trouve à une croisée des chemins. D'un côté se trouvent les intérêts de six milliards de personnes vivant actuellement sur notre planète – et ceux de toutes les générations futures – qui souhaitent mener une vie digne et saine dans un monde pacifique. De l'autre se trouve un petit groupe d'intérêts commerciaux qui refuse à l'humanité tout entière les droits de l'être humain élémentaires – et ce pour une seule raison : la cupidité financière.Face à cette situation, nous, peuples du monde, avons le choix : soit nous continuons à accepter le joug de ces industries d'investissements qui nous imposent les guerres et les maladies, soit nous nous libérons de nos chaînes et commençons à bâtir un monde guidé par les principes de paix, de santé et de justice sociale.
Nous, peuples du monde, reconnaissons que jamais encore dans l'histoire de l'humanité nous n'avons été plus unis pour préserver la paix, mettre un terme au "commerce d'investissement avec la maladie" et demander des comptes à ceux qui sacrifient la paix et la santé aux profits des sociétés. Dès lors, nous, peuples de l'Est et de l'Ouest, du Nord et du Sud, des pays riches et pauvres, avons décidé de construire un monde de paix, de santé et de justice sociale pour nous-mêmes et pour les générations à venir.
Nous proclamons nos droits fondamentaux :
LE DROIT À LA PAIX. Nous, peuples du monde, sommes déterminés à défendre notre droit à la paix par tous les moyens qui sont à notre disposition. À l'ère des armes de destruction massive, la guerre n'est plus une option pour le règlement des conflits internationaux. Nous nous assurerons qu'il soit possible de demander des comptes à ceux qui mènent une guerre sans mandat explicite conforme au droit international et qu'ils soient traduits en justice pour leurs crimes. Nous n'aurons de repos que lorsqu'ils auront été sanctionnés – peu importe les conséquences économiques ou politiques – parce que nous savons que c'est le seul moyen de protéger notre planète de la destruction.
LE DROIT À LA VIE. Nous, peuples du monde, sommes déterminés à défendre notre droit à la vie par tous les moyens qui sont à notre disposition. Nous n'aurons de repos que lorsque tous les facteurs qui réduisent l'espérance de vie des êtres humains de notre planète auront été supprimés. Nous lutterons contre la faim, la malnutrition et les autres facteurs qui tuent déjà chaque année des millions d'habitants de notre planète, y compris des nouveau-nés et des enfants. Nous mettrons également un terme au "commerce d'investissement avec la maladie" qui a eu pour conséquence de faire mourir prématurément, du fait de maladies qui auraient pu être évitées, davantage de personnes que toutes les guerres de l'humanité réunies.
LE DROIT À LA SANTÉ. Nous, peuples du monde, sommes déterminés à défendre notre droit à la santé par tous les moyens qui sont à notre disposition. Nous nous assurerons que le "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique, le fait de "cultiver" sciemment les maladies pour le profit de sociétés soient proscrits dans le monde entier. Nous demanderons des comptes à ceux qui "cultivent" sciemment les maladies, ainsi qu'à ceux qui font de la rétention d'informations vitales relatives aux thérapies naturelles non brevetables. En proposant à nos communautés des programmes nationaux préventifs en matière de santé naturelle et en les introduisant, nous nous concentrerons sur des approches sûres et efficaces en matière de santé naturelle. L'objectif principal de toute stratégie prophylactique est la prévention et l'éradication des maladies.
LE DROIT À LA JUSTICE SOCIALE. Nous, peuples du monde, sommes déterminés à défendre notre droit à la justice sociale par tous les moyens qui sont à notre disposition. Nous n'acceptons plus que deux habitants de notre planète sur trois vivent dans la pauvreté et l'analphabétisme. Nous nous assurerons que les richesses du monde soient redistribuées de façon à assurer une éducation et une vie digne à chaque citoyen de notre planète. Pour financer cette redistribution, nous utiliserons les ressources financières libérées par la fin du "commerce avec la maladie" de plusieurs milliards de dollars et par la réduction des dépenses militaires.
Nous savons que, pour parvenir à nos fins, ces groupes d'intérêts commerciaux qui propagent la guerre et les maladies, doivent rendre compte de leurs actes devant des tribunaux internationaux pour avoir sacrifié la vie de millions de personnes et pour avoir commis d'autres crimes contre l'humanité.
Grâce à la dénonciation publique et à la condamnation des représentants de ces groupes d'intérêts commerciaux nous surmonterons le dernier obstacle qui permettra aux peuples du monde entier d'en finir avec les "temps sombres de la maladie, de la guerre et de l'injustice" et d'entreprendre, au XXIème siècle, la construction d'un "nouveau monde de paix, de santé et de justice sociale".