Le syncrétisme (le mélange des religions) a mauvaise presse.
Les Églises le condamnent, les organisations interreligieuses se défendent énergiquement de le favoriser. On n'aime pas qu'un chrétien emprunte une pratique au bouddhisme ou une croyance à l'Islam. On parle alors d'une spiritualité de supermarché où chacun prend sur les rayons des produits hétéroclites pour les mixer dans une salade indigeste.
Si je dis : « Aime ton prochain comme toi-même », je n'ajoute pas que cette phrase vient de Jésus, inspiré par le Christ, ni qu'il n'a fait que répéter les enseignements des Esséniens, ni que d'autres maîtres l'avaient déjà révélée maintes fois à de nombreux et anciens peuples, et qu'ils s'inspiraient tous du Rouleau de Thot (Egypte), ou de la Sagesse d'Adapa (Assyrie), ou encore du Livre d'Enoch (Sumer).
Culturellement, la religion hébraïque a fait de larges emprunts à la religion, à la moralité et à la philosophie de tout le Levant. C'est par la religion hébraïque qu'une grande partie de la moralité et de la pensée religieuse de l'Égypte, de la Mésopotamie et de l'Iran fut transmise aux peuples occidentaux. Bien que la religion hébraïque soit fondée sur l'alliance entre Abraham et Melchizedek, les Hébreux adoptèrent ensemble la religion de Salem qui provient de l'Evangile de Melchizedek, les enseignements moraux des égyptiens, et ensuite la pensée théologique babylonienne et, enfin, les conceptions iranienne du bien et du mal. Il faudrait aussi que nous reconnaissions les sources sumériennes de l'Ancien et du Nouveau Testament biblique, desquelles les histoires telles que l'Eden et du déluge furent inspirées. Depuis que de plus anciens manuscrits sont découverts, il est clair qu'une quantité énorme d'informations ne fut pas prise en compte dans la rédaction originale, et ensuite dans les nombreuses copies et traductions de la Bible.
Imaginez par exemple qu'on ait demandé à quatre personnes différentes d'écrire un livre sur le même sujet, puis de prendre ces quatre différentes versions et de les découper afin de les assembler en une seule et longue version, puis de dire qu'elle a été écrite par un seul auteur. Puis imaginez que vous donnez ce livre à une équipe de détectives et que vous les laisser établir :
Quant au christianisme, il s'est largement inspirée de la philosophie grecque qui lui a fournit les concepts des valeurs éthiques, du mithracisme qui lui apporta les rites d'observance du culte, et du christianisme comme tel qui lui donna la technique pour conserver les valeurs morales et sociales. En tant que système de croyance, la religion chrétienne a grandi par l'amalgamation des enseignements, influences, croyances, cultes et attitudes individuelles suivantes :Les enseignements de Melchizedek, facteur fondamental dans toutes les religions d'Orient et d'Occident qui ont pris corps depuis quatre-mille ans.
Le système hébraïque de moralité, d'éthique, de théologie et de croyance simultanées en la Providence et en Yahweh le suprême.
La conception zoroastrienne de lutte entre le bien cosmique et le mal cosmique, conception qui avait déjà laissé son empreinte sur le judaïsme et le mithracisme. À travers un contact prolongé accompagnant les luttes entre mithracisme et christianisme, les doctrines du prophète iranien devinrent un facteur puissant dans la mise en forme et la structure théologique et philosophique des dogmes, des doctrines et de la cosmologie des versions hellénisées et latinisées des enseignements de Jésus.
Les cultes des mystères, spécialement le mithracisme, mais aussi l'adoration de la Grande Mère dans le culte phrygien. Même les légendes au sujet de la naissance de Jésus sur Terre furent viciées par la version romaine de la naissance miraculeuse du sauveur-héros iranien Mithra, dont la venue sur terre était censée n'avoir eu pour témoins qu'un petit groupe de bergers porteurs de présents, qui avaient été informés de l'évènement imminent par des anges.
