L'aventure qui nous garde délicieusement occupés et qui détermine notre altitude se trouve dans l'exploration du voyage de l'esprit que nous sommes dans l'expérience manifestée, et la découverte du sentier très expansif qui nous ramène à la Source.
Effectivement, nous sommes des dieux en entraînement et la Source nous fait cadeau du libre arbitre; il nous revient de découvrir comment devenir un dieu, et cette prise de conscience déclenche un mouvement : celui de tendre vers cet objectif, le désir programmé d'accomplir le cheminement qui nous amène à devenir un dieu/une déesse.
Il peut y avoir un pont entre ce qui a été appris et la nouvelle information subséquente, mais il se peut qu'il n'y en ait pas. Les nouveaux concepts peuvent contenir les essences de plus d'une dalle. C'est cette juste analogie qui a fait jaillir l'idée que l'évolution est un "sentier spirituel".
La visualisation significative du sentier spirituel mène à la compréhension que les pierres doivent être présentes et posées une par une avant qu'il y ait un sentier. Un autre important concept qui vient plus tard est que le sentier ne s'étale pas devant le voyageur mais derrière lui.
Il est rare que le sentier visible derrière toute conscience en évolution ait la forme d'une spirale ascendante lisse. L'acquisition d'une connaissance, pour l'expérimenter en vue de la comprendre et de la laisser aller comme étant complète pour s'ouvrir à nouveau et recommencer le processus d'apprentissage, ne conduit habituellement pas facilement au but ultime.
La conceptualisation du but ultime est littéralement trop compliquée pour la renfermer dans des mots à signification limitée. Cependant, le magnétisme de ce but attire tous les éléments de la Création pour qu'ils reviennent finalement à leur Source. Il n'y a aucune possibilité d'échapper à son Attraction, peu importe combien le sentier de la sagesse fait de détours, d'angles, de coudes, sur sa trajectoire de retour.
Une fois qu'un fragment est focalisé en tant que conscience éveillée, le jeu ne s'arrête plus. Le terrain de jeu peut changer, mais le jeu lui-même se poursuit sans arrêt. Il est beaucoup plus facile de jouer si l'être garde fermement ce concept à l'esprit. Plus nous faisons preuve d'espièglerie et d'humour, plus notre voyage vers le devenir est facile. En effet, ceux qui nous ont précédés sur le sentier du devenir rient bien et fréquemment. Essaye, cela te plaira !
On nous enseigne que le Fils et l'Esprit entretiennent tous deux les mêmes relations d'égalité avec le Père dans l'association de la Trinité. Sans aucun doute, ils le font dans l'éternité et en tant que Déités mais, dans le temps et comme personnalités, ils dévoilent certainement des relations de nature très variée. Vues du Paradis au dehors dans les univers, ces relations paraissent très similaires mais, lorsqu'on les observe des domaines de l'espace, elles apparaissent tout à fait différentes.
Les Fils divins sont en vérité le " Verbe de Dieu ", mais les enfants de l'Esprit sont vraiment les " Actes de Dieu ". Dieu parle par le Fils et, avec le Fils, agit par l'Esprit Infini, tandis que dans toutes les activités de l'univers, le Fils et l'Esprit sont exquisement fraternels et travaillent comme deux frères égaux avec admiration et amour pour un Père commun honoré et divinement respecté.
Le Père, le Fils et l'Esprit sont certainement égaux en nature et coordonnés en existence, mais il y a des différences évidentes dans leurs accomplissements universels et, lorsqu'une personne de la Déité agit seule, elle paraît limitée dans son absoluité.
Avant de s'être volontairement dépouillé de la personnalité, des pouvoirs et des attributs qui constituent le Fils et l'Esprit, le Père Universel semble avoir été (du point de vue philosophique) une Déité non qualifiée, absolue et infinie. Mais cette Source-Centre Première théorique dépourvue d'un Fils ne pouvait en aucun sens du terme être considérée comme le Père Universel; la paternité n'est pas réelle sans filiation. De plus, pour que le Père ait été absolu au sens total, il faudrait qu'il ait été seul à exister à un moment éternellement distant. Mais il n'a jamais eu une telle existence solitaire; le Fils et l'Esprit sont tous deux coéternels avec le Père. La Source-Centre Première a toujours été et sera à jamais l'éternel Père du Fils Originel et, avec le Fils, l'ancêtre éternel de l'Esprit Infini.
Nous observons que le Père s'est dépouillé de toute manifestation directe d'absoluité, sauf de la paternité absolue et de la volition absolue. Nous ne savons pas si la volition est un attribut inaliénable du Père; nous pouvons seulement remarquer qu'il ne s'est pas dépouillé de sa volition. Une telle infinité de volonté doit avoir été éternellement inhérente à la Source-Centre Première.
En conférant l'absoluité de personnalité au Fils Éternel, le Père Universel échappe aux entraves de l'absolutisme de personnalité mais, en faisant cela, il prend une mesure qui lui enlève à jamais la possibilité d'agir seul en tant qu'absolu de personnalité. Et avec la personnalisation finale de la Déité coexistante - l'Acteur Conjoint - apparaît l'interdépendance trinitaire critique des trois personnalités divines relative au fonctionnement total de la Déité dans l'absolu.
Dieu est l'Absolu-Père de toutes les personnalités dans l'univers des univers. Le Père est personnellement absolu en liberté d'agir mais, dans les univers du temps et de l'espace créés, en voie de création et encore à créer, on ne peut discerner que le Père soit absolu comme Déité totale, sauf dans la Trinité du Paradis.
