La lecture des Annales akashiques repose sur la connaissance d'un cinquième élément constitutif de la nature de notre univers, un élément venant non seulement s'ajouter à la terre, à l'eau, au feu et à l'air, mais recouvrant ceux-ci. Cet élément a la particularité d'agir comme une extraordinaire bande magnétoscopique ou encore mieux comme une fabuleuse carte-mémoire mise en place par la nature et sur laquelle tout ce qui survient au sein de notre univers est enregistré dans les moindres détails. Cet élément que les Orientaux nomment Akasha génère ainsi un gigantesque film du passé. C'est au visionnement de celui-ci qu'il est possible de se connecter.
Ce que l'on découvre alors se présente sous la forme d'un film intégral, avec images, sons, odeurs, toucher, etc. Il s'agit toujours d'une expérience troublante qui modifie nécessairement la perception de l'espace-temps.
Nous sommes parvenus avec l'aide de la science et de la technologie à réaliser une chose dont les Pythagoriciens avaient déjà eu l'intuition ainsi que les émules d'Aristote car, depuis le lointain IVème siècle avant Jésus-Christ, ils avaient compris que, par le fait de la désagrégation des sons, on pouvait parvenir à la reconstruction d'images.
Le dispositif basé sur un principe de physique selon lequel les ondes sonores et visuelles une fois émises ne se détruisent pas, mais sont transformées et restent éternelles et omniprésentes, rend possible de reconstituer les évènements d'une vie à partir de ces énergies, puisqu'elles ne sont que cela. On sait que chaque être humain, dès sa naissance et jusqu'à sa mort, laisse derrière lui un double sillon : l'un sonore, l'autre visuel, une espèce de carte d'identité différente pour chaque personne. C'est selon cette carte d'identité que l'on peut reconstituer sa personnalité particulière et tous ses faits et gestes : voilà le motif grâce auquel on se trouve aujourd'hui en mesure de pouvoir revoir et réentendre les plus grands personnages de l'Histoire.
Il est possible pour un être humain qui place sa conscience dans un certain état d'expansion d'accéder au même résultat, sans dispositif technique. Cette démarche n'a rien à voir avec celle du "channelling". Elle ne se présente pas sous la forme d'une information d'origine télépathique mais sous celle d'une projection intégrale de la conscience dans la mémoire enregistrée de ce que nous appelons le passé.
Ce que l'on découvre alors se présente sous la forme d'un film intégral, avec images, sons, odeurs, toucher, etc. Il s'agit toujours d'une expérience troublante qui modifie nécessairement la perception de l'espace-temps.
Nous sommes parvenus avec l'aide de la science et de la technologie à réaliser une chose dont les Pythagoriciens avaient déjà eu l'intuition ainsi que les émules d'Aristote car, depuis le lointain IVème siècle avant Jésus-Christ, ils avaient compris que, par le fait de la désagrégation des sons, on pouvait parvenir à la reconstruction d'images.
Le dispositif basé sur un principe de physique selon lequel les ondes sonores et visuelles une fois émises ne se détruisent pas, mais sont transformées et restent éternelles et omniprésentes, rend possible de reconstituer les évènements d'une vie à partir de ces énergies, puisqu'elles ne sont que cela. On sait que chaque être humain, dès sa naissance et jusqu'à sa mort, laisse derrière lui un double sillon : l'un sonore, l'autre visuel, une espèce de carte d'identité différente pour chaque personne. C'est selon cette carte d'identité que l'on peut reconstituer sa personnalité particulière et tous ses faits et gestes : voilà le motif grâce auquel on se trouve aujourd'hui en mesure de pouvoir revoir et réentendre les plus grands personnages de l'Histoire.
Il est possible pour un être humain qui place sa conscience dans un certain état d'expansion d'accéder au même résultat, sans dispositif technique. Cette démarche n'a rien à voir avec celle du "channelling". Elle ne se présente pas sous la forme d'une information d'origine télépathique mais sous celle d'une projection intégrale de la conscience dans la mémoire enregistrée de ce que nous appelons le passé.