Le fait historique de la vie humaine de Joshua ben Joseph, la réalité de Jésus de Nazareth en tant que Christ glorifié, le Fils de Dieu.
Le point de vue personnel de Paul de Tarse. Et il faut noter que le mithracisme était la religion dominante à Tarse pendant son adolescence. Paul ne songeait guère que ses lettres bien intentionnées à ses convertis seraient plus tard considérées par des chrétiens comme la " parole de Dieu ". Des éducateurs de bonne volonté comme lui ne doivent pas être tenus pour responsables de l'usage que des successeurs venus bien plus tard auront fait de leurs écrits.
La pensée philosophique des Hellénistes depuis Alexandrie et Antioche, en passant par la Grèce, jusqu'à Syracuse et Rome. La philosophie des Grecs était plus en harmonie avec la version paulinienne du christianisme qu'avec aucun autre système religieux courant. Elle devint un facteur important du succès du christianisme en Occident. La philosophie grecque, doublée de la théologie de Paul, forme encore la base de l'éthique européenne.
Il n'y a rien de nouveau sous le soleil... C'est ainsi que la Bible a été rédigée jusqu'au Nouveau Testament y compris. La règle qui établirait que Dieu a écrit la Bible ou que nous puissions être les propriétaires de messages soutenant notre évolution spirituelle doit être dépassée. Nous faisons tous, d'une manière ou d'une autre, du syncrétisme, et au mieux nous sommes directement inspirés par effet d'effusion planétaire.
Yahweh est le Dieu conçu d'après les révélations de Melchizedek et l'alliance d'Abraham. Les Juifs étaient les descendants d'Abraham et occupèrent ultérieurement le pays dans lequel Melchizedek avait vécu et enseigné, et d'où il envoya des éducateurs au monde entier. En fin de compte, leur religion dépeignit le Seigneur Dieu d'Israël en le reconnaissant comme Père céleste Universel plus clairement que toute autre religion du monde avant la naissance du christianisme.
Le but de la transmission spirituelle et de toute religion révélée est d'offrir une conscience plus élevée de soi et de notre réalité divine, et de la vérité concernant le Père Universel, le Fils Originel et l'Esprit Infini, sans perdre une once de notre personnalité et de notre pouvoir personnel, notre libre arbitre et notre discernement. Toutes les sources d'informations sont donc utiles pour démêler le vrai du faux, et c'est par une recherche patiente et sérieuse que l'on découvre que la vérité se tient comme une perle au milieu d'une foison de mensonges et de manipulations, prête à être découverte par celui qui sincèrement aura transformé sa perception pour entendre selon le coeur. Et il entendra la voix divine lui souffler que nul humain n'a encore vu de ses propres yeux la création dans son ensemble.
De plus en plus nous ôtons notre attention et nos pensées des schémas auto-limitatifs du passé qui se dissolvent graduellement et deviennent inefficaces. L'empressement à adopter la vérité, quelles que soient les sources dont elle provient, est en vérité une tendance recommandable.
L'évolution morale ne dépend pas entièrement de la révélation. L'être humain peut tirer de sa propre expérience des concepts moraux élevés. L'être humain peut même faire apparaître des valeurs spirituelles et tirer une clairvoyance cosmique de son expérience de vie personnelle parce qu'un esprit divin l'habite. L'état humain idéal est celui où la philosophie, la religion et la science sont soudées en une unité pleine de sens par l'action conjointe de la sagesse, de la foi et de l'expérience. L'orgueil de l'érudition non spirituelle est un traquenard dans l'expérience humaine. Le vrai maitre maintient son intégrité intellectuelle en restant toujours un élève.