Effectivement, nous sommes des dieux en entraînement et la Source nous fait cadeau du libre arbitre; il nous revient de découvrir comment devenir un dieu, et cette prise de conscience déclenche un mouvement : celui de tendre vers cet objectif, le désir programmé d'accomplir le cheminement qui nous amène à devenir un dieu/une déesse.
Il peut y avoir un pont entre ce qui a été appris et la nouvelle information subséquente, mais il se peut qu'il n'y en ait pas. Les nouveaux concepts peuvent contenir les essences de plus d'une dalle. C'est cette juste analogie qui a fait jaillir l'idée que l'évolution est un "sentier spirituel".
La visualisation significative du sentier spirituel mène à la compréhension que les pierres doivent être présentes et posées une par une avant qu'il y ait un sentier. Un autre important concept qui vient plus tard est que le sentier ne s'étale pas devant le voyageur mais derrière lui.
Il est rare que le sentier visible derrière toute conscience en évolution ait la forme d'une spirale ascendante lisse. L'acquisition d'une connaissance, pour l'expérimenter en vue de la comprendre et de la laisser aller comme étant complète pour s'ouvrir à nouveau et recommencer le processus d'apprentissage, ne conduit habituellement pas facilement au but ultime.
La conceptualisation du but ultime est littéralement trop compliquée pour la renfermer dans des mots à signification limitée. Cependant, le magnétisme de ce but attire tous les éléments de la Création pour qu'ils reviennent finalement à leur Source. Il n'y a aucune possibilité d'échapper à son Attraction, peu importe combien le sentier de la sagesse fait de détours, d'angles, de coudes, sur sa trajectoire de retour.
Une fois qu'un fragment est focalisé en tant que conscience éveillée, le jeu ne s'arrête plus. Le terrain de jeu peut changer, mais le jeu lui-même se poursuit sans arrêt. Il est beaucoup plus facile de jouer si l'être garde fermement ce concept à l'esprit. Plus nous faisons preuve d'espièglerie et d'humour, plus notre voyage vers le devenir est facile. En effet, ceux qui nous ont précédés sur le sentier du devenir rient bien et fréquemment. Essaye, cela te plaira !
La Trinité
Bien qu'il n'existe qu'une seule Déité, il y a trois personnalisations positives et divines de la Déité. En ce qui concerne les divins Ajusteurs dont l'homme a été doté, le Père a dit : " Faisons l'homme à notre image. " Cette référence à des actes et à des agissements d'une Déité plurale apparaît à maintes et maintes reprises dans les écrits sacrés, démontrant clairement que l'on y reconnaît l'existence et l'activité des trois Sources-Centres.On nous enseigne que le Fils et l'Esprit entretiennent tous deux les mêmes relations d'égalité avec le Père dans l'association de la Trinité. Sans aucun doute, ils le font dans l'éternité et en tant que Déités mais, dans le temps et comme personnalités, ils dévoilent certainement des relations de nature très variée. Vues du Paradis au dehors dans les univers, ces relations paraissent très similaires mais, lorsqu'on les observe des domaines de l'espace, elles apparaissent tout à fait différentes.
Les Fils divins sont en vérité le " Verbe de Dieu ", mais les enfants de l'Esprit sont vraiment les " Actes de Dieu ". Dieu parle par le Fils et, avec le Fils, agit par l'Esprit Infini, tandis que dans toutes les activités de l'univers, le Fils et l'Esprit sont exquisement fraternels et travaillent comme deux frères égaux avec admiration et amour pour un Père commun honoré et divinement respecté.
Le Père, le Fils et l'Esprit sont certainement égaux en nature et coordonnés en existence, mais il y a des différences évidentes dans leurs accomplissements universels et, lorsqu'une personne de la Déité agit seule, elle paraît limitée dans son absoluité.
Avant de s'être volontairement dépouillé de la personnalité, des pouvoirs et des attributs qui constituent le Fils et l'Esprit, le Père Universel semble avoir été (du point de vue philosophique) une Déité non qualifiée, absolue et infinie. Mais cette Source-Centre Première théorique dépourvue d'un Fils ne pouvait en aucun sens du terme être considérée comme le Père Universel; la paternité n'est pas réelle sans filiation. De plus, pour que le Père ait été absolu au sens total, il faudrait qu'il ait été seul à exister à un moment éternellement distant. Mais il n'a jamais eu une telle existence solitaire; le Fils et l'Esprit sont tous deux coéternels avec le Père. La Source-Centre Première a toujours été et sera à jamais l'éternel Père du Fils Originel et, avec le Fils, l'ancêtre éternel de l'Esprit Infini.
Nous observons que le Père s'est dépouillé de toute manifestation directe d'absoluité, sauf de la paternité absolue et de la volition absolue. Nous ne savons pas si la volition est un attribut inaliénable du Père; nous pouvons seulement remarquer qu'il ne s'est pas dépouillé de sa volition. Une telle infinité de volonté doit avoir été éternellement inhérente à la Source-Centre Première.
En conférant l'absoluité de personnalité au Fils Éternel, le Père Universel échappe aux entraves de l'absolutisme de personnalité mais, en faisant cela, il prend une mesure qui lui enlève à jamais la possibilité d'agir seul en tant qu'absolu de personnalité. Et avec la personnalisation finale de la Déité coexistante - l'Acteur Conjoint - apparaît l'interdépendance trinitaire critique des trois personnalités divines relative au fonctionnement total de la Déité dans l'absolu.
Dieu est l'Absolu-Père de toutes les personnalités dans l'univers des univers. Le Père est personnellement absolu en liberté d'agir mais, dans les univers du temps et de l'espace créés, en voie de création et encore à créer, on ne peut discerner que le Père soit absolu comme Déité totale, sauf dans la Trinité du Paradis.