À mesure que les enseignements originels de Jésus pénétrèrent l'Occident, ils furent occidentalisés et, à mesure qu'ils furent occidentalisés, ils commencèrent à perdre leur potentiel d'attrait universel pour toutes les races et toutes les sortes d'êtres humains. Aujourd'hui, le christianisme est devenu une religion bien adaptée aux moeurs sociales, économiques et politiques des races blanches. Il a cessé, depuis longtemps, d'être la religion de Jésus, bien qu'il dépeigne toujours vaillament une belle religion à propos de Jésus aux personnes qui cherchent sincèrement à suivre la voie de son enseignement. Le christianisme a glorifié Jésus en tant que Christ, l'oint messianique de Dieu, mais il a grandement oublié l'évangile personnel du Maitre : la Paternité de Dieu et la fraternité universelle de tous les êtres humains.
À présent, toute la Terre attend que l'on proclame le message ennoblissant de Michael, le Fils Créateur de notre univers, le Fils de l'Homme, débarrassé des dogmes et doctrines accumulés au cours de vingt siècles de contact avec les religions d'origine évolutionnaire. L'heure a sonné de présenter à l'hindouisme, au bouddhisme, au judaïsme, au christianisme, à l'islam, et même aux peuples de toutes les religions, non pas l'évangile à propos de Jésus, mais la réalité vivante et spirituelle de l'évangile de Jésus.
DanielFondateur
Association sociale
LUMOVIVO
créee le 14 mai 81
à propos
Les Églises le condamnent, les organisations interreligieuses se défendent énergiquement de le favoriser. On n'aime pas qu'un chrétien emprunte une pratique au bouddhisme ou une croyance à l'Islam. On parle alors d'une spiritualité de supermarché où chacun prend sur les rayons des produits hétéroclites pour les mixer dans une salade indigeste.
Si je dis : « Aime ton prochain comme toi-même », je n'ajoute pas que cette phrase vient de Jésus, inspiré par le Christ, ni qu'il n'a fait que répéter les enseignements des Esséniens, ni que d'autres maîtres l'avaient déjà révélée maintes fois à de nombreux et anciens peuples, et qu'ils s'inspiraient tous du Rouleau de Thot (Egypte), ou de la Sagesse d'Adapa (Assyrie), ou encore du Livre d'Enoch (Sumer).
Culturellement, la religion hébraïque a fait de larges emprunts à la religion, à la moralité et à la philosophie de tout le Levant. C'est par la religion hébraïque qu'une grande partie de la moralité et de la pensée religieuse de l'Égypte, de la Mésopotamie et de l'Iran fut transmise aux peuples occidentaux. Bien que la religion hébraïque soit fondée sur l'alliance entre Abraham et Melchizedek, les Hébreux adoptèrent ensemble la religion de Salem qui provient de l'Evangile de Melchizedek, les enseignements moraux des égyptiens, et ensuite la pensée théologique babylonienne et, enfin, les conceptions iranienne du bien et du mal. Il faudrait aussi que nous reconnaissions les sources sumériennes de l'Ancien et du Nouveau Testament biblique, desquelles les histoires telles que l'Eden et du déluge furent inspirées. Depuis que de plus anciens manuscrits sont découverts, il est clair qu'une quantité énorme d'informations ne fut pas prise en compte dans la rédaction originale, et ensuite dans les nombreuses copies et traductions de la Bible.
Imaginez par exemple qu'on ait demandé à quatre personnes différentes d'écrire un livre sur le même sujet, puis de prendre ces quatre différentes versions et de les découper afin de les assembler en une seule et longue version, puis de dire qu'elle a été écrite par un seul auteur. Puis imaginez que vous donnez ce livre à une équipe de détectives et que vous les laisser établir :
- 1. que ce livre n'a pas été écrit par une seule personne
- 2. que c'était par quatre
- 3. qui elles étaient
- 4. et qui a rassemblé leurs textes.
Quant au christianisme, il s'est largement inspirée de la philosophie grecque qui lui a fournit les concepts des valeurs éthiques, du mithracisme qui lui apporta les rites d'observance du culte, et du christianisme comme tel qui lui donna la technique pour conserver les valeurs morales et sociales. En tant que système de croyance, la religion chrétienne a grandi par l'amalgamation des enseignements, influences, croyances, cultes et attitudes individuelles suivantes :
Il n'y a rien de nouveau sous le soleil... C'est ainsi que la Bible a été rédigée jusqu'au Nouveau Testament y compris. La règle qui établirait que Dieu a écrit la Bible ou que nous puissions être les propriétaires de messages soutenant notre évolution spirituelle doit être dépassée. Nous faisons tous, d'une manière ou d'une autre, du syncrétisme, et au mieux nous sommes directement inspirés par effet d'effusion planétaire.
Yahweh est le Dieu conçu d'après les révélations de Melchizedek et l'alliance d'Abraham. Les Juifs étaient les descendants d'Abraham et occupèrent ultérieurement le pays dans lequel Melchizedek avait vécu et enseigné, et d'où il envoya des éducateurs au monde entier. En fin de compte, leur religion dépeignit le Seigneur Dieu d'Israël en le reconnaissant comme Père céleste Universel plus clairement que toute autre religion du monde avant la naissance du christianisme.
Le but de la transmission spirituelle et de toute religion révélée est d'offrir une conscience plus élevée de soi et de notre réalité divine, et de la vérité concernant le Père Universel, le Fils Originel et l'Esprit Infini, sans perdre une once de notre personnalité et de notre pouvoir personnel, notre libre arbitre et notre discernement. Toutes les sources d'informations sont donc utiles pour démêler le vrai du faux, et c'est par une recherche patiente et sérieuse que l'on découvre que la vérité se tient comme une perle au milieu d'une foison de mensonges et de manipulations, prête à être découverte par celui qui sincèrement aura transformé sa perception pour entendre selon le coeur. Et il entendra la voix divine lui souffler que nul humain n'a encore vu de ses propres yeux la création dans son ensemble.
De plus en plus nous ôtons notre attention et nos pensées des schémas auto-limitatifs du passé qui se dissolvent graduellement et deviennent inefficaces. L'empressement à adopter la vérité, quelles que soient les sources dont elle provient, est en vérité une tendance recommandable.
L'évolution morale ne dépend pas entièrement de la révélation. L'être humain peut tirer de sa propre expérience des concepts moraux élevés. L'être humain peut même faire apparaître des valeurs spirituelles et tirer une clairvoyance cosmique de son expérience de vie personnelle parce qu'un esprit divin l'habite. L'état humain idéal est celui où la philosophie, la religion et la science sont soudées en une unité pleine de sens par l'action conjointe de la sagesse, de la foi et de l'expérience. L'orgueil de l'érudition non spirituelle est un traquenard dans l'expérience humaine. Le vrai maitre maintient son intégrité intellectuelle en restant toujours un élève.
À mesure que les enseignements originels de Jésus pénétrèrent l'Occident, ils furent occidentalisés et, à mesure qu'ils furent occidentalisés, ils commencèrent à perdre leur potentiel d'attrait universel pour toutes les races et toutes les sortes d'êtres humains. Aujourd'hui, le christianisme est devenu une religion bien adaptée aux moeurs sociales, économiques et politiques des races blanches. Il a cessé, depuis longtemps, d'être la religion de Jésus, bien qu'il dépeigne toujours vaillament une belle religion à propos de Jésus aux personnes qui cherchent sincèrement à suivre la voie de son enseignement. Le christianisme a glorifié Jésus en tant que Christ, l'oint messianique de Dieu, mais il a grandement oublié l'évangile personnel du Maitre : la Paternité de Dieu et la fraternité universelle de tous les êtres humains.
À présent, toute la Terre attend que l'on proclame le message ennoblissant de Michael, le Fils Créateur de notre univers, le Fils de l'Homme, débarrassé des dogmes et doctrines accumulés au cours de vingt siècles de contact avec les religions d'origine évolutionnaire. L'heure a sonné de présenter à l'hindouisme, au bouddhisme, au judaïsme, au christianisme, à l'islam, et même aux peuples de toutes les religions, non pas l'évangile à propos de Jésus, mais la réalité vivante et spirituelle de l'évangile de Jésus.
DanielFondateur
Association sociale
LUMOVIVO
créee le 14 mai 81
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